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Il peut toujours y avoir négociation avec le client en cas d’inflation. On peut par exemple lui proposer de lui répercuter la moitié de la hausse prévue au contrat tout de suite, le reste maintenant.?
Il faut surtout que tous ces couts soient inclus dans la marge brut et répercutés dans le prix de vente des prestations.
Il faut aussi espérer aussi que tous les contrats long terme soient indexés sur l’inflation.
Ce bon sens basique de gestion est il psycho compatible avec nos dirigeants ???
Quelque soit l’actionnaire, le salarié touche le salaire pour lequel il est employé. Ce même salarié à fortiori lorsqu’il est aussi actionnaire, ne devrait pas se satisfaire de travailler dans une entreprise considérée par son repreneur EPEI comme n’ayant aucune valeur.
La stratégie est claire, l’état a envoyé depuis 10 ans à la direction d’Atos ses représentants qui ont coulé la Ste. Il se présente désormais en sauveur pour la racheter à vil prix en nous spoliant.
Contactons « ça peut vous arriver » Emission de radio/tv spécialisée dans la résolution de litiges/arnaques, diffusée sur RTL/M6 et animée par Julien Courbet.
Qui veut s’en occuper ? L’UDAAC ou un investisseur particulier ?
Les résultats d’Atos parlent d’eux même : 5 milliards de perte en 3 ans dans un secteur qui ne fait que des bénéfices, on ne peut pas dire que cet administrateur ait administré quoi que ce soit.
Lorsqu’on ajoute à cette contreperformance inédite, le don de TFCO sans dettes à Kretinsky avec près...