Justement, c'est à la fois juste et général. Tout le secteur écrit les mêmes choses sur ces sujets (impact des hypercalers, de l'IA, vendre avec de la marge...).Regardé rapidement l'offre K, en dehors de la partie finance qui me parle peu, énormément d'infos sur les faiblesses/forces de la société, actions à venir, retour de certains anciens, Generative AI, road show avec top 100 clients, recrutement CEO/board ... c'est plutôt clair même pour un non spécialiste
Côté L moins riche en info, plus du financier et administratif, au final que 175m€ sur la table pour Layani/Butler
Pas lu les offres mais faire revenir Nourdine est définitivement la preuve que K comprend qu'ATOS, c'est aussi et surtout une histoire d'hommes et de femmes !Il est clairement dit dans la proposition de DK qu’il veut faire revenir certain anciens d’Atos. Dont Nourdine
A un moment, quand on est un capitaine d'industrie comme Nourdine, il faut se demander quelle industrie on doit servir.Je considère le retour de Nourdine comme compliqué. Il est l'actuel PDG de Konecta, une entreprise de plus de 130 000 travailleurs et il n'est pas en fonction depuis 3 mois. La chose normale est qu'il aurait pris quelques mois de congé jusqu'à voir si K gagnait, ce qui était son pari personnel et avec lequel il s'était engagé devant les clients, le défendant comme la meilleure option pour Atos. Maintenant, retourner chez Atos tout de suite le laisserait passer pour un gars pas sérieux. Il y a aussi le facteur personnel, puisqu'il réside à Madrid où il souhaite vivre et que le siège de Konecta s'y trouve également.
Faut pas rêver non plus, konecta est maintenant plus gros que Atos, même secteur d'activité, quasi même géographie, tendance ascendante, plutôt bien géré semble t'il, Nourdine est déjà au sommet comme CEO...A un moment, quand on est un capitaine d'industrie comme Nourdine, il faut se demander quelle industrie on doit servir.
Je ne veux pas parler à sa place, mais je le vois plus utile chez Atos refinancé que chez Konecta.
Putain, Nourdine, reviens, sérieux !
Premier au village ou second à la ville ... ?Pour Atos il y a effectivement un intérêt à ce qu'il revienne, pour lui par contre ? Et c'est pas la situation financière actuelle qui ça permette de proposer un salaire mirobolant !
Faut pas rêver non plus, konecta est maintenant plus gros que Atos, même secteur d'activité, quasi même géographie, tendance ascendante, plutôt bien géré semble t'il, Nourdine est déjà au sommet comme CEO...
Atos a l'inverse, il a (en étant optimiste) 50% de se planter dans les 2 ou 3 ans, il a 100% de chance d'y vivre un enfer pendant au moins la première année.
Pour Atos il y a effectivement un intérêt à ce qu'il revienne, pour lui par contre ? Et c'est pas la situation financière actuelle qui ça permette de proposer un salaire mirobolant !
Tu viens de rendre la comparaison encore plus semblable, Tfco c'est déjà en gros que du service pur et dur: gestion de parcs informatiques, gestion de serveurs, simplification et automatisation au max, etc.Konecta c'est gros en terme de salariés, mais pas de CA. C'est des centres d'appels, 130k salariés c est pas si colossal dans ce secteur d'activité, c'est que du offshore. Et puis c'est pas bandant les centres d'appels. Il va revenir à mon avis.
En gros si Kretinsky était français, ça fait un an qu'on lui aurait servi Atos sur un plateau.Je reviens sur les offres et d'après les différents derniers articles de map, je me pose une question bête : pourquoi K n'a-t-il pas déjà gagné depuis un moment vue son offre qui semble bien plus avancée que Layani ? (pourquoi et encore des dates repoussées et pas l'avoir choisi aujourd'hui ou ce week-end ?)
Ca m'interroge toute ces tergiversations et le business qui en fait les frais.
En gros si Kretinsky était français, ça fait un an qu'on lui aurait servi Atos sur un plateau.
Là, il est tchèque, donc on sort une nouvelle excuse bidon tout les trois jours. Il est malin, il joue le jeu, parce qu'il sait que passer en force n'aiderait pas sa réputation.
Arrivé ou il en est, partant de rien et en quittant l'école à 16 ans, cela n'a pas du être un long fleuve tranquille. Là dessus respect, un gamble de plus dans son déjà long parcours.Ce qui me fascine aussi c'est la persévérance de Layani, il aurait pu aussi laisser tomber vu les difficultés
"Ne jamais attribuer à la malveillance ce que la bêtise suffit à expliquer."...Je me pose la question si c'est si simple que ça, le fait qu'il soit Tchèque, où si y-a un truc quelque part dans son offre qui pourrait clocher ou autres choses qu'on voit pas (à part sa nationalité), peut-être qu'il a des casseroles dont on n'a pas la connaissance mais d'autre oui ??
