Sondage suite au thread de Namaste sur le vote de la scission

youpiii

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Bonjour M899, tu vas bien ?
Je vois que tu as définitivement perdu confiance au staff d’atos et je comprends parfaitement position, mais l’espoir n’est pas définitivement perdu car atos a encore beaucoup à vendre.
Je croise les doigts pour 2023 et je nous souhaites le meilleur pour l’année prochaine et pourquoi pas une recovery d’atos
 

m8994812

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Bonjout ttruong, ça fait plaisir d'avoir de tes nouvelles. Ca va bien pour moi, j'espère que tu vas bien toi aussi et que tu as passé de bonnes fêtes de Noël.
Comme tu peux le lire, je ne fais plus du tout confiance à cette bande d'incapables qui ont quand même réussi à torpiller l'un des leaders mondiaux des services informatiques. Je gardais espoir encore il y a un an malgré la nomination de Belmer comme Directeur général. J'aurais dû me retirer à ce moment, voyant que ce n'était pas l'homme de la situation. Les multiples erreurs de management, la chute abyssale du cours (-79% par rapport à mon PRU quand même) et l'obstination de Meunier d'imposer son plan à l'encontre du marché ont fini par me convaincre convaincu que ce n'est pas avec ce management que nous nous en sortirons en dépit des qualités de la sociétés et des technologies maîtrisées. Je suis bloqué à cause de ma forte moins-value mais même à ce cours, je n'achète plus d'actions. Pourtant des actions Atos à 9 euros, ça pourrait être tentant pour les années à venir ...
Espérons en effet que le cours se redressera en 2023 après deux années catastrophiques pour tous les actionnaires d'Atos. Il est temps de faire un voeux tous ensemble pour le 1er janvier et surtout d'aller allumer un cierge ^-^
 

tobias

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@M8994812 au regard des dernières OPA lancées sur des boites françaises cotées (EDF, Natixis, Lagardère,...)  je ne peux que te conseiller de baisser ton PRU Atos idéalement aux alentours de 15/18 euros. C'est sûr que si tu as mis le paquet à l'achat vers 45 euros, cela risque d'être impossible à réaliser..
Je te dis cela parce qu'il est fort probable que si une OPA est lancée dans les prochains mois et j'irais même jusqu'à dire jusque fin 2023, je pense que les PRU supérieurs à 30 euros n'y trouveront peut-être pas leur compte. Cela reste mon avis.
Je reste convaincu que le(s) prédateur(s) de la société feront tout ce qu'ils peuvent pour contenir l'envol du cours de l'Atos historique avant les grandes opérations (scission et cotation des deux entités). A cette issue, si une OPA est lancée sur Evidian, il y a fort à parier que la prime ne sera pas des plus généreuse. Les actionnaires historiques Atos à  gros PRU seront probablement lésés.
Cependant, je pense aussi que le potentiel acquéreur n'arrivera pas à acheter les actions nécessaires pour le retrait de la côte aussi bien d'Atos historique (éventuelle OPA avant scission) que d'Evidian (éventuelle OPA post scission). Ça prendra certainement jusque fin 2024 voire début 2025 pour obtenir les 90% du capital et envisager un retrait de la côte. Les actions resteront donc cotées et il est fort probable que le cours profitera du changement de direction mais ce scénario est toujours incertain. Il suffit de voir ce qui se passe sur Lagardère que Vivendi veut croquer depuis plusieurs mois même si il est vrai que c'est tout de même un cas bien à part Lagardère.
Après, bien évidemment, cette décision d'acheter encore de l'Atos, t'appartient vu qu'elle n'est évidemment pas sans risque quoiqu'en pensent certains. Pour ma part, j'étais rentré "léger" vers 42 euros il y a environ 16 mois et j'ai déjà passé de la MV début 22. Depuis, à force d'A/R et d'inévitable montée en puissance (Qté de titres) je suis arrivé à un PRU réel de 16,5 euros sans pour autant me mettre en danger financièrement. Je pense donc qu'il faut tenter le coup avant la, voire, les probables OPA à venir. Sinon ce sera forcément du LT ou du TLT pour espérer revoir son argent sur Atos sans aucune garantie de réussite pour autant.
 

