Je ne comprends pas la pertinence de la question, mais je ne comprends pas les évaluations de lamaban ou map.
Surtout que lamaban oublie un point important, c'est qu'il y a un acheteur, qui n'est plus une rumeur et qui a sorti au moins 50 millions d'euros, et que lui a une expérience quant à construire une boîte ou en racheter une.
Et que plus le temps passe, plus ce qui décidera de qui a raison ou tort c'est tout simplement la force du trend technologique ou son éventuel arrêt.
Si la tendance actuelle se poursuit, je n'ai plus aucun doute qu'Atos ne sera pas un penny stock (ce que techniquement elle était déjà).
Une boîte endettée qui perd de l'argent peut à peine valoir ses dettes, pourquoi vaudrait-elle même ses dettes?
Pourquoi lamaban ne pas défendre une thèse encore plus radicale où même les créanciers deviennent perdants?
Par contre là où lamaban a raison, c'est la mise en avant de l'orchestration de la narration. Mais je pense qu'on a encore un peu de temps pour un éventuel retournement baissier mais je ne comprends pas l'intérêt de choisir son camp.
Map et lamaban peuvent très bien avoir raison, et je prends le pari que dans quelques mois il y aura un nouveau narratif baissier. Atos pourra si les conditions de financement sont toujours aussi délicates devenir un vrai penny stock.
Les constructeurs (Layani, les pp à long terme) savent juste que le marché valorisent depuis des années très fortement les actifs Eviden (et c'est bien la thèse Meunier). Et ce scénario a actuellement toutes ses forces. Atos n'a besoin que d'1 milliard, ce n'est pas non plus énorme. Le marché peut très bien décider de financer. Je ne vois rien d'impossible.
Un signe très favorable pour Atos serait d'observer que le marché finance des boîtes bien moins importantes qu'Atos mais pour l'instant, hormis quelques trends "IA" "Bitcoin", je ne vois rien.