En effet, l'article mensonger et manipulateur de Challenges cite la Lettre A en disant que la publication de cet article sur les marges négatives sur certains gros contrats ont provoqués une réunion de crise.
Voici la vérité, via quelques extraits car la description du contenu de l'article de LA LETTRE A a été vilement manipulé par Challenges. MERCI DE NE PAS DUPLIQUER CET ARTICLE AILLEURS NI D’EN FAIRE COPIE.
TITRE DE L'ARTICLE
deux semaines de l’annonce de ses résultats annuels, la pression est maximale sur Atos. Lancé dans le plan de scission en deux sociétés, le groupe projette de reformater en 2023 plusieurs contrats d’infogérance jugés insuffisamment profitables. Les prestations concernées sont celles du CEA et d’EDF pour le secteur public ou encore celles de Thales, Safran, BNP Paribas ou Stellantis pour le privé.
DANS LE VIF DU SUJET
Une série de grands contrats d’infogérance vont être passés au scalpel par le groupe Atos. Selon un document consulté par La Lettre A, une douzaine d’entre eux, gérés par la division Tech Foundations, ont été classés en « rouge », avec pour chacun, des actions correctrices à mettre en place. Leur marge est inférieure, voire très inférieure aux attentes, sachant qu’en 2022, l’indicateur moyen a été de 17 % pour la France, avec un objectif désormais fixé à 24 %
On parle de marge inférieure à la moyenne, mais pas de marge à perte.
ON PARLE MEME DE BON ELEVES
Les bons élèves n’échappent pas au rabot
Un des autres gros clients destinataires de prestations d’infogérance est EDF. L’énergéticien a respectivement rapporté sur les deux premiers semestres 12,2 et 11,9 millions d’euros. Les marges associées sont respectivement de 5,8 % et de 10,7 %. C’est mieux qu’avec le CEA, mais encore loin des objectifs du groupe. Il faut toutefois prendre des gants avec EDF, qui reste l’un des vingt plus gros clients d’Atos, bénéficiaire de prestations totales de 145 millions d’euros en 2021 comme nous l’avions révélé (LLA du 17/10/22).
Voilà, c'est donc cet article qui aurait SOIT DISANT déclenché une réunion de crise d'après Challenges...