Renault
- Auteur du sujet langdon
- Date de début
Renault fait vraiment de belles bagnoles ... mais tout le monde fait maintenant de belles bagnoles. J'ai décroché sur le suivi de Geely et xsa joint venture avec Renault , j'en étais resté là :
https://www.tradingsat.com/renault-...-moteurs-thermiques-avec-renault-1062871.html
Je pensais à l'époque que l'Afrique , du fait de sa démographie
https://www.tradingsat.com/renault-...-moteurs-thermiques-avec-renault-1062871.html
Je pensais à l'époque que l'Afrique , du fait de sa démographie
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langdon
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Hello. Lucas De Meo a réussi son challenge de remettre Renault sur les rails après l'affaire Ghosn. Il a redonné des projets et des perspectives.
Le cours actuel (48.55) est encore inférieur au cours du jours de l'éclatement de l'affaire ghosn (65.55).
Rappelons que ne cours à tutoyer les 100. Les perspectives de valorisation sont donc intéressantes.
La nouvelle organisation proposée par LDM semble plaire au marché, en témoigne la forte hausse depuis le début de l'année.
Donc je dis Banco !
Mais comme toujours : will see !
Hello ! je viens de voir ça dans ma boite mail :
https://www.lerevenu.com/reussir-bourse/avis-des-pros/secteur-automobile-indicateurs-inquietants/
il y a le temps de jouer la hausse , mais le scénario de l'an dernier pourrait bien se répéter , UBS a souvent des conseils pleins de sagesse ( l'histoire du vendeur de pelles durant la ruée vers l'or )c'est pour ça qu'il préfère Michelin ou Pirelli mais si on suit leurs conseils de prudence on peut louper de belles occasions
comme pour le luxe où Sébastien Korchia affichait une certaine incrédulité sur la continuité des perfs d'hermès ou de >LVMH
https://www.lerevenu.com/reussir-bourse/avis-des-pros/secteur-automobile-indicateurs-inquietants/
il y a le temps de jouer la hausse , mais le scénario de l'an dernier pourrait bien se répéter , UBS a souvent des conseils pleins de sagesse ( l'histoire du vendeur de pelles durant la ruée vers l'or )c'est pour ça qu'il préfère Michelin ou Pirelli mais si on suit leurs conseils de prudence on peut louper de belles occasions
comme pour le luxe où Sébastien Korchia affichait une certaine incrédulité sur la continuité des perfs d'hermès ou de >LVMH
langdon
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(BFM bourse) Les investisseurs commençaient à s'inquiéter pour Renault, ces dernières séances. Le groupe au losange n'avait livré aucune annonce justifiant leur anxiété. Mais les avertissements sur résultats en cascade de ses concurrents Volkswagen, Stellantis, Mercedes-Benz, BMW et Aston Martin, tous survenus le mois dernier, avaient fini par rattraper le groupe de Boulogne-Billancourt en Bourse.
L'action Renault a ainsi dévissé de plus de 10% la semaine dernière, marquée par le lourd "profit warning" de son rival Stellantis.
Certes, Renault a le double avantage d'être présent ni en Chine ni aux Etats-Unis région qui malmène les groupes allemands et les marques premium en raison de la forte concurrence locale, ni aux Etats-Unis, où les stocks élevés pénalisent Stellantis mais commencent aussi à être importants du côté de Ford.
Cela n'a pas empêché les investisseurs de craindre des difficultés du côté du groupe au losange. "La chute du titre est probablement due au fait que le marché redoute un avertissement sur résultats de la part du groupe. Car, en dehors de Ferrari, ils sont les seuls à ne pas avoir abaissé leurs perspectives", expliquait la semaine dernière à BFM Bourse Adrien Brasey, analyste chez le bureau d'études Alphavalue.
"Après les avertissements sur résultats lancés récemment par l'ensemble du secteur, Renault s'est montré rassurant et a réitéré ses prévisions pour l'année en cours", écrit le bureau d'études.
Pour 2024, Renault compte dégager une marge opérationnelle au moins égale à 7,5% et un flux de trésorerie disponible d'au moins 2,5 milliards d'euros.
Bernstein, dans ses notes, souligne que les volumes du groupe au troisième trimestre devraient être légèrement négatifs, en raison notamment d'un effet de base défavorable au troisième trimestre qui devrait s'inverser au quatrième. Le "mix produit" (l'impact de l'orientation des ventes vers des modèles plus chères et mieux margés) devrait légèrement progresser. La division de services financiers, Mobilize Financial Services, pourrait, elle, afficher une croissance de ses revenus à deux chiffres.
Concernant les produits, Bernstein rapporte que la R5 électrique a reçu un bon accueil de la part de la presse et que le niveau des premières commandes dépasse les attentes de la société. "Mais le véritable succès ne sera visible qu'au cours du premier semestre de l'année 2025", écrit Bernstein.
RNO finit la séance d'aujourd'hui à 39.35 (+3.31%)
L'action Renault a ainsi dévissé de plus de 10% la semaine dernière, marquée par le lourd "profit warning" de son rival Stellantis.
Certes, Renault a le double avantage d'être présent ni en Chine ni aux Etats-Unis région qui malmène les groupes allemands et les marques premium en raison de la forte concurrence locale, ni aux Etats-Unis, où les stocks élevés pénalisent Stellantis mais commencent aussi à être importants du côté de Ford.
Cela n'a pas empêché les investisseurs de craindre des difficultés du côté du groupe au losange. "La chute du titre est probablement due au fait que le marché redoute un avertissement sur résultats de la part du groupe. Car, en dehors de Ferrari, ils sont les seuls à ne pas avoir abaissé leurs perspectives", expliquait la semaine dernière à BFM Bourse Adrien Brasey, analyste chez le bureau d'études Alphavalue.
