matabeta
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Lorsque vous déduisez que Atos fait un chèque de 1 milliard à Kretinsky, il y a tout de même plusieurs points qui ne sont pas pris en compte dans ce constat. D’une part, on ne sait pas encore la part de ce milliard qu’Eviden récupérera éventuellement étant donné qu’on parle de fond de roulement. D’autre part une énorme part de normalisation de fond de roulement des deux entités a déjà été passée au S1, qui a conduit à exploser la dette et en grande partie à notre déception. Peut être qu’une partie est déjà comprise ?
Enfin et surtout, vous omettez la participation de Kretinsky aux AK d’ Eviden, dont une partie a un prix fortement surélevé par rapport au cours d’ eviden que l’on peut déduire actuellement et dans l’immédiat après cession. Ces éléments ne permettent donc pas de dire que Atos signe un chèque de 1 milliard, tout pris en compte, une certitude, ce sera moins. Plutôt autour de 600 millions. Ce qui est déjà bien plus que nous ne l’espérions, mais pas non plus irresponsable.
Cela fait partie des points objectifs qui sont tournés à l’excès de négativité entretenue naturellement par la sanction des marchés. L’un entraine l’autre et vice versa. Mais dans ces moments, il ne faut pas céder à l’irrationalité ni au pessimisme excessif. La réalité est déjà rude, pas la peine de la noircir plus que de raison !
Enfin et surtout, vous omettez la participation de Kretinsky aux AK d’ Eviden, dont une partie a un prix fortement surélevé par rapport au cours d’ eviden que l’on peut déduire actuellement et dans l’immédiat après cession. Ces éléments ne permettent donc pas de dire que Atos signe un chèque de 1 milliard, tout pris en compte, une certitude, ce sera moins. Plutôt autour de 600 millions. Ce qui est déjà bien plus que nous ne l’espérions, mais pas non plus irresponsable.
Cela fait partie des points objectifs qui sont tournés à l’excès de négativité entretenue naturellement par la sanction des marchés. L’un entraine l’autre et vice versa. Mais dans ces moments, il ne faut pas céder à l’irrationalité ni au pessimisme excessif. La réalité est déjà rude, pas la peine de la noircir plus que de raison !
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