youpiii

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J'ai exactement la même vision que toi Tobias sur les retombées de cette scission que je vote POUR.
Il faut profiter de ce gros travail de scission, une sorte de mise à plat, pour séparer le bon grain de l'ivraie et œuvrer au mieux pour un retour à la profitabilité, un vrai coup de balaie dans cette bouteille d'encre, un fourre tout quoi! Des sacrifices internes doivent être faits à tous les niveaux et les incompétences et les errements de gestion ne doivent plus être permis. 
Je crois ou du moins j'espères une réaction de la part du staff après cette déroute boursière à cause de l'immobilisme et les erreurs de  gouvernance depuis 3 ans, la leçon semble être retenue et je crois qu'une réaction est en cours en interne au vue de l'interview de Bihmane et d'Oliva. Je croise les doigts et je leur souhaite de tout cœur une réussite dans cette restructuration obligatoire et vitale pour atos et pour ses actionnaires. Meunier et les DG en poste doivent réagir et prouver à leurs actionnaires que les erreurs sont comprises et seront corrigées, leur travail à venir sera jugé à travers les résultats des trimestres à venir dont le T4 dans moins de deux mois, qu'ils le sachent une fois pour toute s'ils veulent rester en poste.
A priori, je ne pense pas que le silence des actionnaires minoritaires Sycomore et Lescene depuis leur contact avec le staff est le fait qu'ils ont tout revendu  mais peut être parce qu'ils ont eu parfum des bonnes retombées de cette scission qui pourraient créer de la valeur pour les actionnaires et qui pourraient mettre la vade en doute d'où cette sortie lente et progressive de ces derniers depuis un mois. 
Pour espérer un retour des actionnaires institutionnels, les résultats T4 ont intérêt à être au moins meilleurs que les trois premiers trimestres avec une poursuite de l'amélioration de la marge du côté du département de l'infogérance.
Amha, la conclusion de la vente d'une partie de l'infogérance aux italiens devrait être signée aux alentours de Février 2023 pour meubler les résultats de 2022.
Enfin, je vous fais remarquer qu'atos possède un carnet de commandes très appréciable (plus de 20 milliard) et qu'atos est leader européen dans les secteurs de demain comme la cybersécurité, les gros calculateurs, l'informatique quantique, la décarbonation etc...donc ses compétences ne sont plus à prouver. L'infogérance n'est pas mort pour autant, il ne faut pas s'interdire d'évoluer pour des simples raisons de fierté nationale et il faut savoir suivre la tendance technologique du moment en s'associant avec les sociétés leaders , malheureusement toutes américaines,  comme l'AWS d'amazon ce qui permet d'éviter une fuite de la clientèle vers d'autres sociétés qui répondent à ces nouvelles technologies.
Comme beaucoup d'entre vous, mes MV sont lourds, très lourds, et j'assume mon investissement en gardant l'espoir d'une recovery d'atos à partir de 2023.Mes espoirs pour mon investissement reposent essentiellement sur ces compétences leaders d'atos ainsi que sa base de clientèle importante et internationale
PSA, ALO, SGE et j'en passe......avaient des grosses périodes de doutes où beaucoup croyaient irrécupérables suite à des énormes erreurs de gestion, mais elles ont fait mieux que ressuscitées depuis parce qu'elles ont tous des compétences et des expertises hors pairs mais surtout parce quelles ont su réagir à travers un restructuration radicale souvent après des AK fortement dilutive mais indispensable pour se relancer, j'espère autant pour Atos. 
Bonne chance  et bonnes fêtes de fin d'année à tous.
 
 
 

jato

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il serait intéressant de regarder les facteurs qui peuvent forcer la direction d'Atos et ses actionnaires petits et individuels à accepter une OPA ?

la mise bourse de Evidain avec la dette d'Atos va faire en sorte que Evidian sera pas coter excessivement chère mais à l'issue de l'opération la dette sera remboursée.
Les 30% de Evidian dans le nouvelle Atos auront une certaine valeur + le partenariat stratégique dans le Cloud avec Amazon + 0 dettes
Personnes ne pourra devenir propriétaire de Evidian si NewAtos ne cède pas ses 30%.
Que peut-on dire d'autre ????????
 

admin

New member
Je ne sais pas si ta question s'adressait à moi ou au membre précédent. Dans le doute je réponds la chose suivante :

soit Mescene et/ou Sycomore ont fait comme Siemens et sont sortis.  
Mescene et Sycomore ont reçu des propos oraux sécurisants en leur disant que les marges se redressent et que la nouvelle équipe a commencé un travail de redressement en donnant des chiffres à l'appui sur les marges, qu'ils ont mais n'ont pas donné le 26/10. Ils auraient pu donner des indications, mais espères un redressement plus important sur T4, donc espèrent un effet d'annonce sur le S2 complet. Donc en résumé ils ont eu des info privilégiés en échange de leur silence.
Vous savez que BFM avait donné des infos sur le départ de Meunier. Même si c'était une rumeur qui n'a jamais été confirmée, ils avaient annoncé le départ anticipé de Meunier au début de l'été.
Il ait possible que Meunier leur ai expliqué, que il voulait bien partir, mais que c'était inenvisageable que pour le gros des procédures de scission, ce soit fait par un nouvel entrant qui ne connaitrait pas la Atos et que le role de Meunier était juste de terminer la scission et de la présenter au vote et que une fois votée il partirait.
En résumé, soit ils ont eu des infos sur le redressement des marges, soit une date ferme maximale de départ de Meunier.
 

admin

New member
Je vais vous dire ce qui fera qu'une OPA à 18€ sera accepté et même si Atos met comme condition d'avoir 90% des titres apportés à l'OPA.

