Dans un call « Groupe » jeudi, PS a évacué en quelques mots le sujet pourtant critique et majeur du plan de refinancement, qui est dans toutes les têtes. Circulez, il n’y a plus rien à voir. La tourmente est derrière nous. Place à un avenir est radieux…
Les messages qui ont suivi sur les tendances du marché et le positionnement idéal de « United Atos », fort d’un portefeuille d’offres que nos compétiteurs nous envient, et qui couvre tous les besoins de nos clients, étaient à la fois d’une banalité affligeante et d’un lyrisme surréaliste. Plus le discours regorge de superlatifs, plus il suscite le scepticisme et la défiance. Ce n’est pas avec la méthode Coué que l’on gouverne. Les belles paroles se fracassent sur le mur des réalités: tant qu’il n’y aura pas de capitaine d’industrie digne de ce nom à la tête d’Atos, capable, avec une équipe de Direction compétente et engagée, de penser et mettre en oeuvre un plan stratégique robuste, l’entreprise restera sous respiration artificielle, portée à bout de bras par des salariés résilients qui jour après jour font vivre Atos.
Monsieur Saleh, êtes-vous conscient de vous être une fois de plus décrédibilisé aux yeux de vos 94 000 collaborateurs ? Vous nous avez livré un message en total décalage et déconnexion avec nos attentes. Quelle immense déception…
Vous aviez même si peu à dire qu’au bout de 30 mn (dont 10 consacrées aux JO), vous avez mis fin au call, alors qu’il restait 15 mn, 15 mn qui auraient pu servir à une session de Q&A.
Mais rassurons-nous, l’IA va sauver la planète Atos.
Les messages qui ont suivi sur les tendances du marché et le positionnement idéal de « United Atos », fort d’un portefeuille d’offres que nos compétiteurs nous envient, et qui couvre tous les besoins de nos clients, étaient à la fois d’une banalité affligeante et d’un lyrisme surréaliste. Plus le discours regorge de superlatifs, plus il suscite le scepticisme et la défiance. Ce n’est pas avec la méthode Coué que l’on gouverne. Les belles paroles se fracassent sur le mur des réalités: tant qu’il n’y aura pas de capitaine d’industrie digne de ce nom à la tête d’Atos, capable, avec une équipe de Direction compétente et engagée, de penser et mettre en oeuvre un plan stratégique robuste, l’entreprise restera sous respiration artificielle, portée à bout de bras par des salariés résilients qui jour après jour font vivre Atos.
Monsieur Saleh, êtes-vous conscient de vous être une fois de plus décrédibilisé aux yeux de vos 94 000 collaborateurs ? Vous nous avez livré un message en total décalage et déconnexion avec nos attentes. Quelle immense déception…
Vous aviez même si peu à dire qu’au bout de 30 mn (dont 10 consacrées aux JO), vous avez mis fin au call, alors qu’il restait 15 mn, 15 mn qui auraient pu servir à une session de Q&A.
Mais rassurons-nous, l’IA va sauver la planète Atos.