L'article des Echos
investir.lesechos.fr
rend bien compte de la situation de porsuite de la vrille financière d'Atos, extrait :
"
Le chiffre d'affaires, lui, ne rebondit toujours pas puisqu'il ressort à 4,96 milliards, en repli de 10 % sur un an à données publiées, et de 2,7 % à périmètre et changes constants. La marge opérationnelle recule, pour sa part, à 2,3 % (3,3 % au premier semestre 2023). Conséquence, la situation financière du groupe s'affaiblit encore, avec un flux de trésorerie disponible s'établissant à - 1,91 milliard, contre - 969 millions sur les six premiers mois de 2023.
Autre mauvaise nouvelle : le ratio de prise de commandes sur chiffre d'affaires a chuté de 93 % au premier semestre 2023, à 73 % entre janvier et juin 2024, ce qui n'augure pas nécessairement un rebond de l'activité lors des prochains trimestres."
=>
Je me demande quand la direction avec une forte baisse de la marge et des prises de commandes va être contrainte de couper dans les effectifs. Pour l'instant aucun signal de fumée annonciateur de coupe dans les effectifs en France.
Je me demande sur quel(s) critère(s) la direction en France se décidera à lancer l'opération avant qu'il ne reste plus rien dans les caisses de l'entreprise et pour permettre aux survivants de continuer encore un peu dans l'entreprise avant l'inéluctable : la fin de cette entreprise.

Atos : encore un semestre difficile, Jean-Pierre Mustier nouveau PDG
Les semestres passent et se ressemblent pour Atos, qui accumulent les lourdes pertes nettes. Sur les six premiers mois de 2024, celle-ci atteint ainsi 1,94 milliard d'euros sous l'effet, notamment, de dépréciations des écarts d'acquisition et d'autres actifs non courants, pour 1,57 milliard...

"
Le chiffre d'affaires, lui, ne rebondit toujours pas puisqu'il ressort à 4,96 milliards, en repli de 10 % sur un an à données publiées, et de 2,7 % à périmètre et changes constants. La marge opérationnelle recule, pour sa part, à 2,3 % (3,3 % au premier semestre 2023). Conséquence, la situation financière du groupe s'affaiblit encore, avec un flux de trésorerie disponible s'établissant à - 1,91 milliard, contre - 969 millions sur les six premiers mois de 2023.
Autre mauvaise nouvelle : le ratio de prise de commandes sur chiffre d'affaires a chuté de 93 % au premier semestre 2023, à 73 % entre janvier et juin 2024, ce qui n'augure pas nécessairement un rebond de l'activité lors des prochains trimestres."
=>
Je me demande quand la direction avec une forte baisse de la marge et des prises de commandes va être contrainte de couper dans les effectifs. Pour l'instant aucun signal de fumée annonciateur de coupe dans les effectifs en France.
Je me demande sur quel(s) critère(s) la direction en France se décidera à lancer l'opération avant qu'il ne reste plus rien dans les caisses de l'entreprise et pour permettre aux survivants de continuer encore un peu dans l'entreprise avant l'inéluctable : la fin de cette entreprise.