Map peu tu expliquer ta logique refocus no split et Kretinsky ne risque pas d'apprécier la plaisanterie.
Tu trouve que le deal kretinsky est bon et que cela ne doit pas être renégocié?
Quand Kretinsky entre en négo exclusive, c'est pour signer, pas pour négocier. Les détails ont déjà été fixés par les parti, à un tel point que même les salaires des dirigeants et les packages attenants ont été fixés.
Donc de "vouloir finaliser les détails", ça ve dire renégocier.
En parallèle un projet pour l'instant non officiel cherche à faire sortir les activités stratégique pour l'état de Atos. Pour répondre à ta question, Big Data ne vaut quasiment rien avec une MOP à 1.5%, donc c'est pas une question de rentrée financière, mais d'isolée une activité qui fait une levée de bouclier.
Cela permettrait ensuite à un acteur y compris non français, de racheter Eviden 1€ symbolique quand ça sera en cessation de paiement (si Meunier reste et que le plan est continué en l'état) ou dès à présent à Kretinsky de faire une OPA sur le groupe car je rappelle que l'était à des JO de Paris à assurer et si Kretinsky se retire on peut se retrouver avec un Atos (incluant TFCo) en faillite 3 mois avant le début des JO. Depuis 1998 personne d'autre que Atos (1998 et 2002 SEMA désormais Atos) n'a organisé l'infrastructure des JO.
Donc personne ne peut remplacer Atos au pied levé pour les JO.
La tendance serai que Kretinsky se retire. L'audit Due Diligence semblerait mauvais et Kretinsky n'est pas d'accord pour renégocier.
Donc l'intérêt de l'état est de sortir urgemment les activités stratégique pour lui offrire une OPA sur le groupe. Il faut pas 6 mois pour sortir 200M€ de périmètre. Ca peut être fait très vite.
Maintenant il s'agit d'un dossier sensible, je ne donnerais que des infos dont je suis sûr. Pour l'instant je vous dit juste qu'il y a un projet très avancé de créer une co-entreprise Atos-BPI-DGA-CEA dont la vocation n'est pas de faire une rentrée financière pour Atos, hormis 100 à 150M€ maxi (estimation MAP), mais d'enlever cette activité des mains de Meunier. Et là, il n'aurait pas le choix (ENFIN) car sinon nationalisation de l'activité. Avec la co-entreprise il garde le prestige de pouvoir la citer dans les communiqués de presse.
C'est insignifiant pour la valeur ou le cash de Atos, mais important sur le coté OPAble de Atos.