En tant qu'employé de TFCo dans l'une des filiales en Europe, je suis inquiet d'avoir un nouveau PDG qui ne connaît pas les activités d'externalisation et la gestion des plates-formes cloud et hybrides. La lecture de son offre n'est pas très claire pour moi non plus... très vague. Est-ce que quelqu'un a des soupçons sur ce à quoi il faut s'attendre ?
Quel est le plan de Layani pour la TFCo ?
- Auteur du sujet Lincon
- Date de début
UnSalarieEviden
Active member
Le mieux qui pourrait vous arriver, c'est qu'il revende rapidement TFCo.
Sinon, cherchez un autre employeur.
Sinon, cherchez un autre employeur.
Déjà on ne sait pas qui sera le P ni le DG. Son plan, on ne le connait pas car il n'a rien décrit, a part des banalités limites générées par une AI.
Revendre TFCO sera quasi impossible car bientot trop tard pour le faire... le business (surtout sur DWP qui n'a que des gros comptes et contrats) va pâtir de ce choix désastreux.
Revendre TFCO sera quasi impossible car bientot trop tard pour le faire... le business (surtout sur DWP qui n'a que des gros comptes et contrats) va pâtir de ce choix désastreux.
J'aimerais penser qu'il y a un plan. Si non, pourquoi reprendre l’entreprise ? J'espère qu'ils ne vendront pas TFCo à Econocom, une entreprise déconseillée
Layani ne contrôle que 20% pas énorme, ce sont les créanciers qui tiennent les manettes ... tant qu'ils s'entendront sur une stratégie commune ce qui ne durera peut être pas très longtemps
Je ne dis pas qu'il n'y a pas de plan, juste, on ne sait pas ce qu'il veut faire, ce que les commanditaires et créanciers veulent faire. Au moins, sur le plan de K, on pouvait lire des choses. Peut-être en interne y aura t il des éclaircissements sur la route à tenir, bien que peu probable...
Même si cela devait se faire sous 3 mois, qui accepterait de reprendre TFCo ? Kretinsky ne remettra pas le couvert !!
Qui sait ? Il sera juste plus dur sur les conditions (avec moins à récupérer en face aussi...).
Les vrais négos commencent certainement entre eux.
Ils ont fusionné leurs offres dans l'urgence et maintenant l'affaire est gagnée.
Désormais il regardent que faire, qui fait quoi.
Ca doit être aussi chaud qu'un CA d'Atos !
Comme si c’était le genre ! L’intérêt social avant tout dont on voit pas les effets lors des NAOs habituelles : « la situation est pas top comme chaque année depuis 12 ans et donc on augmente au mérite(*) »
(*) : comprendre : « on s’arrange entre potes tout en haut comme dab »
chewbacca
New member
Ça va bien se passer
Quelqu'un dispose-t-il de l'intégralité de cet article ? Voyons si nous pouvons lire entre les lignes et comprendre ce que M. Layani veut faire de nous.
www.lesechos.fr
David Layani : « Nous serons vigilants à ce que les actifs sensibles d'Atos ne soient pas bradés »
Cessions, transparence financière, plan social, fusion avec Onepoint : dans un entretien aux « Echos », le vainqueur du sauvetage d'Atos face à Daniel Kretinsky répond sans tabou aux questions autour de son projet de reprise avec des créanciers du groupe informatique français.
www.lesechos.fr
Quelqu'un dispose-t-il de l'intégralité de cet article ? Voyons si nous pouvons lire entre les lignes et comprendre ce que M. Layani veut faire de nous.
David Layani : « Nous serons vigilants à ce que les actifs sensibles d'Atos ne soient pas bradés »
Cessions, transparence financière, plan social, fusion avec Onepoint : dans un entretien aux « Echos », le vainqueur du sauvetage d'Atos face à Daniel Kretinsky répond sans tabou aux questions autour de son projet de reprise avec des créanciers du groupe informatique français.
Certains clients publics payent maintenant directement les banques : affacturage
Cela est lié au principe même de l’affacturage: si le client paie à 60jours, l’organisme d’affacturage paie Atos tout de suite et se fait payer par le client 60 jours plus tard. Pour le mettre en oeuvre, il faut l’accord préalable du client.
Cela permet à Atos de faire rentrer le cash plus tôt (moyennant un coût financier qui rémunère la facilité de paiement accordée par l’organisme d’affacturage).
Donc il ne s’agit pas du tout d’un mécanisme où les clients, au lieu de payer Atos, paieraient directement les créanciers.
On avait plutôt l’habitude de faire de l’affacturage vers nos fournisseurs. (On ne paye plus Lenovo d’ailleurs en ce moment)
Le faire avec nos clients est assez nouveau (pour moi en tout cas) et ça n’indique rien de bon sur l’état de nos finances.
C’est le contraire ! L’affacturage des créances client se pratique de façon courante (et pas seulement chez Atos), mais en général aux dates de publication des comptes fin juin et fin décembre, pour « améliorer » la position du cash. Ce qui est nouveau (et fait partie du « package » d’amélioration court terme du cash) c’est de le pratiquer tous les mois.
Côté fournisseur, c’est bcp plus rare, et symptomatique de réels problèmes de cash, et cela s’appelle le reverse factoring.
Je ne suis qu'à moitié d'accord. l'affacturage à la base n'est pas fait pour créer du BFR, mais pour sous-traiter des taches à faible valeur ajoutée. Sur une facture supérieure à 100 000€, ça n'a AUCUN SENS de faire de l'affacturage, la marge générée sur la facture paie l'argement le temps passer à vérifier la facture et tout le tralala. Payer 2% de factoring quand on a 2% de MOP, c'est du suicide.
Dans le passé le factoring était plutôt de l'ordre de 300M€/400M€ sur Atos, mais je dis ça de mémoire sur des DEU d'il y a quelques année. Monter à 1Md€ de factoring c'est de la pure folie.
20% avant l’ak ? Ensuite 0,1 % de 20% ?
