Et puis surtout Breton s'en sort beaucoup trop bien de cette histoire ATOS.
Dans son track record, aucune des boites qu'il a dirigé n'a eu à se féliciter de l'avoir eu comme dirigeant. Partout où il est passé on a retrouvé les mêmes carambouilles politiciennes, de l'endettement, une comptabilité créative, des réseaux affairistes, et j'en passe. Et au moment où ça devient compliqué, il part.
Ce type est un imposteur dont la seule qualité est de disposer d'un réseaux de connaissances bien organisé. Je serai bien heureux que cette histoire lui pète à la figure, je viens de lire sa page wikipedia, c'est clairement sa secrétaire qui l'a écrite.
Meunier nous a fait oublier pendant un moment qui était responsable de tout cela, mais maintenant qu'il est parti n'oublions pas que le fossoyeur d'ATOS, c'est lui. Il est au CAC40 ce que BHL est à la littérature.