Parce que là la situation me parait plus qu'aberrante et surtout ça se voit de plus en plus
@thombalSi aucun des repreneurs ne peut réunir la majorité des créanciers, est ce que le board peut passer à un stade supérieure du processus de restructuration financière, pas à l'avantage des créanciers ?
D'après l'offre de DK, il y a déjà un plan de restructuration HR dans le pipe
La position de Layani est plutôt faiblarde au final, quid de la fuite de certains clients pas excités de voir Atos sous le contrôle des créanciers ?
Voir la pièce jointe 822
Ceux avec suffisamment d'ancienneté dans la boite ont intérêt à attendre de voir et bénéficier d'un plan même si il pense pouvoir se recaser. À ce niveau les conditions sont bonnes en France.@thombal
Merci par ton commentaire de m'avoir inciter à aller voir l'offre EPI ) https://atos.net/wp-content/uploads/2024/06/Revised-offer-EPEI-Attestor.pdf
Pour le paragraphe Worforce, suite à ce qui est écrit, j'envisage un plan de licenciement au mois de septembre. Les ressources humaines ont tout l'été pour le préparer.
On va envisager un licenciement de 3% des effectifs d'Atos France.
Peut-être ceux près de la retraite ou ceux en intercontrat depuis longtemps ?
En 2021, çà faisait 5700 employés ( https://www.xerfi.com/etudes-par-entreprise/ATOS-FRANCE_408024719) , donc au alentour de 150 à 200 personnes.
je n ai pas lu cela, Il dit qu il veut empêcher les départs .. et cite les départs passés comme un mauvais signe pour Atos il ne dit pas qu il veut les faire revenir...Il est clairement dit dans la proposition de DK qu’il veut faire revenir certain anciens d’Atos. Dont Nourdine
Voir extrait 19:30, long term employees with exceptional track-recordje n ai pas lu cela, Il dit qu il veut empêcher les départs .. et cite les départs passés comme un mauvais signe pour Atos il ne dit pas qu il veut les faire revenir...
Je reviens sur les offres et d'après les différents derniers articles de map, je me pose une question bête : pourquoi K n'a-t-il pas déjà gagné depuis un moment vue son offre qui semble bien plus avancée que Layani ? (pourquoi et encore des dates repoussées et pas l'avoir choisi aujourd'hui ou ce week-end ?)
Ca m'interroge toute ces tergiversations et le business qui en fait les frais.
Ou alors y-a des paramètres qui nous échappent ?
En effet, c'est un peu mon espoir. Les centres d'appels, c'est vraiment chiant, et Nourdine vaut bien mieux que ça ...Konecta c'est gros en terme de salariés, mais pas de CA. C'est des centres d'appels, 130k salariés c est pas si colossal dans ce secteur d'activité, c'est que du offshore. Et puis c'est pas bandant les centres d'appels. Il va revenir à mon avis.
Est-ce que l'infogérance (utile) de codes Cobol sur des mainframes IBM ou Bull c'est plus funEn effet, c'est un peu mon espoir. Les centres d'appels, c'est vraiment chiant, et Nourdine vaut bien mieux que ça ...
Ce n'est peut être pas sexy, mais ça a été son choix ...En effet, c'est un peu mon espoir. Les centres d'appels, c'est vraiment chiant, et Nourdine vaut bien mieux que ça ...
Si le job est autour du développement d'applications, EPEI voit l'activité comme une nouvelle sidérurgie... :Et pour l'instant, d'un point de vue très pragmatique, ce qui m'interesse ce n'est pas qui sera à la tête de telle ou telle branche moisie - il y aura beaucoup de politique de toute façon - mais plutôt est-ce que je vais garder mon job sur du moyen/long terme et dans quelles conditions ?
Ben, c'est de la paléontologie donc, ça a tendance à en passionner certainsEst-ce que l'infogérance (utile) de codes Cobol sur des mainframes IBM ou Bull c'est plus fun?
