Impossible de ne pas trouver un fond disposant de 300 à 500 millions, et prendre le contrôle de la boutique, faire table rase en 4 ou 5 mois et devenir président.
30 à 40% c’est la FIN de la scission, cession, de l’AK et tous les délires mégalomaniaques de Meumeu, nous dirigeant tout droit vers la braderie et la cessation de paiement.
C’est ce qui s’est produit en AOUT 2008 avec PAI, nous sommes en AOUT 2023, soit 15 ans plus tard :
Ce serait le chasseur chassé, au grand soulagement de tous !
En 2008 le titre est tombé à 12 euros
A cette époque un fonds d’investissement PAI Partners, anciennement Paribas Affaires Industrielles, est monté au capital d’ATOS, discrètement au début puis au grand jour, leur participation est montée à 23% en août 2008, ils disposaient alors de trois sièges au conseil de surveillance.
Dès avril 2008, Bertrand Meunier, président du comité partenaires et responsable des équipes sectorielles chez PAI Partners, fait son entrée avec Michel PARIS (futur DG de PAI Partners), au conseil de surveillance d’ATOS.
Ils font le ménage, il y valse des dirigeants, (ce que nous connaissons à l’heure actuelle) deux hedges founds sont écartés pardus et Centaurus, font entrer Thierry BRETON en novembre 2008 en qualité de président du directoire de l'entreprise, il deviendra PDG dès l’année suivante pendant 10 ans.
C’est dans ces conditions, que PAI avec Meunier et surtout BRETON font monter le titre au zénith, en 7 ans de 2008 à 2015, ils cèdent leur participation principalement en 2 fois, 2013 et 2015, à un peu plus de 40 euros en 2013, puis le solde de 9% en 2015 à un peu plus de 50 euros (entre 50 et 55), empochant au passage d’énormes PV.
Si l’histoire se reproduit, il nous faudrait le même scénario qu’en 2008 : un gros fonds d’investissement et ou un gros partenaire intéressé par BDS , montant dans un premier temps au capital, faisant enfin le ménage de l’équipe actuelle, redressant les boulons, et ayant une vraie stratégie de leader mondial en cyber et big data et y mettre les moyens pour revoir sous 2 ou 3 ans le titre multiplié par 4 ou 5.
Est-ce que l’histoire va se reproduire une nouvelle fois ? beaucoup de mouvements de grandes banques, de swaps, de vendeurs à découvert sont incompréhensibles ou invisibles, mais le challenge intéresse beaucoup d’acteurs pouvant voir leur mise de plomb transformée en or.
C’est en tout cas la seule chance qu’il nous reste pour une belle recovery, nous sommes dans l’expectative, mais elle pourrait se transformer en réalité.
30 à 40% c’est la FIN de la scission, cession, de l’AK et tous les délires mégalomaniaques de Meumeu, nous dirigeant tout droit vers la braderie et la cessation de paiement.
C’est ce qui s’est produit en AOUT 2008 avec PAI, nous sommes en AOUT 2023, soit 15 ans plus tard :
Ce serait le chasseur chassé, au grand soulagement de tous !
En 2008 le titre est tombé à 12 euros
A cette époque un fonds d’investissement PAI Partners, anciennement Paribas Affaires Industrielles, est monté au capital d’ATOS, discrètement au début puis au grand jour, leur participation est montée à 23% en août 2008, ils disposaient alors de trois sièges au conseil de surveillance.
Dès avril 2008, Bertrand Meunier, président du comité partenaires et responsable des équipes sectorielles chez PAI Partners, fait son entrée avec Michel PARIS (futur DG de PAI Partners), au conseil de surveillance d’ATOS.
Ils font le ménage, il y valse des dirigeants, (ce que nous connaissons à l’heure actuelle) deux hedges founds sont écartés pardus et Centaurus, font entrer Thierry BRETON en novembre 2008 en qualité de président du directoire de l'entreprise, il deviendra PDG dès l’année suivante pendant 10 ans.
C’est dans ces conditions, que PAI avec Meunier et surtout BRETON font monter le titre au zénith, en 7 ans de 2008 à 2015, ils cèdent leur participation principalement en 2 fois, 2013 et 2015, à un peu plus de 40 euros en 2013, puis le solde de 9% en 2015 à un peu plus de 50 euros (entre 50 et 55), empochant au passage d’énormes PV.
Si l’histoire se reproduit, il nous faudrait le même scénario qu’en 2008 : un gros fonds d’investissement et ou un gros partenaire intéressé par BDS , montant dans un premier temps au capital, faisant enfin le ménage de l’équipe actuelle, redressant les boulons, et ayant une vraie stratégie de leader mondial en cyber et big data et y mettre les moyens pour revoir sous 2 ou 3 ans le titre multiplié par 4 ou 5.
Est-ce que l’histoire va se reproduire une nouvelle fois ? beaucoup de mouvements de grandes banques, de swaps, de vendeurs à découvert sont incompréhensibles ou invisibles, mais le challenge intéresse beaucoup d’acteurs pouvant voir leur mise de plomb transformée en or.
C’est en tout cas la seule chance qu’il nous reste pour une belle recovery, nous sommes dans l’expectative, mais elle pourrait se transformer en réalité.