Objectifs confirmés
Mais ce mardi l'action reprend du carburant, grimpant de 4% vers 15h30, ce qui constitue la plus forte hausse d'un CAC 40 en petite forme (-0,6%). Selon Bernstein, la société a tenu mardi matin une brève conférence téléphonique en amont de la publication de son chiffre d'affaires du troisième trimestre, prévue le 24 octobre."Après les avertissements sur résultats lancés récemment par l'ensemble du secteur, Renault s'est montré rassurant et a réitéré ses prévisions pour l'année en cours", écrit le bureau d'études.
Pour 2024, Renault compte dégager une marge opérationnelle au moins égale à 7,5% et un flux de trésorerie disponible d'au moins 2,5 milliards d'euros.
Bernstein, dans ses notes, souligne que les volumes du groupe au troisième trimestre devraient être légèrement négatifs, en raison notamment d'un effet de base défavorable au troisième trimestre qui devrait s'inverser au quatrième. Le "mix produit" (l'impact de l'orientation des ventes vers des modèles plus chères et mieux margés) devrait légèrement progresser. La division de services financiers, Mobilize Financial Services, pourrait, elle, afficher une croissance de ses revenus à deux chiffres.
Concernant les produits, Bernstein rapporte que la R5 électrique a reçu un bon accueil de la part de la presse et que le niveau des premières commandes dépasse les attentes de la société. "Mais le véritable succès ne sera visible qu'au cours du premier semestre de l'année 2025", écrit Bernstein.
RNO finit la séance d'aujourd'hui à 39.35 (+3.31%)
langdon
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PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le constructeur automobile Renault a confirmé jeudi ses objectifs financiers pour 2024, après la publication d'un chiffre d'affaires supérieur aux prévisions des analystes au titre du troisième trimestre.
Pour l'exercice 2024, Renault compte toujours atteindre une marge opérationnelle supérieure ou égale à 7,5% et un flux de trésorerie d'au moins 2,5 milliards d'euros.
Renault a confirmé ces perspectives alors que ses revenus ont progressé plus vite que prévu au troisième trimestre. Sur la période de juillet à septembre derniers, le chiffre d'affaires de l'industriel s'est inscrit à 10,7 milliards d'euros, en hausse de 1,8% sur un an en données publiées et de 5% à taux de change constants. Selon un consensus réalisé par FactSet, les analystes anticipaient en moyenne pour cette période un chiffre d'affaires de 10,54 milliards d'euros.
Le chiffre d'affaires de la division automobile du groupe est ressorti à 9,35 milliards d'euros au troisième trimestre, en repli de 0,5% en données publiées, mais en croissance de 2,6% à taux de change constants. Les analystes l'attendaient à 9,28 milliards d'euros. Sur la période, le constructeur automobile a vendu 482.468 véhicules, soit 5,6% de moins qu'au troisième trimestre de 2023.
Sur l'ensemble des neuf premiers mois de 2024, le chiffre d'affaires de Renault s'est établi à 37,7 milliards d'euros, en amélioration de 0,8% en données publiées et de 3,7% à taux de change constants par rapport à la période correspondante de 2023.
Au 30 septembre 2024, les stocks totaux de Renault représentaient 528.000 véhicules, dont 297.000 unités dans le réseau indépendant, contre 514.000 véhicules à fin septembre 2023. "Le niveau des stocks totaux à fin septembre était conforme à l'évolution saisonnière normale et à la montée en puissance des lancements de nouveaux produits du groupe", a précisé l'industriel.
Cours actuel : 40,27
Pour l'exercice 2024, Renault compte toujours atteindre une marge opérationnelle supérieure ou égale à 7,5% et un flux de trésorerie d'au moins 2,5 milliards d'euros.
Renault a confirmé ces perspectives alors que ses revenus ont progressé plus vite que prévu au troisième trimestre. Sur la période de juillet à septembre derniers, le chiffre d'affaires de l'industriel s'est inscrit à 10,7 milliards d'euros, en hausse de 1,8% sur un an en données publiées et de 5% à taux de change constants. Selon un consensus réalisé par FactSet, les analystes anticipaient en moyenne pour cette période un chiffre d'affaires de 10,54 milliards d'euros.
Le chiffre d'affaires de la division automobile du groupe est ressorti à 9,35 milliards d'euros au troisième trimestre, en repli de 0,5% en données publiées, mais en croissance de 2,6% à taux de change constants. Les analystes l'attendaient à 9,28 milliards d'euros. Sur la période, le constructeur automobile a vendu 482.468 véhicules, soit 5,6% de moins qu'au troisième trimestre de 2023.
Sur l'ensemble des neuf premiers mois de 2024, le chiffre d'affaires de Renault s'est établi à 37,7 milliards d'euros, en amélioration de 0,8% en données publiées et de 3,7% à taux de change constants par rapport à la période correspondante de 2023.
Au 30 septembre 2024, les stocks totaux de Renault représentaient 528.000 véhicules, dont 297.000 unités dans le réseau indépendant, contre 514.000 véhicules à fin septembre 2023. "Le niveau des stocks totaux à fin septembre était conforme à l'évolution saisonnière normale et à la montée en puissance des lancements de nouveaux produits du groupe", a précisé l'industriel.
Cours actuel : 40,27
pgirbourse
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Le TP (pas éligible PEA) est revenu à un cours intéressant.
En cherchant à l'étudier de plus près, je suis tombé sur cette analyse : https://www.oblig.fr/bond/FR0000140014
Les turbulences des dernières semaines remettant les High Yields sur le devant de la scène, ce site propose peut être des pistes d'investissement intéressantes.
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