
Walter Butler s'invite dans le dossier Atos
Le financier Walter Butler est prêt à épauler David Layani qui est au coeur d'un projet de reprise et de relance du géant malade des services numériques.

Le tempo de l'annonce, fait pour bousculer, laisse penser à une position de challenger.
Le tempo de l'annonce, fait pour bousculer, laisse penser à une position de challenger.
C'est pour cela que on veut attaquer les auditeurs. Même si je ne suis pas à l'iniative de la stratégie mais je la trouve pertinente.Map comment est il possible que les CAC aient laissés passer cette histoire de -1,8bi de BFR qui se retrouve régularisé en 2024?
C'est une hagiographie, pas un articleArticle publié ce jour :
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Car leur projet commun de reprise globale baptisé OneAtos permettrait de conserver le groupe sur le territoire hexagonal tout en le maintenant dans son intégrité actuelle.
Comme le préconisait récemment dans les colonnes du magazine Entreprendre, le grand redresseur d’entreprise, Axel Ruckert, qui recommandait absolument d’éviter toute stratégie de démantèlement ou de vente à la découpe du groupe, pourtant poussée par certains cabinets conseils ou banquiers d’affaires en attente de juteuses commissions. Heureusement, Bruno Le Maire et Roland Lescure ne semblent pas être tombés dans ce piège.
Clairement, il me manque des clés pour comprendre...
Serait-ce bien raisonnable une reprise par un repreneur qui ajoute (ou substitue) ses dettes à celles existantes ?
Justement, je pensais au coup d'après. Une fois propriétaire d'Atos, il lui faudrait/faudra lui faire "sortir" la marge pour payer les intérêts. Pas gagné quand on remonte aux interviews de 2009 de Breton, déjà face au manque de rentabilité...C'est un joueur de poker, ne pas l'oublier. Il peut réussir en deux ans ou se gaméler lamentablement.
La rotation des contrats et des personnes est élevée dans le service informatique.Je cherche toujours des explications : pourquoi de tels délais, pourquoi l'entreprise n'est-elle pas déjà reprise ? Au fond, qu'est ce qui freine ?
En définitive, il pourrait ne pas jouer seul : "les hedge funds prêts à prendre la main" (les Echos).C'est un joueur de poker, ne pas l'oublier.
A mon très très humble niveau, je confirme que nos clients sont en mode « sauve qui peut » d’une part et très sollicités par la concurrence « à prix cassés » …. Je citerai pas le nom de mon bientôt ex-client (ouf encore 8 jours…) mais c’est du public et la boss est une ex-atos enfin surtout ex mc-kinsey et fait rien au contraire pour nous retenir… je souhaite bien du plaisir aux ESN qui restent ou arrivent… qu’atos en sorte n’est que bénéfice pour ma société… tellement la prestation était « bradée »…Justement, je pensais au coup d'après. Une fois propriétaire d'Atos, il lui faudrait/faudra lui faire "sortir" la marge pour payer les intérêts. Pas gagné quand on remonte aux interviews de 2009 de Breton, déjà face au manque de rentabilité...
La rotation des contrats et des personnes est élevée dans le service informatique.
Les concurrents peuvent faire du cherry picking des bons morceaux sans reprendre la société, ses dettes et localement son passif RH (voir les coûts des licenciements faits en en Allemagne par ex., fonds de retraite à alimenter...) :
Pour les investisseurs, c'est comme le choix d'un livret pour y mettre des liquidités. Entre Distingo à 3% brut et Hello Bank à 0,55 (brut aussi), lequel choisissez-vous ?
- pour les contrats, il suffit d'attendre leur terme pour s'emparer des marchés en "soufflant" à l'oreille des clients tous les risques qu'ils prennent à ne pas basculer chez eux (et ils sont mieux informés que quiconque ici)
- pour le personnel ... la couverture de presse suffit.
La rentabilité d'Atos reste faible. Pas dit qu'elle ne puisse pas remonter mais ça aura un coût. Est-ce rentable, that's the question.
Au niveau des métiers, il y a une confusion entretenue entre des activités de prestige (supercalculateurs, cybersécurité) et leur dimension économique (de l'ordre de 5% du chiffre d'affaire pour chacun) et leur rentabilité (très faible pour le HPC apparemment).
La nouvelle récente du marché HPC avec le Brésil est une bonne nouvelle. Il est question de 19 millions d'US $ - probablement étalés dans le temps.
Pour juste maintenir son CA, Atos doit "rentrer" environ 40 millions d'€ de commandes chaque jour ouvré.
La commande Brésilienne, c'est juste 1/2 journée de prise de commande attendue (voire moins si la réalisation s'étale sur plusieurs années).
Les repreneurs ont ça en tête (et certainement bien plus - à commencer par les coûts d'intégration/fusion de 2 sociétés qui alourdissent la note).
Signée de l'époque Breton ou Girard ?A mon très très humble niveau, je confirme que nos clients sont en mode « sauve qui peut » d’une part et très sollicités par la concurrence « à prix cassés » …. Je citerai pas le nom de mon bientôt ex-client (ouf encore 8 jours…) mais c’est du public et la boss est une ex-atos enfin surtout ex mc-kinsey et fait rien au contraire pour nous retenir… je souhaite bien du plaisir aux ESN qui restent ou arrivent… qu’atos en sorte n’est que bénéfice pour ma société… tellement la prestation était « bradée »…
Je cherche toujours des explications : pourquoi de tels délais, pourquoi l'entreprise n'est-elle pas déjà reprise ? Au fond, qu'est ce qui freine ?
Breton mais des contrats historiques ex-bull…Signée de l'époque Breton ou Girard ?
C'est plus du mécano industriel mais du bricolage industriel, dommage que Tapie ne soit plus de ce monde, il aurait pu jouer un rôle aussiReprise d’Atos: David Layani propose un tandem avec Stéphane Richard comme président
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Reprise d’Atos: David Layani propose un tandem avec Stéphane Richard comme président
INFO LE FIGARO - L’ex-PDG d’Orange pourrait prendre la présidence d’Atos si l’offre du patron de Onepoint, premier actionnaire du groupe, est sélectionnée.www.lefigaro.fr
Quand j’ai lu « Stephane Richard » j’ai cru à notre patron de TS monde. Ça aurait été une bonne nouvelle pour Atos à condition que Layani passe. Mauvaise si Kretinsky passe.Reprise d’Atos: David Layani propose un tandem avec Stéphane Richard comme président
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Reprise d’Atos: David Layani propose un tandem avec Stéphane Richard comme président
INFO LE FIGARO - L’ex-PDG d’Orange pourrait prendre la présidence d’Atos si l’offre du patron de Onepoint, premier actionnaire du groupe, est sélectionnée.www.lefigaro.fr
Quid de François Fillon comme conseiller du DG dont ses bonnes adresses pour les costards de luxe ?
Il a fait du boulot.Il a fait du bon boulot à Orange.
Il n'est pas impossible qu'il arrive à créer un blocage politique dans la cession à Kretinsky, qui in fine ferait capoter toute la boite à la fin de l'histoire si Kretinsky venait à se retirer.
C'est perso ce que je pense depuis un bout de temps : l'aspect financier est important mais ne pas négliger l'aspect politique qui doit bien polluer en arrière plan.
Et ce que l'on pourrait penser comme des erreurs seraient en fait des choses très bien calculées pour arriver au résultat du démantèlement total : peut-être que le démantèlement est le but au final ?
C'est juste mon point de vue, une hypothèse parmi d'autres.
and possibly DK will buy both..OneAtosClearly, he is trying to oust K on the ground of very mediocre politics (pleonasm) and media noise, in order to make people forget (easy, with what remains as serious eco journalists) that... he does not have a round and even less a round on the table!
If he succeeds, he will remain alone online, he will sink ATOS and Onepoint in 1 year or 2, and that's it!
Les employés roulent pour Layani.
Si j'étais employé il me semble que je préférerai Kretinsky sauf à être proche du sommet
Malgré les beaux discours ce que pense ou pas les employés va peser peanuts dans la décision
Pas tous les salariés, loin de là....Les employés roulent pour Layani.
Si j'étais employé il me semble que je préférerai Kretinsky sauf à être proche du sommet
Malgré les beaux discours ce que pense ou pas les employés va peser peanuts dans la décision
Bonjour, près de 60% de participations aux dernières élections professionnelles. Ce n'est pas très juste de dire que les syndicats ne représentent qu'eux-mêmes.
On imagine son embarras après la fuite pas trop bien sourcée dans le Figaro !