Lorsqu'il y a une OPA, le cours de bourse vient soit se coller au cours de l'OPA, soit très légèrement au dessus si le marché pense que l'OPA sera accepté, donc les traders font la tréso, c'est à dire qu'ils achètent un poil sous le prix de l'OPA pour les pressés qui ne veulent pas attendre un ou deux mois pour toucher leurs sous. Exemple OPA de Suez à 15€, le cours était est monté à 14.85€.
Soit il vient coter très légèrement au dessus si le marché pense qu'il va y avoir une surrenchère. En l'occurence au bout de 1 mois pour Suez on cotait à 15.50€ car le marché spéculait sur un relévèment d'au mois 1€, mais ne cotait pas non plus à 16€ car ce rélèvement n'était pas 100% acquis
Lorsqu'il y a une OPA qui semble nettement sous valorisé, le cours vient quoter nettement au dessus car il est persuader que le prédateur a d'ores et déjà prévu de relever son offre et là je n'ai pas d'exemple récent en mémoire, mais les traders pensent faire du beurre même en rachetant au dessus du cours de l'OPA.
Si la marché ne croit pas à l'OPA, le cours va monter mais peut quoter significativement en dessous du prix de l'OPA si le marché ne crois pas en sa réussite.

Pour ce qui est d'Atos, si demain il y a une OPA de Cap à 18€, il est quasi acquis que Atos ne quotera pas plus que 15€ à 16€, car ils penseront que les PP n'apporteront pas leur titre. Or le fait de voir que le cours soit nettement au dessous du prix d'OPA fera prendre peur aux PP que l'OPA rate (sauf 1% d'irreductibles) et les PP apporteront leur titre via leur courtier et l'OPA sera réussi. Il y a trop de gens qui ont des PRU à 20€ et qui penseront que à 18€ c'est une sortie honorable.
 
Sur ce point et sur ce point uniquement, je ne crois pas à l'hypothèse évoquée par Namaste qu'il y ait un squeeze short qui mène le cours au dessus du prix de l'OPA et la fasse apparaitre inatractive. Je pense que la VAD est suffisement faible pour qu'elle trouve largement assez de titres en cas d'OPA et que malgré le rachat de VAD, le cours irait quoter bien en dessous du prix de l'OPA, en gros 16€ si l'OPA est à 18€ ou 18€ si l'OPA est à 20€.
Je considère toujours comme élevée la propabilité d'OPA de Cap qui passerait n°1 Européen, n°3 Mondial et n°1 mondial dans la Cyber. Je rappelle que Cap a toujours nié être en discussion sur une OPA sur Atos et n'avoir jamais entamé de discussion, mais clairement leurs propos démentait toute OPA amicale. Mais si on parle d'une OPA hostile et qu'on relit leurs propos, c'est beaucoup plus ambigue.
 

m8994812

New member
Salut Tobias,
Personnellement j'ai passé Atos en pertes et profits, enfin ... plutôt en pertes en l'occurrence ^-^ Je considère mon capital au cours d'Atos d'aujourd'hui, soit 9 euros. S'il y avait une improbable OPA, mon capital monterait quoi qu'il arrive et tant pis pour la moins-value. De toutes façons, à - 79%, je suis plus près des actionnaires d'Alcatel qui ont tout perdu que des actionnaires d'Akka, de SQLI, de GFI Informatique ou de Groupe Open, qui ont retrouvé leur PRU grâce à une OPA. Avec un PRU de 43 euros, je sais que j'en serai de ma poche quoi qu'il arrive à cause des incompétents qui ont torpillé l'entreprise depuis ces 5 dernières années. Transformer un géant mondial en nain des services informatiques, nous avons dépassé la faute professionnel. Je ne comprends pas, non seulement qu'il n'y ait pas d'enquête et que ces types soient dégagés pour incompétence grave et encore moins que les actionnaires d'Atos continuent à voter pour eux en AG, et les payer pour détruire l'entreprise en dépit en dépit d'un bilan désastreux, déjà en mai 2022.
Je pourrai abaisser un peu mon PRU mais je ne le ferai pas tant que Meunier sera à la direction de l'entreprise et tant que le plan de scission sera sur la table. L'année dernière, j'avais mis toutes mes liquidités suite à la baisse de l'action jusqu'à 37 euros. Sachant que j'avais commencé à acheter vers 61 euros. A l'époque, je trouvais anormal qu'Atos soit valorisée 4 mois de chiffre d'affaire pour un seul profit warning quand tous les autres étaient valorisés entre 12 et 24 mois. Le naïf ! Quand je vois qu'aujourd'hui on valorise Atos 1 mois de chiffre d'affaire ... Ca m'a remis les idées en place jusqu'où le délire peut aller.
Grâce aux différentes directions d'Atos, j'en suis pour 128 000 euros. Ce qui m'a couté le plus cher en terme de pertes, c'est la nomination de Belmer avec sa dépréciation du 10 janvier 2022, son renvoi le 14 juin 2022 et le plan de Meunier. Dans tous les cas, Meunier est impliqué.
Je pourrai faire baisser mon PRU jusqu'à 23 euros mais il est hors de question de remettre de l'argent avec ce nuisible qui est toujours à la tête d'Atos ou je vais finir sur la paille.
De toutes façons, on voit que le marché ne veut plus voir ni Meunier ni son plan de scission. L'action n'est même pas capable de se maintenir au dessus de 10 euros alors qu'au lendemain de l'annonce du plan de scission, nous étions encore à 14,5 euros.
Meunier veut imposer son plan quoi qu'il en coûte, même s'il doit ruiner les actionnaires (ce qu'il fait avec brio !) mais s'il y a une chose que j'ai appris dans ma courte vie, c'est qu'on ne peut pas avoir raison contre tout le monde. Dans le cas de Meunier, ce n'est pas qu'il pense avoir raison, c'est simplement qu'il mène son combat personnel contre une éventuelle OPA de Caine et de Thalès.
Je fais partie de ceux qui pensent qu'il n'y aura pas d'OPA. Atos, ça fait depuis 1999 que je la suis. On nous a toujours parlé d'OPA mais il ne s'est jamais rien passé pendant ces 23 dernières années. Ce qu'il faut comprendre, c'est qu'avec ce plan de scission, il n'y aura jamais d'OPA sur Evidian. Il a été imaginé dans cet objectif.
 
