UnSalarieEviden
Active member
Rien de neuf, rien d'innovant dans la présentation de Paul Saleh. Dans la répartition des business, le vert fait sa réapparition (c'était la couleur par défaut avant le naming et le branding d'Eviden), pour les "assets souverains." Le vert, c'est la couleur de Bull.
Son message sur la productivité et l'automatisation ne remet pas en cause la bureaucratie en place, avec des surcouches de managers intermédiaires tant du côté opérations que du côté commerce.
Et l'automatisation qu'il nous rabâche, c'est du bullshit tant que les processus internes ne sont pas réellement simplifiés par des pros, pas des cabinets de conseil qui font faire le boulot par des juniors qui recopient les powerpoints de clients précédents.
On va taper dans la masse des salariés, sans discrimination, sans possibilité de garder les meilleurs (croyez-moi, les plans sociaux ne permettent pas de le faire, et dans ce contexte, les meilleurs partent ailleurs très vite, parce qu'ils le valent bien). On est mal barrés.
Son message sur la productivité et l'automatisation ne remet pas en cause la bureaucratie en place, avec des surcouches de managers intermédiaires tant du côté opérations que du côté commerce.
Et l'automatisation qu'il nous rabâche, c'est du bullshit tant que les processus internes ne sont pas réellement simplifiés par des pros, pas des cabinets de conseil qui font faire le boulot par des juniors qui recopient les powerpoints de clients précédents.
On va taper dans la masse des salariés, sans discrimination, sans possibilité de garder les meilleurs (croyez-moi, les plans sociaux ne permettent pas de le faire, et dans ce contexte, les meilleurs partent ailleurs très vite, parce qu'ils le valent bien). On est mal barrés.