Avec la vente d'UNIFY, on aurait pu espérer une petite remontée du cours... mais il n'en est rien.
Côté positif : respect des engagements pris par le management concernant le programme de cession pour 700 M d'euros, en accord avec les déclarations lors du CMD.
Côté négatif, un impact nul (négatif) sur le cours de bourse. A l'inverse, la cession précédente avait fait grimper le cours de 5% environ au 18 novembre 2022.
On peut constater que des ventes par blocs de 10 à 30 K titres ont eu lieu tout au long de la journée. On peut également remarquer que le secteur tech dans sa globalité a baissé et influence l''ensemble des sociétés du secteur. Cependant, il ne s'agit pas d'une baisse massive, encore moins d'un sell-off.
On peut imaginer plusieurs cas de figures :
prises de bénéfices de certains fonds de gestion après le rallye de début janvier (surtout dans le contexte d'un CAC bien haut et des annonces FED et BCE de février (pas de prise de risque intempestive)
petit appui de la VAD (très modéré au regard du total des positions short)
Dans tous les cas, il ne semble pas s'opérer (pour le moment) d'achat spéculatif vis-à-vis des résus 2022 de février. C'est un peu tôt probablement avec un CAC bien haut, une FED et BCE qui vont communiquer sous peu, et les premières salves de résus qui pèsent sur les secteurs, dont la tech).
Il ne s'opère pas non plus de prise de position spéculative vis-à-vis d'Airbus. Cela peut aussi se comprendre du fait que, "quitte à prendre un ascenseur qui monte, ce n'est pas gênant de le prendre au 1er plutôt qu'au RDC s'il va au 5ème". Etant donné le flottant, il y a matière à entrer rapidement sans que le cours n'atteigne des plafonds en quelques minutes...
Néanmoins, le cours nous avait habitué à une plus grande volatilité avec des -5, -7 voir moins 10%, et là, les oscillations sont moins marquées ces derniers temps, comme si tout le monde était en attente, comme si chacun conserve des positons (pas très fortes aux vues des volumes, mais suffisantes pour éviter au cours de faire les montagnes russes). Il y a moins d'1 mois, on était sous 9 € et là, on stagne dans les 11 €.
Alternativement on peut aussi se demander si cette "position d'attente" est liée aux discussions avec Airbus. Sachant ce dossier "délicat" du fait de cette question de souveraineté pour lequel a été "sorti du chapeau" un AZTEK venu de nul part dans un timing étonnamment proche de celui d'Airbus. Et sachant qu'une discussion avec Airbus qui débute lors des résus de fin d'année (idéal pour avoir les infos à jour et validées par les cabinets comptables et commissaires aux compte), il ne serait pas exclus qu'Airbus formule une offre "non contraignante" ou officialise une période exclusive de négociations assez rapidement, ceci afin de garder ATOS bien au chaud, le temps ensuite de gérer l'aspect politique et souveraineté avec les gouvernants.... mais aussi de s'affranchir des ces problèmes récurrents de parasitage (constatés par voie de presse ou par annonce de candidats "marginaux"). J'avais été surpris de l'interventionnisme très rapide sur le plateau de BFM du PDG d'Airbus et son discours sur la souveraineté, moins de 48 h après l'article BFM. Il voulait agir vite et assoir sa position ("son territoire"). Un PDG d'un groupe de cette envergure ne va pas sur un plateau TV à 8h00 du mat dans un délai très court par rapport aux infos tombées à l'époque, juste pour partager café et croissants....
J'ai également été surpris à l'inverse par Thalès, qui a communiqué de façon très laconique, à travers des porte-paroles et pas par la voie de leur PDG ou d'un haut dirigeant, indiquant être intéressé que pour de la cyber, et pas en tant que minoritaire.. Ils avaient été plus virulents avec un communiqué de presse officiel en février 2022 pour démentir des rumeurs (à l'époque où le cours d'ATOS était bien plus haut, et où une marque d'intérêt aurait bien aidé le cours à se maintenir). Mais là, rien, le service minimum.
Il semble s'être mise en place une partie de poker menteur : des communications presse à tout va et dénuées de sens parfois, problème de souveraineté, AZTEK... Comme dans toute partie, il faut "payer pour voir". Cette fin de semaine (vendredi ou lundi), on verra si certains sont prêts à payer (acheter) pour voir, (Airbus) où si la position d'attente restera le maître mot. Bien malin qui pourra le prédire, Mais j'imagine (à tort peut-être) que certains (fonds de gestion) risquent de miser une petite pièce, histoire peut-être de prendre une petite place dans le Rez-De-Chaussée...