 
 
 

tobias

New member
Salut @M8994812
Je comprends ta position même si je ne suis pas d'accord avec toutes tes hypothèses. Je suis pour ma part convaincu qu'il y aura une OPA sur Evidian suite à la scission.
 
Bien d'accord sur le fait que nombre de PP se plaignent et pleurnichent alors que l'on ne constate pas leur mécontentement dans les votes en AG. Les résolutions à la dernière AG ont, pour la plupart, été votées comme au bon vieux temps du Soviet suprême avec des scores d'acceptation supérieurs à 90 %.
J'ai voté tout comme toi CONTRE la plupart des résolutions, sans résultat ! Les types ont des actions et ne jugent pas utile de voter en AG ! Lamentable et surtout désolant ! C'est pourtant simple de voter via internet via son opérateur en bourse (Boursorama ou autre) tout est dans la rubrique OST (Opération Sur Titres).
C'est là dessus qu'il surfe et surnage ce bon vieux Meunier et ce depuis de longues années : sur les manquements et le non engagement des PP qui (on dira ce que l'on voudra) composent une très grande part du flottant d'Atos. 
 
Je ne sais pas si tu suis le forum S30 sur Bourso. Il y avait une actionnaire qui se vantait d'avoir presque 5% de la société et qui lors de l'AG 2022 de la boite à dit : "ne pas voter" et faisait ainsi confiance à ce bon vieux (aussi) Fortis ! Bon après, c'est sûr que sur le forum Bourso, il n'y a que des multimillionnaires qui dilapident leur fortune sans compter. Lol !! Beaucoup de mythos donc ! Mais ça en dit quand même long sur le niveau de méconnaissance global du monde de la bourse et le je-m'en-foutisme de nombre de Petits Porteurs.
 
Pour Meunier, Atos et son énorme flottant, c'est évidemment une aubaine pour avaliser tous ses excès et ne pas sanctionner son incompétence. 
 

matabeta

Active member
Salut map, comme tu le sais je suis dubitatif sur l’hypothèse capgemini mais ne demande qu à vous croire. Tu parles de propros ambigus, je n’en ai pas souvenir. Si tu as l’occasion pourras tu retrouver traces de propos ambigus de cap et éventuellement créer un nouveau thread sur la question ? Je n’ai vraiment pas d’indice de cette option à ce stade de mon côté.
 

admin

New member
Ils disaient qu'ils n'avaient aucune intention de faire une OPA et n'avais jamais pris de contat avec Atos à ce sujet.
Ambigue était peut-être un terme un peu fort, ça pouvait peut-être porter à interprétation sur le fait qu'ils n'étaient pas en discussion pour une OPA amicale.
Le mot ambigue m'a échappé car je voulais dire par là qu'ils n'ont jamais dit qu'ils ne feraient pas d'OPA amicale ou non solicité, mais avaient plus insisté sur le fait qu'il n'y avait jamais eu de contacts avec Atos. D'autre part leur dernière déclaration remote à Juin (de mémoire et elle n'est pas très bonne en ce moment). 6 mois d'eau qui coule sous les ponts et une certaine résilience de TFco au T3 et optmisme des deux DG sur T4 et un cours moyen sur 6 mois à 10€, ça ferait pas tache de faire une OPA sur 17/18€ alors que en Juin ça faisait style "je profite de l'effondrement du cours à un instant T pour faire une OPA, tandisque aujourd'hui la prime pourrait apparaite plus légitime et moins opportuniste. Et puis depuis Hermellin a donné le relai de la direction générale pour ne garder que le poste de président.
 

