Perchberty s'est exprimé ce soir sur le dossier Airbus et il est pessimiste

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Un des interlocuteurs un peu moins, mais le cas a l'air de débarquer de sa campagne.

Replay de 3mn à voir sur le blog, bouton en haut à gauche sous le logo LA BOURSE.
 
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remi102

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OUI d'APRES DES SOURCES INTERNES ATOS ET AIRBUS LE DEAL POURRAIT NE PAS SE FAIRE DU TOUT ;LE BESOIN D'INVESTISSEMENT SUR LES HPC SERAIT UNE DES CAUSES A PRIORI.
 

remi102

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FABRICE BERGIER ANCIEN DG D'ATOS ET MAINTENANT PRESIDENT DU CA DE SCOR A SOULIGNE DANS UNE INTERVIEW SUIVANTE QUE CE DEAL A QUAND MEME DU SENS AU VU DE LA QUALITE DE L'OFFRE CYBER D'ATOS......
 

marc

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J'ai enregistré l'extrait, coupé au montage et mis sur le blog en gardant que les 3mn qui concernent Atos

BFM-airbus-Atos-777x437.jpg
 

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FABRICE BERGIER ANCIEN DG D'ATOS ET MAINTENANT PRESIDENT DU CA DE SCOR A SOULIGNE DANS UNE INTERVIEW SUIVANTE QUE CE DEAL A QUAND MEME DU SENS AU VU DE LA QUALITE DE L'OFFRE CYBER D'ATOS......

Je pense que vous avez tous lu la transcription du call de Carlo D'Agoso qui dit "le deal Airbus c'est du 99%".

Donc dans quelques jours on saura si c'est un mytho.

J'ai discuté 2/3 fois avec Matthieu et je lui ai dit une fois "faites gaffe de pas vous faire manipuler (ce jour là on parlait de Layani), ça peut très bien être une tentative de fuites organisée par Airbus pour faire flipper Atos.

Après vous vous souvenez que mes contacts il y a 3 semaines m'avaient dit "tout va mal pour le deal Airbus" et subitement en 4/5 jours tout est revenu dans le droit chemin suite à un effort de prix.

Ce qui est bizarre sur l'argument cité, l'inquiétude de Airbus concernant les départs de cadres, c'est qu'il y a zéro départs et au contraire tout le monde a envie de travailler pour Airbus avec les moyens financiers d'Airbus.

Perso, je pense que Carlo d'Agoso a raison et que Pechberty s'est fait manipulé, mais attention, je ne mettrais ni ma main à couper ni mon petit doigt. Il peut y avoir eu des cadavres découverts dans les placards...
 

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Également en interne, on me dit que la BPI, mais ça ne concerne pas Atos, se mettrait à 20% avec Airbus, et surtout sur les HPC.

Mais au risque de me répéter le patron de la BPI a été très clair. On est toujours minoritaire et il nous faut un projet industriel. Si Airbus a besoin d'un petit coup de pouce ET qu'il vient nous voir, nous y réfléchirons.

En gros, ça voulait dire "le dossier Atos c'est pas pour nous, mais une fois BDS racheté par Airbus, on veut bien y mettre quelques billes". La BPI n'intervient donc pas dans les négos.
 

ozymandias

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Ce qui est bizarre sur l'argument cité, l'inquiétude de Airbus concernant les départs de cadres, c'est qu'il y a zéro départs et au contraire tout le monde a envie de travailler pour Airbus avec les moyens financiers d'Airbus.

Peut être et même probable qu'Airbus en veut pas du truc, et que l'Etat met une pression de fou parce que y a pas vraiment de plan B, du coup cette histoire de cadres c'est sans doute ce qui est sorti en haut de la pile de l'excuse la moins moisi pour stopper les discussions. Ca serait pas intelligent de leur part de dire simplement "c'est trop cher", ça serait mal vu au regard du soutien dont ils ont toujours bénéficié de la part de l'Etat. En revanche si ils disent: "le truc est vérolé, même nous on pourra rien en faire, et si ça se trouve ça va nous contaminer". Là ça peut renvoyer l'Etat dans ses 22 de façon définitive.

Après ce qui va dans l'autre sens c'est que si ils veulent acheter et obtenir le prix le moins cher ils le joueraient aussi de cette façon là. Et d'ailleurs l'histoire du décalage des résultats au 20/03 peut s'analyser comme une manœuvre d'Atos pour empêcher Airbus de dire: "on a besoin de temps". Sauf qu'ils sont dans une telle position de force que de toutes façons ils achèteront au prix qu'ils veulent et ils prendront le temps qu'ils veulent.
 

inZeBlue

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Ce qui est bizarre sur l'argument cité, l'inquiétude de Airbus concernant les départs de cadres, c'est qu'il y a zéro départs et au contraire tout le monde a envie de travailler pour Airbus avec les moyens financiers d'Airbus.
BFM parle de risque de départ pour les équipes (et non les cadres) pour la seule cybersécurité (HPC oublié).
Le marché du travail de la cyber est ouvert, c'est plausible.

Peut être et même probable qu'Airbus en veut pas du truc, et que l'Etat met une pression de fou parce que y a pas vraiment de plan B, du coup cette histoire de cadres c'est sans doute ce qui est sorti en haut de la pile de l'excuse la moins moisi pour stopper les discussions. Ca serait pas intelligent de leur part de dire simplement "c'est trop cher", ça serait mal vu au regard du soutien dont ils ont toujours bénéficié de la part de l'Etat. En revanche si ils disent: "le truc est vérolé, même nous on pourra rien en faire, et si ça se trouve ça va nous contaminer". