« Cette fois le temps presse chez Atos. Le groupe d’informatique a entamé un marathon pour boucler sa restructuration d’ici la fin de l’année. La vente de ses activités informatiques à Daniel Kretinsky, le refinancement de sa dette et son augmentation de capital sont les trois piliers du plan que doit finaliser le nouveau président d’Atos, Jean-Pierre Mustier. »
La vente NEGATIVE DE 800 MILLIONS A KRETIN : C’est NIET
Le refinancement de la dette avec prolongation de 2 ans : C’est OK AVEC LA VENTE DE SYNTEL
L’AK DE 900 millions en 2024 : PLUS BESOIN AVEC VENTE SYNTEL
TOUT CE QUE DOIT FAIRE MUSTIER, non pas jusqu’au 31.12.23, mais depuis 1 mois et pour les PREVISIONS 2024 : DOUBLER LA MOP, plus d’exceptionnel, réduction de la masse salariale et des frais financiers, gestion et fixation des prix.
5- On oublie DEFINITIVEMENT la scission : depuis le 14.06.22, elle devait améliorer sensiblement le cours : tout n’a été que fisco total, c’était un plan meunier anti opa thales, sous belmer on a eu une offre thales-bain de 69 euros loupée (2.7 milliards pour BDS et 5 milliards de bain pour les autres activités) au cours des 5 premiers mois de 2022 . Puis un an plus tard : négociation avec airbus pour 30% d’evidien, réponse fin avril 2023 : 1.5 milliard pour 30% d’eviden, trop peu et trop cher. Et enfin cette scission est une très grosse aberration en soit : « La scission, un non sens industriel
Ce n’est pas le seul problème. Car le projet de scission de la direction d’Atos implique en réalité des problèmes opérationnels et industriels colossaux. Car les technologies d’Evidian sont aujourd’hui principalement utilisées par les activités de la filiale Tech Foundations. D’un côté, on trouve donc les compétences, métiers et ressources du cloud, de l’autre, le socle de clients à travers des contrats d’infrastructures. Séparer les deux entités impliquerait une perte de valeur considérable. Un non sens industriel. Résultat, en interne d’Atos, les syndicats sont désormais vent debout contre la perspective d’un tel split et face aux difficultés, la décision a d’ores et déjà été prise par la direction de ne pas faire la scission comme prévu en juillet 2023 (décidée le 14.06.22). Bref, après toute l’agitation de communication dans la presse de ces dernières semaines, à grands renforts de communiqués d’Atos, il est désormais urgent d’attendre. » ou de l’abadonner.
La vente NEGATIVE DE 800 MILLIONS A KRETIN : C’est NIET
Le refinancement de la dette avec prolongation de 2 ans : C’est OK AVEC LA VENTE DE SYNTEL
L’AK DE 900 millions en 2024 : PLUS BESOIN AVEC VENTE SYNTEL
TOUT CE QUE DOIT FAIRE MUSTIER, non pas jusqu’au 31.12.23, mais depuis 1 mois et pour les PREVISIONS 2024 : DOUBLER LA MOP, plus d’exceptionnel, réduction de la masse salariale et des frais financiers, gestion et fixation des prix.
5- On oublie DEFINITIVEMENT la scission : depuis le 14.06.22, elle devait améliorer sensiblement le cours : tout n’a été que fisco total, c’était un plan meunier anti opa thales, sous belmer on a eu une offre thales-bain de 69 euros loupée (2.7 milliards pour BDS et 5 milliards de bain pour les autres activités) au cours des 5 premiers mois de 2022 . Puis un an plus tard : négociation avec airbus pour 30% d’evidien, réponse fin avril 2023 : 1.5 milliard pour 30% d’eviden, trop peu et trop cher. Et enfin cette scission est une très grosse aberration en soit : « La scission, un non sens industriel
Ce n’est pas le seul problème. Car le projet de scission de la direction d’Atos implique en réalité des problèmes opérationnels et industriels colossaux. Car les technologies d’Evidian sont aujourd’hui principalement utilisées par les activités de la filiale Tech Foundations. D’un côté, on trouve donc les compétences, métiers et ressources du cloud, de l’autre, le socle de clients à travers des contrats d’infrastructures. Séparer les deux entités impliquerait une perte de valeur considérable. Un non sens industriel. Résultat, en interne d’Atos, les syndicats sont désormais vent debout contre la perspective d’un tel split et face aux difficultés, la décision a d’ores et déjà été prise par la direction de ne pas faire la scission comme prévu en juillet 2023 (décidée le 14.06.22). Bref, après toute l’agitation de communication dans la presse de ces dernières semaines, à grands renforts de communiqués d’Atos, il est désormais urgent d’attendre. » ou de l’abadonner.