lcr

New member
Pour
Je me suis longtemps posé la question de l'utilité de cette scission, mais désormais je pense que la scission est la meilleure finalité pour le PP.
D'une part la scission entrainera le départ de Bertrand (c'est quand même un argument de taille pour être en faveur de la scission :)
Evidian a un potentiel partenaire solide (Airbus)
On peut envisager un avenir meilleur pour les 2 entités
Enfin après avoir longtemps espérer une  OPA, aujourd'hui je la redoute car suite à l'évolution du cours ces derniers mois on peut logiquement penser que le prix proposé sera faible, c'est normal que le titre est baissé (Management, Résultats, Annonce du plan de scission, Démissions successives...) néanmoins cette baisse ait été accentué volontairement par d'autres acteurs (dont on ne connaît pas encore les intentions). Ainsi pour ces raisons je n'apporterai pas mes petites actions et ce peu importe le prix proposé.
Qu'ils viennent les chercher...
 

neo333

New member
Pas encore décidé car pour moi tout dépendra du prix de base de l'action EVIDIAN et si on peux éspérer une OPA interessante dessus J'attends donc la proposition d'Airbus 
 

tobias

New member
Je suis assez d'accord avec toi @Lcr même si je n'appelle pas Meunier par son petit nom. Lol ! 
Comme je l'ai dit au dessus, je suis POUR cette scission du moins sur les bases données en juin 22 et renouvelées lors de l'interview d'Oliva soit : 70% du capital d'Evidian distribué aux actionnaires historiques.
Si jamais, du fait de l'accord avec Airbus, il venait à y avoir une autre distribution qui nous spolierait d'une part d'Evidian. Exemple : Atos vend 30% d'Evidian à Airbus, garde toujours 30% au sein de TFCo et nous distribue seulement 40% d'Evidian. Je pense que ça va pas le faire !
Dans ce cas là, je voterai CONTRE en AG et appellerai de mes vœux une OPA même à 20/25 euros.
Je bazarderai alors tous mes titres parce que je n'ai pas envie de me faire enfler lors de la cotation d'Evidian et TFCo (post scission). Evidian cotera correctement avant l'OPA d'Airbus qui ne tardera pas. Mais nous n'aurons que peu de titres en poche pour nous refaire vu qu'à contrario TFCo, elle, cotera rien ou presque. Sans espoir que ça bouge avant des années surtout si ce sont les mêmes guignols aux commandes. 
Si pas d'OPA dans la période pré-scission (probable) je profiterai d'une potentielle hausse du cours d'Atos historique pour m'en séparer et tchao Messieurs Dames !
 

lbachy

New member
un peu comme certains d'entre vous,
mais le politique joue également sa place et je ne sais si c'est le seul partage possible.
mon enthousiasme dépendra je crois du cours (son évolution) dans les prochaines semaines. 
 

admin

New member
Un membre de Boursorama disait tout à l'heure: "Pourquoi faire cette scission si de toute façon Evidian doit être vendu à Airbus ou un autre. Autant qu'ils vendent le périmètre Evidian et nous donnent un extra dividende et (là c'est moi qui rajoute) utilisent le reste pour se désendetter.
 

admin

New member
XxL200 , si création de valeur, le cours serait déjà plus élevé aujourd'hui. On est plus à deux ans de la scission mais à 4 mois.
 

lcr

New member
A ce prix il est hors de question que je lâche le moindre titre ! Vous savez, cela fait désormais un certain temps que je suis engagé dans cette aventure et je me dis maintenant que : 

La scission doit avoir lieu dans quelques mois
L'OPA je l'attends depuis que je suis sur le dossier mais maintenant qu'une autre issue est possible avec un partenaire solide comme Airbus, cela m'inspire à nouveau confiance
Je n'ai pas vendu quand l'action était à la cave, quand les articles défavorables à Atos sortaient chaque jour, quand la VAD en mettait plein la gueule aux actionnaires, j'ai résisté comme bon nombre sur ce forum (en même temps partir avec un -60% n'est pas dans mes habitudes)

Nombreux sont les actionnaires qui ont jeté l'éponge, d'autres en on profitait pour rentré à bon compte.
C'est pour ça que selon moi, si OPA devait arriver, avec un prix de 20€, beaucoup de titres sont apportés. Puis après, relèvement(s) d'offre(s) jusqu'à faire craquer les coriaces.
Vous savez même à 20€ je retrouve mes billes, je n'oublie pas mes camarades avec des PRU supérieurs qui refuseront d'apporter leurs titres par contrainte financière. Je serai avec eux pour montrer à l'acheteur que l'OPA n'est pas une formalité, pour qu'ils se rendent compte qu'ils ont peut-être fait une erreur stratégique en laissant Airbus se dévoiler en premier et enfin pour montrer que le PP n'est pas un petit peureux mais un individu engagé, patient et coriace.
Maintenant j'ai l'impression que les rôles s'inversent toute proportion gardée. Sous la contrainte du temps celui qui voudra ramasser l'entreprise avant la scission (et contrer Airbus) devra sortir du bois.
 
