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je cite https://www.frenchweb.fr/atos-crean...lement-pour-sauver-eux-memes-le-groupe/448722
– « Réinvestir » –
Autrefois fleuron français de l’informatique, l’entreprise traîne une dette brute colossale de 4,8 milliards d’euros et luttait pour sa survie. « Atos est sauvé, c’est terminé », a affirmé dimanche une source proche des créanciers à l’AFP. « L’accord a été trouvé entre les banques et les porteurs d’obligations qui ont soutenu Atos depuis le début ».
« L’idée principale, c’est que tout soit lancé avant les JO », a-t-elle ajouté. L’accord « laisse une part aux actionnaires actuels. Ceux qui croient en Atos et voudraient réinvestir pourront le faire », a-t-elle souligné.
Le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, candidat éconduit à la reprise du groupe, est-il hors-jeu ? Créanciers et banques « ne sont pas fermés à l’arrivée d’un industriel », a souligné cette source.
« Encore faudrait-il qu’il prouve qu’il est un industriel et que ce soit sans (le fonds allemand) Attestor », qui l’accompagnait dans son offre de reprise et dont « on ne veut plus entendre parler ».
L’autre investisseur sur les rangs pour reprendre Atos, le patron de Onepoint David Layani, dont l’offre avait été choisie le 11 juin, a jeté l’éponge cette semaine, à la surprise générale.
M. Layani, qui devait en devenir le nouveau dirigeant, a ensuite démissionné vendredi du conseil d’administration d’Atos et annoncé que son groupe souhaitait sortir du capital, dont il détient 11%.
– « Réinvestir » –
Autrefois fleuron français de l’informatique, l’entreprise traîne une dette brute colossale de 4,8 milliards d’euros et luttait pour sa survie. « Atos est sauvé, c’est terminé », a affirmé dimanche une source proche des créanciers à l’AFP. « L’accord a été trouvé entre les banques et les porteurs d’obligations qui ont soutenu Atos depuis le début ».
« L’idée principale, c’est que tout soit lancé avant les JO », a-t-elle ajouté. L’accord « laisse une part aux actionnaires actuels. Ceux qui croient en Atos et voudraient réinvestir pourront le faire », a-t-elle souligné.
Le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, candidat éconduit à la reprise du groupe, est-il hors-jeu ? Créanciers et banques « ne sont pas fermés à l’arrivée d’un industriel », a souligné cette source.
« Encore faudrait-il qu’il prouve qu’il est un industriel et que ce soit sans (le fonds allemand) Attestor », qui l’accompagnait dans son offre de reprise et dont « on ne veut plus entendre parler ».
L’autre investisseur sur les rangs pour reprendre Atos, le patron de Onepoint David Layani, dont l’offre avait été choisie le 11 juin, a jeté l’éponge cette semaine, à la surprise générale.
M. Layani, qui devait en devenir le nouveau dirigeant, a ensuite démissionné vendredi du conseil d’administration d’Atos et annoncé que son groupe souhaitait sortir du capital, dont il détient 11%.