Côté positif : respect des engagements pris par le management concernant le programme de cession pour 700 M d'euros, en accord avec les déclarations lors du CMD.
Côté négatif, un impact nul (négatif) sur le cours de bourse. A l'inverse, la cession précédente avait fait grimper le cours de 5% environ au 18 novembre 2022.
On peut constater que des ventes par blocs de 10 à 30 K titres ont eu lieu tout au long de la journée. On peut également remarquer que le secteur tech dans sa globalité a baissé et influence l''ensemble des sociétés du secteur. Cependant, il ne s'agit pas d'une baisse massive, encore moins d'un sell-off.
On peut imaginer plusieurs cas de figures :
prises de bénéfices de certains fonds de gestion après le rallye de début janvier (surtout dans le contexte d'un CAC bien haut et des annonces FED et BCE de février (pas de prise de risque intempestive)
petit appui de la VAD (très modéré au regard du total des positions short)
Dans tous les cas, il ne semble pas s'opérer (pour le moment) d'achat spéculatif vis-à-vis des résus 2022 de février. C'est un peu tôt probablement avec un CAC bien haut, une FED et BCE qui vont communiquer sous peu, et les premières salves de résus qui pèsent sur les secteurs, dont la tech).
Il ne s'opère pas non plus de prise de position spéculative vis-à-vis d'Airbus. Cela peut aussi se comprendre du fait que, "quitte à prendre un ascenseur qui monte, ce n'est pas gênant de le prendre au 1er plutôt qu'au RDC s'il va au 5ème". Etant donné le flottant, il y a matière à entrer rapidement sans que le cours n'atteigne des plafonds en quelques minutes...
Néanmoins, le cours nous avait habitué à une plus grande volatilité avec des -5, -7 voir moins 10%, et là, les oscillations sont moins marquées ces derniers temps, comme si tout le monde était en attente, comme si chacun conserve des positons (pas très fortes aux vues des volumes, mais suffisantes pour éviter au cours de faire les montagnes russes). Il y a moins d'1 mois, on était sous 9 € et là, on stagne dans les 11 €.
Alternativement on peut aussi se demander si cette "position d'attente" est liée aux discussions avec Airbus. Sachant ce dossier "délicat" du fait de cette question de souveraineté pour lequel a été "sorti du chapeau" un AZTEK venu de nul part dans un timing étonnamment proche de celui d'Airbus. Et sachant qu'une discussion avec Airbus qui débute lors des résus de fin d'année (idéal pour avoir les infos à jour et validées par les cabinets comptables et commissaires aux compte), il ne serait pas exclus qu'Airbus formule une offre "non contraignante" ou officialise une période exclusive de négociations assez rapidement, ceci afin de garder ATOS bien au chaud, le temps ensuite de gérer l'aspect politique et souveraineté avec les gouvernants.... mais aussi de s'affranchir des ces problèmes récurrents de parasitage (constatés par voie de presse ou par annonce de candidats "marginaux"). J'avais été surpris de l'interventionnisme très rapide sur le plateau de BFM du PDG d'Airbus et son discours sur la souveraineté, moins de 48 h après l'article BFM. Il voulait agir vite et assoir sa position ("son territoire"). Un PDG d'un groupe de cette envergure ne va pas sur un plateau TV à 8h00 du mat dans un délai très court par rapport aux infos tombées à l'époque, juste pour partager café et croissants....
J'ai également été surpris à l'inverse par Thalès, qui a communiqué de façon très laconique, à travers des porte-paroles et pas par la voie de leur PDG ou d'un haut dirigeant, indiquant être intéressé que pour de la cyber, et pas en tant que minoritaire.. Ils avaient été plus virulents avec un communiqué de presse officiel en février 2022 pour démentir des rumeurs (à l'époque où le cours d'ATOS était bien plus haut, et où une marque d'intérêt aurait bien aidé le cours à se maintenir). Mais là, rien, le service minimum.
Il semble s'être mise en place une partie de poker menteur : des communications presse à tout va et dénuées de sens parfois, problème de souveraineté, AZTEK... Comme dans toute partie, il faut "payer pour voir". Cette fin de semaine (vendredi ou lundi), on verra si certains sont prêts à payer (acheter) pour voir, (Airbus) où si la position d'attente restera le maître mot. Bien malin qui pourra le prédire, Mais j'imagine (à tort peut-être) que certains (fonds de gestion) risquent de miser une petite pièce, histoire peut-être de prendre une petite place dans le Rez-De-Chaussée...