Pour répondre davantage à votre question, j'attendrai l'offre la plus haute pour vendre mes titres sinon ils viendront me les chercher 
 

lcr

New member
En 1 mois, nous avons pris 30% (c'est vrai que nous partons de loin...),je pense que l'action augmentera jusqu'à la scission ( à moins de résultats catastrophiques ou de mauvaises surprises)
 

admin

New member
Je suis pas vraiment d'accord avec ton analyse. Les 11.80€ on y était fin novembre. L'anomalie c'est qu'on soit redesdendu à 9€. On peut aussi prendre 7€ comme repère comparé à 11 maintenant pour dire que la scission "paie".
Ce que je vois c'est que depuis que la scission se rapproche, on a pas bougé de la zone de 11€
 

admin

New member
Je vois pas pourquoi ne pas vendre 80% de la Cyber à Thalès et garder Atos telle qu'elle. Atos est désendetée et avec 8.5Md€ de CA.
Cap a très peu de Cyber et vivent très bien.
 

youpiii

Member
Je ne lâche pas un seul titre avant 30 euros et je préfère une bonne restructuration avec une bonne recovery qu'une OPA à prix bradée à moins que le prédateur nous propose un prix au delà de 35 euros alors là je réfléchirai.
 

youpiii

Member
La scission sera un artifice pour désendetter tefco et pour servir d'alibi pour mieux se restructurer sinon le paquebot restera un paquebot avec toutes ses dettes et ses revenus déficitaires.
 

lesablais

Member
CONTRE
Il n'y a aucune raison de faire confiance aux clowns qui nous mènent par le bout du nez depuis des années
C'est plus pour moi une question de principe envers MEUNIER et PHILIPPE
PEA 1830 actions PRU 15.44 €
J'attends L'OPA globale
Bonsoir à tous
 

fab

New member
Contre.

Pour rappel, une semaine avant l’annonce de la scission, la situation financière délicate d’Atos était déjà connue et l’action cotait 27€.
Le projet de scission contenait des risques opérationnels majeurs. Il aurait été beaucoup moins risqué, et à priori plus favorable pour les actionnaires d’une vente de BDS à Thales.

Aujourd’hui, alors qu’une partie des risques liés à la scission sont levés, l’action cote à peine 12€.
 

admin

New member
Puisque quelqu'un a relancé le thread, je vote contre car c'est la sortie du statut de valeur OPAble qui l'a fait passer de 20 à 10€, car tout le monde savait que c'était aussi et même avant tout un plan anti-OPA.
Arrêter la scission ce serait rendre son statut Opéable à Atos et +50% direct à minima.
 

euro17

Member
POUR (raisons ci-dessous, (copier coller d'une analyse rédigée précédemment, c'est à dire avant les infos récentes type Airbus)
J’ai un apriori favorable à la scission. Par analogie, c’est un peu similaire à IBM + Kyndryl. 
Une entité qui dégage de la valeur est étouffée dans un groupe d’une taille si importante que cela devient un Mammouth, lent à réagir, avec une transmission d’information parasitée par des strates intermédiaires qui génèrent de la frustration et nuit à la productivité.
Les acquisitions hasardeuses sous l’ère Breton ont affaibli le groupe, qui, par ailleurs, n’a pas eu le temps de digérer toutes ces acquisitions. Cette croissance externe à tout va s’est faite au détriment de la maitrise organisationnelle (source de croissance organique).
Je ne m’attarde pas sur le passé (on ne va pas refaire l’histoire), et je préfère établir un état des lieux.

Un secteur « peu porteur » (infogérance) qui peut être certes profitable, mais qui nécessite une réorganisation afin d’être réactif (pour cela l’alliance avec AWS est pertinente, mais prend du temps. Et Bihmane semble être à son affaire).
Un secteur porteur, mais étouffé, en raison de la taille du Mammouth (on ne le voit plus), qui pâtit d’un « énorme boulet aux pieds ».
C’est là le point le plus important, une situation financière très dégradée, qui peut faire basculer le groupe tout entier  dans une spirale où les banques ne suivent plus et donc, avec comme seules alternatives, AK super massive et dilutive ou, dépôt de bilan.

Une petite analogie. Que s’est-il passé durant la crise des sub-primes? On a logé les titres toxiques dans une structure isolée, afin de rétablir les mécanismes financiers classiques, « dépollués » d’un énorme boulet, rétablir la confiance, et recréer une fluidité bancaire, avec restauration de la confiance. C’est un peu la même chose pour ATOS. Ce fut la même chose pour IBM.
(Une OPA sur le groupe n’est, à mon avis pas viable. Les problèmes resteraient les mêmes pour un repreneur et cela prendrait trop de temps avec une inconnue de taille : le coût pour restructurer et remettre le paquebot à flot).
Alors oui, bien sûr, l’entreprise peut se scinder en deux entités internes et distinctes. Mais le point 3 est bien là, c’est à dire une situation financière trop dégradée. En d’autres termes, ils ont agi trop tard, le mal était fait. ATOS n’a pas la capacité financière pour cela. Petite ou grande entreprise, la règle est la même : « Cash is King ». 
Hors, cette paralysie signifie pour une boite un immobilisme, de la frustration, de la perte de confiance, bref, une spirale négative qui s’auto-alimente. 
Ils ont bien tenté de récupérer du cash, mais c’est toujours la même chose. On brade parce qu’on est pressé et on a besoin de cash (c’est un peu par analogie ce qui se passe quand on achète une maison à crédit et que tout d’un coup, on perd son job, son couple bat de l’aile (analogie aux salariés et au management de la boite), on ne peut plus payer le crédit, et on met en vente). Sauf que quand le marché n’est pas au mieux, on est obligé de brader. 
Atos a tenté l’opération, mais cela s’est avéré peu efficace.
La scission permet en revanche d’attirer un investisseur sur un périmètre qui a du sens pour lui (une partie qui offre des synergies) plutôt que sur un groupe tout entier pour lequel les problèmes fondamentaux restent identiques comme évoqués ci-avant, avec un coût de restructuration et réorganisation difficilement quantifiable.
L’équation revient donc à établir quelque chose d’attractif, avec une valeur maitrisable (une partie du groupe plutôt que le groupe tout entier) et offrant donc un ratio risque/bénéfice (ROI) acceptable.
C’est pourquoi, j’ai un apriori positif sur cette scission, car c’est un moyen (ou moindre mal) pour récupérer du cash et ainsi sauver l’entité dans son ensemble, tout en restaurant (en partie tout au moins) de la valeur pour les parties prenantes (actionnaires compris). 
On voit la chose sous le prisme d’un actionnaire boursier, mais les enjeux d’un groupe candidat à une OPA voit cela sous un prisme plus large avec une mesure des coûts (pas ceux d’acquisition, ils sont faciles à établir) futurs difficiles à anticiper et maîtriser (dérapages dans le temps), avant même d’envisager les profits futures. Si vous me permettez cette comparaison légère qui sera une conclusion, c’est un peu comme un morceau de viande, plus il est gros, plus sa digestion est difficile. Alors, un morceau un peu plus petit, ce n’est peut-être pas si mal…..
 

m8994812

New member
Personnellement, je considère que le cours de référence pour juger du bien fondé de cette scission, c'est entre 24 et 26,8 euros, soit le cours qui était celui d'Atos avant le 14 juin 2022 et le Capital Market Day le plus désastreux de l'histoire boursière. Même si je dois l'avouer, une partie de la baisse est aussi due au départ avec pertes et fracas de Belmer, qui annonce le plan avant de dire à l'auditoire : je me casse, démerdez vous avec ça ! Bon courage à tous, vous allez en avoir besoin ! LOL Bon ok, ce ne sont pas les mots exacts mais dans l'intention, ça y ressemblait beaucoup ^-^
Ce qui fait donc encore une baisse de 50% par rapport aux 24 euros post-CMD. Pour moi, il y a donc encore bien de la pente à remonter, au moins pour revenir au point 0.
La chute à 7,18 euros est la conséquence à des répliques du tremblement de terre qu'il y a eu entre le 13 et 17 juin 2022.
Et à mon sens, si Meunier avait marche arrière suite à la réaction de marché désastreuse de mi-juin, éventuellement en réorientant la stratégie vers une cession plus large dans l'infogérance, nous n'en serions peut-être pas à 11 euros aujourd'hui.
 

jato

Member
Il est temps que les banquiers (spécialistes des OPA, AK,...) et des short sellers professionnels fassent leur deuil. En effet, l'annonce du plan de scission par Atos a été un tour de force stratégique anti-OPA.
Dans un premier temps, ils ont pris la rage et fait descendre le titre de 20 à 7€.
Dans un second temps, ils inondent le marché d'articles sans queue ni tête.
Maintenant il faut savoir lâcher....
 
