Article de Meunier en mode pleureuse dans le Figaro. En ligne sur le blog, merci à Granulo

admin

New member
 
Merci à Granulome.
 
et je serais tenté de rajouter Meunier en mode pleureuse, ... comme d'habitude...  "C'est pas de ma faute, c'est pas vrai, tout va bien..."
Je répète que dans la mesure du possible, c'est sympa si l'article ne recèle pas une news urgente de me l'envoyer par mail comme à fait granulome, sous 15 à 20mn je le mets sur le blog et ça permet de faire du traffic, (par le but ultime en soit) mais surtout d'améliorer le référencement Google du blog via le nombre de clic, qui a pris un coup avec le changement d'URL, souhait voulu par Atos et il va falloir 2/3 mois pour retrouver le même référencement.
www.atos.bourse.blog
 

ozymandias

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3 points intéressants à mon sens:
 
«Ce dénigrement systématique créé une situation contraire à l’intérêt social d’Atos, de ses salariés et de ses clients, et de ses actionnaires, insiste-t-il. Je regrette les conséquences de ce dénigrement sur les salariés et sur les clients. On ne joue pas avec une société qui emploie 110.000 personnes.»
Sur ce point là je suis d'accord avec lui, sauf que je tire la conclusion inverse. Il aurait dû partir depuis longtemps.
Destinée à être introduite en Bourse lorsque les conditions de marché le permettront, la société a besoin de moyens financiers supplémentaires pour investir davantage dans ces activités en très forte croissance. 
ça c'est un point clef de la vision Meunier. "Je peux pas introduire en bourse Eviden parce que les conditions de marché ne le permettent pas." A aucun moment il n'envisage que le marché c'est pas la météo. Tu peux pas introduire en bourse Eviden parce que ton projet est foireux, pas parce que le vent est défavorable. Attendre n'y changera rien.
Un argument devrait faire mouche auprès d’un certain nombre d’actionnaires. Dans leurs avis publiés le 14 juin, ISS et Glass Lewis, deux agences américaines spécialisées dans le conseil en vote 
 
...lesquelles ont été payées par lui rappelons le. 
En tout cas cette AG va être un bon test pour savoir quel est l'impact de ces agences, ont elles réellement un pouvoir d'influence. 
 
 
 
 
Preuve que nos chances de réussite ne sont pas si mince, il se sent menacé ... Les autres menbres du CA devrait le convaincre de se retirer et de laisser la place à Bihmane...
 

aramis

Member
Ozymandias, je pense hélas qu'il a raison pour ce qui concerne EVIDEN: "la société a besoin de moyens financiers supplémentaires pour investir davantage dans ces activités à forte croissance" ; Et je suis persuadé que tout le sujet ATOS est là. Avec Airbus le sujet était réglé, mais sans Airbus c'est soit un autre partenaire clef ( CAP GEMINI? ORANGE? BPI?), soit une AK.
Soit une vente au rabais de TFCO à Kretinski qui prendrait 10% d'EVIDEN en apportant du cash..
 

admin

New member
Et ben merci à Max et merci à toi pour avoir fait suivre, car je ne suis pas tout le temps sur le forum :)
 

admin

New member
 
Bon on se retrouve enfin Aramis. Le problème est là. Dans le CDM 2022, Atos a légèrement sur estimé le plan de TFCo mais a sous-estimé les besoins d'investissement de Eviden et ils ne peuvent pas financer les deux, et encore moins depuis le passage des taux de leur ligne syndiquée à 5.6% (Euribor +160 pdb)
 
D'après un mail interne, donc j'avais mis copie, mais que je peux remettre si vous le souhaitez, un chef de projet me dit que la mise en bourse n'a jamais sérieusement été envisagé, raison aussi pour laquelle ils n'ont jamais communiqué sur les conditions de taxation contrairement à la distribution des actions Wordline qui avait donné lieu à un mémo détaillé pour les actionnaires.
 
Le but a toujours été de trouver un actionnaire de référence qui achetait les 30% pour Eviden, la vente progressive de ces 30% était juste un plan C de sauvetage. Même étallée sur un an, on imagine bien l'afflux de papier que ça aurait fait...
 
En fait la scission a été faite pour préparer la vente de TFCo et non la mise en bourse de Eviden. Depuis le début ils avaient prévu de vendre TFCo et n'en voulaient plus. Ce fameux redressement de TFCo, c'était une mission pièce montée pour attirer les acquéreurs. C'est pour cela que les discussions Kretinsky ont commencé en même temps que Airbus. Au début Atos ne voulait pas faire de chèque, mais le retrait de Airbus les a forcé à accepter l'idée de mettre de l'argent sur la table.
 

marcel

Active member
Longtemps réfractaire à une scission, je suis de plus en plus convaincu que se séparer de TFco est la solution la plus sage. L'avenir de l'infogerance est très incertain. Même si redressement il y a, ça ne sera plus la poule aux oeufs d'or d'antant.
S'en séparer au meilleur prix possible et ne garder que les activités avec un gros potentiel est la direction la moins risquée.

Les investisseurs reviendront ensuite vers Eviden. La société est rentable. Mais si elle ne veut pas rater le train, il faut obligatoirement investir, et certainement plus que les 400M en 3 ans. Tous les concurrents ont du cash. Atos a de la dette, elle coûte cher, et elle coûtera de plus en plus cher avec les taux qui s'envolent....
 

admin

New member
 
C'est pour cela que la scission a été faite en fait. Pas du tout pour faire le spinoff, d'ailleurs j'ai jamais compris cette stupidité que le New Atos était le old Atos. 
 
En fait la scission a été faite pour séparer TFCo de Eviden et absolument pas l'inverse. Le financement de TFCo par la vente progressive des 30% de Eviden, c'était un plan C de dernier recours s'ils ne trouvaient pas de partenaire pour Eviden ou pas d'acheter pour TFCo... Tout devient limpide maintenant. Comme d'habitude Meunier nous a pris pour des idiots. Finallement y'a pas besoin d'avoir fait polytechnique pour cerner tous ses subterfuges. Comme le fait que la scission allait couter 1.6Md€ alors que en comptant McKinsey, toutes les banques conseils et autres cabinets d'Audit, ça doit monter maxi à 100M€ déjà déboursés et 50M€ restant. 
 

lg600

Active member
Son discours n'a pas changé depuis 1 an
https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/atos-est-fragilise-par-une-campagne-de-destabilisation-externe-son-president-sort-du-silence-20220718
C'est la faute au marché, aux actionnaires mais surtout pas MA faute 
 
 

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