Je viens de lire leur dernier communiqué. Ces deux incapable à 90 de qi (cumulés) croient que le cash au 28 février est le même que celui au 31/12 et que la situation est rosé. Aujourd'hui s'il restait un doute que l'Udaac est infiltrée, le doute est levé.
On notera comme par hasard que ces deux con-président sont ceux qui ont été conviés par Bertrand Meunier dans la salle de réunion du cabinet Darrois le 3 janvier à 18h à l'exclusion de tout autre membre du bureau. Il vous faut un dessin ou vous avez compris ?
Je vous rappelle que votre serviteur qui n'est pas analyste financier avec estimé de manière juste à 153M€ près, ce qui est très honorable le niveau du cash au 31/12 alors qu'ils parlent de mensonges de leurs concurrents (moi).
Je répète que le niveau de cash est actuellement d'envrion 1Md€ en moins que au 31/12 et sera non pas de 2453M€ à la fin mars mais d'environ 1000M€, soit 1.5Md€ de trou dans les caisses et de 700M€ au 30 avril, ce qui commencera à poser problème pour les salaires.
Messieurs Lescene et Nicol, vos pertes me font jubiler car vous les méritez amplement surtout les 20M€ de papy Lecesne. Quand a papy Lecesne qui dans son allocution au micro de l'AG2022 se présentait comme "investisseur", sa perte de 20M€ lui a fait comme un AVC on dirait...
Comme disait Jacques Brel dans sa chanson LES FLAMINGANTS (album les marquises)
Messieurs les Flamingants, j'ai deux mots à vous rire
Il y a trop longtemps, que vous me faites frire
À vous souffler dans le cul, pour devenir autobus
Vous voilà acrobates mais vraiment rien de plus
Nazis durant les guerres et catholiques entre elles
Vous oscillez sans cesse du fusil au missel
Tu vois quand j'pense à vous, j'aime que rien ne se perde
Messieurs les Flamingants, je vous emmerde
Cher Adhérent et Sympathisant, [Nrlr : des adhérents il n'y en a plus que 21 et des sympathisants zéro].
Bien que la publication des résultats annuels détaillés 2023 ait été replanifiée au 20 mars 2024, dans l’attente de l’audit de l’impairment du goodwill, nous estimons que les quelques chiffres publiés sont très encourageants. Nous sommes satisfaits de constater qu’Atos confirme l’atteinte de ses objectifs 2023 en ce qui concerne son chiffre d’affaires et sa marge opérationnelle, avec une croissance organique du chiffre d’affaires positive de +0,4%, mais surtout une augmentation significative de la marge opérationnelle qui passe de 3,1% du chiffre d’affaires en 2022 à 4,4% en 2023.
L’UDAAC accueille également comme une très bonne nouvelle l’annonce de la fin des négociations exclusives avec EP Equity Investment (EPEI) concernant la vente de Tech Foundations. L’association était résolument opposée à ce projet qu’elle considérait comme destructeur de valeur pour le groupe, pour ses actionnaires et pour ses créanciers. C’est également une très bonne nouvelle pour la souveraineté et l’innovation française.
Tech Foundations comporte de nombreuses activités : des activités d’infrastructure informatique et de gestion de parc informatique (2,1 Mds€ de CA en 2022), certes matures mais bénéficiant de contrats de long-terme et de clients prestigieux, ainsi que d’autres activités (2,4 Mds€ de CA en 2022) de services et de solutions à fort potentiel (solutions de collaboration numérique et de productivité, de relation client, d’automatisation ou encore services pour les grands événements).
Concernant la situation bilantielle du groupe, nous notons que l’endettement financier net s’établit à 2,2 Mds€ à fin 2023 (la dette financière brute étant de 4,7 Mds€). La dette nette est certes importante mais très loin d’être catastrophique comme le laissent croire certains concurrents, fonds activistes et autres vendeurs à découvert dont le seul objectif est le démantèlement du groupe afin de reprendre des actifs pour des prix ridicules et sur le dos des actionnaires, des salariés et des clients.
N’en déplaise à ses détracteurs, Atos n’est ni Casino ni Orpéa et l’association se battra jusqu’au bout pour éviter un nouveau scandale financier de la Place de Paris.
Atos a aussi indiqué respecter son ratio bancaire à fin décembre 2023, ce qui devrait faciliter les discussions avec ses banques en vue d’obtenir un étalement de sa dette financière.
L’UDAAC rappelle qu’elle est très favorable à un désendettement significatif d’Atos passant par une vente de l’entité BDS si cette dernière intervenait à des conditions satisfaisantes pour les actionnaires. En complément, l’UDAAC estime qu’un recentrage sur le marché européen accompagné d’une cession de certaines activités de l’entité « Amériques » d’Atos mériterait d’être étudiée sérieusement et rapidement.
Alors que la gestion de l’endettement d’Atos est, et doit pour l’instant, être une priorité, que des discussions sont en cours entre le groupe et ses banques dans le cadre d’un mandat ad hoc, l’UDAAC pense qu’il est important que les actionnaires d’Atos soient représentés dans ces négociations et demande donc à y être conviée.
Pour conclure, l’UDAAC considère que les annonces faites aujourd’hui vont dans le bon sens. L’association estime avec force qu’elles ne traduisent en aucun cas une situation de « déroute » comme le répètent les détracteurs d’Atos depuis des mois.
L’UDAAC, qui l’a redit lors de son audition au Sénat du 8 février dernier, croit au redressement d’Atos, fleuron de l’industrie du numérique française et européenne.