 

youpiii

Member
Map
Le cours épousera une vraie tendance après le 28/02 amha car actuellement les HF vadeurs bloquent le cours de bourse d’atos et l’analyse en se basant sur ce dernier est certainement biaisée
 

loser62

Well-known member
contre aussi , sur l'argumentaire d'un membre que je vous recopie ici : 
Namaste  0  0 on décembre 22, 2022

POUR la séparation des deux entités mais CONTRE la scission avec distribution d’Evidian aux actionnaires actuels d’Atos. 
Je prône une cession par ce qu’on appelle un « sell-off » c’est-à-dire la cession complète soit d’Evidian, soit de TFco (l’idéal étant cette dernière option). Ceci évite tout risque d’imposition sur la distribution et, surtout, rend lisible et facile à analyser une entité et non deux. 
On a déjà vu ce qu’à donné la scission d’Atos et Worldline pour les actionnaires d’Atos !
Pour comparaison, l’empire LVMH, géré par probablement le meilleur stratège industriel que la France ait connu depuis un demi-siècle, s’est construit par acquisitions puis cession de certaines marques, notamment les moins rentables. Cela devrait inspirer le management d’Atos…
 

david

New member
POUR
concernant l'argumentaire relire l'interview de Nourdine Bihmane dans La Tribune
https://atos.blog/2022/12/13/nourdine-bihmane-dg-datos-il-ne-faut-pas-sous-estimer-atos-malgre-son-cours-actuel-en-bourse-la-tribune/ 
 

loser62

Well-known member
 "La scission des activités en deux branches est cohérente car la multiplication des activités au sein d’une seule entreprise créé de la confusion et de la désorganisation. Il est plus sain qu’il y ait deux entreprises performantes opérant sur leur marché respectif, qu’une seule qui ne serait pas assez focalisée." 
... mouais ... pas convaincu , au moins , la division pourra t-elle multiplier les économies , à défaut de gagner de l'argent on évite d'en perdre  ? 
 

admin

New member
Je rappelle que Thierry Breton en 2016 a reçu le prix du manager de l'année et à déclaré qu'il voulait faire de Atos un "EADS des ESN"
 

lesablais

Member
Je suis CONTRE
Par principe
Pourquoi dépenser des sommes folles pour avoir un résultat pire que le cours actuel
Je suis peut-être candide mais je reste sur ma première idée à savoir :
Une OPA globale sur ATOS mais maintenant il faudra intégrer le procès SYNTEL dans l'estimation
Il est grand temps de virer ces incapables
 

m8994812

New member
Désolé Map mais vu le nombre de crash depuis Décembre 2020, Thierry Breton n'a pas fait d'Atos l'EADS des ESN mais le Boeing des ESN ! ^-^
 

m8994812

New member
Si suite à la scission, Namaste est contre la redistribution aux actionnaires à cause de l'imposition liée de la redistribution des actions, je veux bien me dévouer pour récupérer les 70% des actions Evidian qui doivent être redistribuées aux actionnaires. Ne vous inquiétez pas, je vais me débrouiller concernant le paiement de la plus-value ! Et hop ! Un problème en moins pour les actionnaires d'Atos ! Je me la joue Crétinsky ! LOL ! Ne me remerciez pas, ça me fait plaisir de faire plaisir !
 

david

New member
mais si la négociation avec Airbus se passe bien et que le plan de scission est approuvé on aura bientôt l'Airbus du numérique
 

remi102

Active member
POUR MALGRE TOUT
L'argument CONTRE de MAP (entres autres) est très juste ; la fin de la scission la rendrait  Opéable mais qui achèterait une société de 110K personnes avec une partie du business en infogérance ? Il faudrait de plus avoir l'aval de Bercy qui va craindre des licenciements massifs (comme le spin off d'IBM il y a 2 ans).
La scission est certes compliquée mais plus rapide, en revanche pas en dessous de 20Euros. (cf BOA et HSBC).
 
 
 
 
Hello, 
je suis POUR car : 

Les changements de Caps à répétition sont ruineux et créent de l'incertitude, qui est toujours le plus lourdement sanctionné en bourse ou il vaut parfois mieux une mauvaise nouvelle qu'une absence de nouvelle (toute ressemblance avec un procès en cours, réel ou imaginaire, serait purement fortuite)
La scission permet de facilité les participations et éventuelles sessions - aspect spéculatif - cf. Airbus pour Evidian.
Les coûts annoncés pour la scission ne concernent en réalité pas que la scission... Il s'agit surtout du coût de redressement de la boîte, avec ou sans scission.
Les métiers d'Atos sont quand même assez différents, et il fait pas mal de sens d'avoir 2 DG différents qui donnent le cap à chaque boîte plutôt qu'essayer de tout concilier dans un paquebot ingouvernable. 
Permet de tourner la page (y compris nouveau nom pour Evidian, les Amérlocs sont capables d'en acheter sans même piger que c'est anciennement un bout d'Atos) - c'est douloureux, comme une réforme de retraite, mais à un moment il faut avancer - ça va faire un an qu'ils bossent dessus, ça serait démoralisant pour tous les salariés de revenir en arrière. Et un salarié démoralisé ne bosse plus ou démissionne.
Un retour arrière de la scission n'annulera pas la baisse liée à l'annonce de la scission, c'est mal connaître la bourse (cf compte non validés => validés, Atos a perdu 10 balles et rien repris). L'excuse de la Vade pourrait être l'absence de scission pour l'attaquer : de nouveau l'imprévisibilité vs la prévisibilité qui est récompensée en bourse. La scission est prévue, allons au bout et relançons les 2 business.

 
 
 

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