UPRA
- Auteur du sujet Frenchtech
- Date de début
Bonjour.
Pour l'instant je suis en train de rédiger les textes du site web. Il y aura des vidéo conférence pour comprendre le principe de la réparation.
C'est une sorte de class action, à savoir que des centaines d'actionnaires on les mêmes reproches à faire à Atos, communication mensongère, possible fraude comptable (il faudra un audit pour le prouver), ça coute très cher, donc l'idée est de mutualiser les comptes. Il faut attendre les dépréciations 2023 pour voir combien ils ont caché de dépréciation en 2022. Mais si la DAF d'Atos me lit, ça ne sert à rien de déprécier à minima, car il y aura fraude récidiviste si la paille de fer n'est pas passée cette année avec à minima 2Md€ de dépréciations.
Ensuite il conviendra d'interroger les CACs pourquoi ces dépréciations arrivent si tardivement et s'ils nous provoquent et gardent des dépréciations dans les livres, une double attaque civile et pénale de Deloitte hyper médiatisée.
Pourrons demander réparation les PP qui ont encaissé des pertes suite à des positions prises avec des informations comptables érronées. Il faudra attaquer Atos, et solidairement Meunier et le board, et surtout Deloitte.
Les pertes de trading sont exclues des demandes réparatoires.
Ceux qui veulent participer à l'action devront d'abord soumettre leur dossier à une vérification de routine pour voir s'ils sont éligibles. Il y aura une participation fixe, car votre dossier sera soumis à un examen par un comptable pour vérifier son éligibilité. le montant sera très modéré. Un peu plus que l'adhésion à l'Udaac mais il n'y aura au stade de la vérification pas de montant variable.
Pour que l'action soit valable il faudra un minimum de plaignant, d'environ 500 personnes. Idéalement l'objectif est d'être 1000 plaignants ou plus.
Pour l'instant je suis en train de rédiger les textes du site web. Il y aura des vidéo conférence pour comprendre le principe de la réparation.
C'est une sorte de class action, à savoir que des centaines d'actionnaires on les mêmes reproches à faire à Atos, communication mensongère, possible fraude comptable (il faudra un audit pour le prouver), ça coute très cher, donc l'idée est de mutualiser les comptes. Il faut attendre les dépréciations 2023 pour voir combien ils ont caché de dépréciation en 2022. Mais si la DAF d'Atos me lit, ça ne sert à rien de déprécier à minima, car il y aura fraude récidiviste si la paille de fer n'est pas passée cette année avec à minima 2Md€ de dépréciations.
Ensuite il conviendra d'interroger les CACs pourquoi ces dépréciations arrivent si tardivement et s'ils nous provoquent et gardent des dépréciations dans les livres, une double attaque civile et pénale de Deloitte hyper médiatisée.
Pourrons demander réparation les PP qui ont encaissé des pertes suite à des positions prises avec des informations comptables érronées. Il faudra attaquer Atos, et solidairement Meunier et le board, et surtout Deloitte.
Les pertes de trading sont exclues des demandes réparatoires.
Ceux qui veulent participer à l'action devront d'abord soumettre leur dossier à une vérification de routine pour voir s'ils sont éligibles. Il y aura une participation fixe, car votre dossier sera soumis à un examen par un comptable pour vérifier son éligibilité. le montant sera très modéré. Un peu plus que l'adhésion à l'Udaac mais il n'y aura au stade de la vérification pas de montant variable.
Pour que l'action soit valable il faudra un minimum de plaignant, d'environ 500 personnes. Idéalement l'objectif est d'être 1000 plaignants ou plus.
Il faudra mettre plusieurs avocats en concurrence.
Mais les seuls résultats obtenues par l'Udaac sont les injonctions AMF suite au signalements de Me Sophie Vermeille, et l'arrêt de la vente de TFCo aussi liée à la lettre aux board de Sophie Vermeille sur leur responsabilité individuelle d'un deal spoliateur.
Ensuite l'Udaac s'est fait infiltré par Atos ou un des conseils d'Atos inquiet qu'elle ait trouvé le noeud du problème à savoir que l'argent mis dans Eviden, les fameux 7.5% étaient financés par Atos via une augmentation du BFR. Donc ces 7.5% n'ont jamais été une demande de K mais une obligation de Meunier pour conclure le deal.
J'ai eu des infos en internes que les courriers de Sophie Vermeille avait fait paniquer le board et entrainer ces démissions à la chaine.
L'udaac a étré suffisamment crétin pour la démettre et prendre un inconnu à la place, inconnu très probablement infiltré par Atos ou un de ses conseils.
Je pense que le temps de travail facturé juste pour étudier le dossier par un autre cabinet, serait autour de 80 000€, soit environ 300 heures. C'est un dossier Ultra complexe, supérieur à celui de Orpéa ou Casino.
Donc forcément ma préférence irait vers elle, même si d'autres cabinets seront consultés.
Mais il n'y a qu'à voir l'action d'Hélène Bourbouloux. Après 10 jours zéro nouvelles, toujours perdue à lire les livres comptables surréalistes. ET pourtant elle en a vu des belles et des pas mures.
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