Hervé LECESNE et Christian NICOL
Co-présidents de l’UDAAC
On notera comme par hasard que ces deux con-président sont ceux qui ont été conviés par Bertrand Meunier dans la salle de réunion du cabinet Darrois le 3 janvier à 18h à l'exclusion de tout autre membre du bureau. Il vous faut un dessin ou vous avez compris ?
Je vous rappelle que votre serviteur qui n'est pas analyste financier avec estimé de manière juste à 153M€ près, ce qui est très honorable le niveau du cash au 31/12 alors qu'ils parlent de mensonges de leurs concurrents (moi).
Je répète que le niveau de cash est actuellement d'envrion 1Md€ en moins que au 31/12 et sera non pas de 2453M€ à la fin mars mais d'environ 1000M€, soit 1.5Md€ de trou dans les caisses et de 700M€ au 30 avril, ce qui commencera à poser problème pour les salaires.
Messieurs Lescene et Nicol, vos pertes me font jubiler car vous les méritez amplement surtout les 20M€ de papy Lecesne. Quand a papy Lecesne qui dans son allocution au micro de l'AG2022 se présentait comme "investisseur", sa perte de 20M€ lui a fait comme un AVC on dirait...
Comme disait Jacques Brel dans sa chanson LES FLAMINGANTS (album les marquises)
Messieurs les Flamingants, j'ai deux mots à vous rire
Il y a trop longtemps, que vous me faites frire
À vous souffler dans le cul, pour devenir autobus
Vous voilà acrobates mais vraiment rien de plus
Nazis durant les guerres et catholiques entre elles
Vous oscillez sans cesse du fusil au missel
Tu vois quand j'pense à vous, j'aime que rien ne se perde
Messieurs les Flamingants, je vous emmerde
Communiqué de presse
L’UDAAC a pris note du point de marché publié par Atos le mercredi 28 février 2024
Cher Adhérent et Sympathisant, [Nrlr : des adhérents il n'y en a plus que 21 et des sympathisants zéro].
Bien que la publication des résultats annuels détaillés 2023 ait été replanifiée au 20 mars 2024, dans l’attente de l’audit de l’impairment du goodwill, nous estimons que les quelques chiffres publiés sont très encourageants. Nous sommes satisfaits de constater qu’Atos confirme l’atteinte de ses objectifs 2023 en ce qui concerne son chiffre d’affaires et sa marge opérationnelle, avec une croissance organique du chiffre d’affaires positive de +0,4%, mais surtout une augmentation significative de la marge opérationnelle qui passe de 3,1% du chiffre d’affaires en 2022 à 4,4% en 2023.
L’UDAAC accueille également comme une très bonne nouvelle l’annonce de la fin des négociations exclusives avec EP Equity Investment (EPEI) concernant la vente de Tech Foundations. L’association était résolument opposée à ce projet qu’elle considérait comme destructeur de valeur pour le groupe, pour ses actionnaires et pour ses créanciers. C’est également une très bonne nouvelle pour la souveraineté et l’innovation française.
Tech Foundations comporte de nombreuses activités : des activités d’infrastructure informatique et de gestion de parc informatique (2,1 Mds€ de CA en 2022), certes matures mais bénéficiant de contrats de long-terme et de clients prestigieux, ainsi que d’autres activités (2,4 Mds€ de CA en 2022) de services et de solutions à fort potentiel (solutions de collaboration numérique et de productivité, de relation client, d’automatisation ou encore services pour les grands événements).
Concernant la situation bilantielle du groupe, nous notons que l’endettement financier net s’établit à 2,2 Mds€ à fin 2023 (la dette financière brute étant de 4,7 Mds€). La dette nette est certes importante mais très loin d’être catastrophique comme le laissent croire certains concurrents, fonds activistes et autres vendeurs à découvert dont le seul objectif est le démantèlement du groupe afin de reprendre des actifs pour des prix ridicules et sur le dos des actionnaires, des salariés et des clients.
N’en déplaise à ses détracteurs, Atos n’est ni Casino ni Orpéa et l’association se battra jusqu’au bout pour éviter un nouveau scandale financier de la Place de Paris.
Atos a aussi indiqué respecter son ratio bancaire à fin décembre 2023, ce qui devrait faciliter les discussions avec ses banques en vue d’obtenir un étalement de sa dette financière.
L’UDAAC rappelle qu’elle est très favorable à un désendettement significatif d’Atos passant par une vente de l’entité BDS si cette dernière intervenait à des conditions satisfaisantes pour les actionnaires. En complément, l’UDAAC estime qu’un recentrage sur le marché européen accompagné d’une cession de certaines activités de l’entité « Amériques » d’Atos mériterait d’être étudiée sérieusement et rapidement.
Alors que la gestion de l’endettement d’Atos est, et doit pour l’instant, être une priorité, que des discussions sont en cours entre le groupe et ses banques dans le cadre d’un mandat ad hoc, l’UDAAC pense qu’il est important que les actionnaires d’Atos soient représentés dans ces négociations et demande donc à y être conviée.
Pour conclure, l’UDAAC considère que les annonces faites aujourd’hui vont dans le bon sens. L’association estime avec force qu’elles ne traduisent en aucun cas une situation de « déroute » comme le répètent les détracteurs d’Atos depuis des mois.
L’UDAAC, qui l’a redit lors de son audition au Sénat du 8 février dernier, croit au redressement d’Atos, fleuron de l’industrie du numérique française et européenne.
Hervé LECESNE et Christian NICOL
Co-présidents de l’UDAAC
Dernière édition: