matabeta
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La semaine semblait se conformer au scénario attendu, avec une poursuite de la consolidation en début de semaine, le support des 12 précis atteint à 3 centimes près mardi, et le rachat de mes positions CT à ce niveau comme espéré. Mais le scénario « modérément haussier » a été finalement invalidé vendredi, pour terminer en « modérément baissier » (-1.44 %).
Echec du scénario, et échec des cibles hebdomadaires : le support des 12 était pertinent, nous clôturons exactement dessus, mais en séance vendredi, ce support a été percé de plus de 20 cents.
APPRÉHENSIONS SUR AIRBUS ?
La configuration technique s’est dégradée, notamment suite à cette séance de vendredi. Aucune news ne vient expliquer cette baisse, le contexte de marché non plus, et le volume n’est pas significatif.
La cause principale pourrait donc être l’absence, justement, d’informations sur l’acquisition par Airbus, principale attente du marché. Pour moi, le silence sur ces négociations en cours est plutôt bon signe, et il est normal que l’audit et ses suites prennent du temps : c’est toujours plus long que prévu… Mais des opérateurs peuvent être tentés d’opter pour la prudence, alors qu’initialement, des « sources proches » d’Airbus évoquaient une offre avant la mi-janvier. Atos tempérait aussitôt en évoquant « ni urgence, ni agenda fixé ». Mais on s’attendait tout de même à une communication avant mi-février. On s’oriente désormais sur une échéance lors de la publication des résultats.
Cela peut susciter de l’impatience et des appréhensions. En attendant, en l’absence de news, il y a donc un risque que l’effritement du cours se poursuive. D’autant que plusieurs inconnues restent en suspens, à commencer par la position de l’Etat, initialement défavorable, et qui reste étrangement silencieux depuis sa première réaction. Le marché n’aimant pas les inconnues, le temps ne joue pas en faveur du cours d’Atos sur ce sujet.
RESULTATS ET SIGNAUX FAIBLES
En période de résultats, la tension devrait commencer à augmenter un peu. Mais la clé du dossier se jouera donc comme indiqué sur le game changer Airbus, et non sur les résultats. On peut s’attendre, selon tous les éléments à notre disposition, à ce que ces derniers soient « meilleurs que prévus ». Pour rappel, le directoire a régulièrement envoyé des signaux rassurants à ce sujet. Dernièrement, c’est Diane Galbe qui indiquait que « le redressement opérationnel se réalise plus vite que prévu ».
Les résultats de DXC et de Kyndryl dernièrement, ont montré le retour en grâce de l’infogérance, tandis que les publications de Capgemini (jeudi) et de Sopra Steria (23/02) nous donnerons également des indications avant la publication Atos. Ces éléments pourront augmenter l’intérêt pour jouer la nouvelle, mais an gardant l’épée de Damocles Airbus active.
OPINION / STRATEGIE
En cas d’absence de news sur le dossier Airbus (ainsi qu’Astek et les autres prétendants), le risque d’une poursuite de l’effritement est malheureusement devenu le plus probable. Les indicateurs techniques se sont dégradés et sont compatibles avec ce scénario. Néanmoins, il n’y a pas lieu de paniquer, le newsflow a plus de probabilité d’être positif que l’inverse, le cours reste extrêmement sous-évalué, et des spéculations sont à venir sur le dossier. Dans ce contexte, je conserve mes positions et fais le dos rond.
A toutes fins utiles, voici les prochaines zones de supports et résistances pour ceux qui souhaitent alléger ou renforcer.
ZONES DE SUPPORTS11.40 / 11.15 / 10.3
ZONES DE RESISTANCES12.45 / 12.9 / 13.7
Pour rappel, je recommande une position LT et des positions de trading CT pour optimiser les rendements, selon la proportion de votre choix.
Bons trades à tous !
Echec du scénario, et échec des cibles hebdomadaires : le support des 12 était pertinent, nous clôturons exactement dessus, mais en séance vendredi, ce support a été percé de plus de 20 cents.
APPRÉHENSIONS SUR AIRBUS ?
La configuration technique s’est dégradée, notamment suite à cette séance de vendredi. Aucune news ne vient expliquer cette baisse, le contexte de marché non plus, et le volume n’est pas significatif.
La cause principale pourrait donc être l’absence, justement, d’informations sur l’acquisition par Airbus, principale attente du marché. Pour moi, le silence sur ces négociations en cours est plutôt bon signe, et il est normal que l’audit et ses suites prennent du temps : c’est toujours plus long que prévu… Mais des opérateurs peuvent être tentés d’opter pour la prudence, alors qu’initialement, des « sources proches » d’Airbus évoquaient une offre avant la mi-janvier. Atos tempérait aussitôt en évoquant « ni urgence, ni agenda fixé ». Mais on s’attendait tout de même à une communication avant mi-février. On s’oriente désormais sur une échéance lors de la publication des résultats.
Cela peut susciter de l’impatience et des appréhensions. En attendant, en l’absence de news, il y a donc un risque que l’effritement du cours se poursuive. D’autant que plusieurs inconnues restent en suspens, à commencer par la position de l’Etat, initialement défavorable, et qui reste étrangement silencieux depuis sa première réaction. Le marché n’aimant pas les inconnues, le temps ne joue pas en faveur du cours d’Atos sur ce sujet.
RESULTATS ET SIGNAUX FAIBLES
En période de résultats, la tension devrait commencer à augmenter un peu. Mais la clé du dossier se jouera donc comme indiqué sur le game changer Airbus, et non sur les résultats. On peut s’attendre, selon tous les éléments à notre disposition, à ce que ces derniers soient « meilleurs que prévus ». Pour rappel, le directoire a régulièrement envoyé des signaux rassurants à ce sujet. Dernièrement, c’est Diane Galbe qui indiquait que « le redressement opérationnel se réalise plus vite que prévu ».
Les résultats de DXC et de Kyndryl dernièrement, ont montré le retour en grâce de l’infogérance, tandis que les publications de Capgemini (jeudi) et de Sopra Steria (23/02) nous donnerons également des indications avant la publication Atos. Ces éléments pourront augmenter l’intérêt pour jouer la nouvelle, mais an gardant l’épée de Damocles Airbus active.
OPINION / STRATEGIE
En cas d’absence de news sur le dossier Airbus (ainsi qu’Astek et les autres prétendants), le risque d’une poursuite de l’effritement est malheureusement devenu le plus probable. Les indicateurs techniques se sont dégradés et sont compatibles avec ce scénario. Néanmoins, il n’y a pas lieu de paniquer, le newsflow a plus de probabilité d’être positif que l’inverse, le cours reste extrêmement sous-évalué, et des spéculations sont à venir sur le dossier. Dans ce contexte, je conserve mes positions et fais le dos rond.
A toutes fins utiles, voici les prochaines zones de supports et résistances pour ceux qui souhaitent alléger ou renforcer.
ZONES DE SUPPORTS11.40 / 11.15 / 10.3
ZONES DE RESISTANCES12.45 / 12.9 / 13.7
Pour rappel, je recommande une position LT et des positions de trading CT pour optimiser les rendements, selon la proportion de votre choix.
Bons trades à tous !