C'est bien de voir écrit ca, c'est clairement la tendance de fond, mais pas encore vraiment visible sur les radars! DK a cette fois ci une bonne vision des perspectives...Si le job est autour du développement d'applications, EPEI voit l'activité comme une nouvelle sidérurgie... :
Voir la pièce jointe 825
Le grand remplacement est prévu à l'horizon 2040 - et d'ici là, la hype IA sera bien dégonflée.... et accéssoirement régulée - même si la Big Tech fait son lobbying habituelSi le job est autour du développement d'applications, EPEI voit l'activité comme une nouvelle sidérurgie... :
Où puis-je télécharger l’offre complète Kretinsky ? Je ne peux le trouver nul part. Merci d'avance.Ca, ça claque bien mais une ESN n'est pas un cloud provider, ce sont des business model différents. L'open source est accessible à tous par définition, Mistral AI est déjà sur Azure (Microsoft) par exemple ... :
Voir la pièce jointe 830
Où puis-je télécharger l’offre complète Kretinsky ? Je ne peux le trouver nul part. Merci d'avance.
L'IA peut-être... mais à court terme, activer une instance SAP sur le cloud SAP, au lieu de faire toutes les config et installations on-prem c'est 4/5eme de boulot en moins!Le grand remplacement est prévu à l'horizon 2040 - et d'ici là, la hype IA sera bien dégonflée.... et accéssoirement régulée - même si la Big Tech fait son lobbying habituel
Pour en revenir à DK, c'est plutôt bon signe qu'il se projette aussi loin
Ses équipes lisent la presse comme tout le monde, échantillon : https://www.forbes.com/sites/forbes...e-ai-is-revolutionizing-software-engineering/C'est bien de voir écrit ca, c'est clairement la tendance de fond, mais pas encore vraiment visible sur les radars! DK a cette fois ci une bonne vision des perspectives...
Clairement. Tous ces fournisseurs (n'oublions pas Microsoft qui peut gérer du sol au plafond les postes de travail de n'importe quelle multinationale) prennent sur la part de travail des ESN.Les éditeurs de logiciels font tout pour reprendre en main leurs solutions, les rendre plus facile à mettre en place, et clairement veulent gérer leurs solutions en direct avec leurs clients, d'ou les efforts massifs de gros éditeurs de pousser vers les solutions SaaS (SAP qui fait tout pour mettre ses clients sur le cloud SAP, pareil pour Salesforce, etc.).
Le besoin d'être rassuré demeurera ... les consultants, conseillers etc aussiQuand au consulting, faire de la slide powerpoint générique bidon ca faisait rêver il y a 15 ans, aujourd'hui les clients ne sont plus aussi naifs sur les top-experts qui ont 3 ans d'expérience et 25 ans - que ce soit chez les vendeurs de rêves McKinsey, au chez les plus techniques Cap/Accenture/Atos/etc... et je pense que ca sera un secteur mort dans 10ans. C'est le business de Digital.
Oui, le marché du service informatique se polarise entre de "l'intérim d'ingenierie" aussi low cost que possible (OnePoint doit en faire partie), de l'expertise de niche (souvent assez éphémère mais mieux vendue) et de l'intégration (pour les très gros - ou des plus spécialisés, par marché : énergie, défense...).Certaines boites vont devenir de vraies boites d'expertise (de niche), mais les autres vont juste devenir de "l'interim" d'ingénierie (exemple de Adecco qui a acheté AKKA)
Il est clairement dit dans la proposition de DK qu’il veut faire revenir certain anciens d’Atos. Dont Nourdine
P25 du pdfTu saurais dire à quelle page ?
Il ne faut pas confondre les phénomènes de mode et les réelles avancées technologiques....L'IA peut-être... mais à court terme, activer une instance SAP sur le cloud SAP, au lieu de faire toutes les config et installations on-prem c'est 4/5eme de boulot en moins!
Pareil pour toutes ces grosses applications, pareil pour Microsoft, etc.
OVH a commencé comme hébergeur low-cost, et lors de l'incendie dans leur data center il y a quelques années, les clients impactés étaient principalement de petites sociétés qui avaient des hébergements partagés sans disaster recovery ni synchronisation de données entre plusieurs sites et plusieurs data-center.Il ne faut pas confondre les phénomènes de mode et les réelles avancées technologiques....
Les DSI reviennent à la raison, et le déport des applications dans le Cloud a de moins en moins leurs faveurs - nul n'est à l'abri d'un crash brutal de son Cloud préféré sans en avoir la maîtrise (ex. OVH il n'y a pas si longtemps...)
Et surtout ne pas sous estimer la résilience des informaticiens - on trouvera bien d'autres domaines ou ils deviendront indispensables 😂
Croyez vous que son ex équipe l aurait rejoint cette semaine s il envisageait de revenir dans qques mois !En effet, c'est un peu mon espoir. Les centres d'appels, c'est vraiment chiant, et Nourdine vaut bien mieux que ça ...
Eh puis c'est chiant comme boulot pour celui qui passe les appels ... pas son casCroyez vous que son ex équipe l aurait rejoint cette semaine s il envisageait de revenir dans qques mois !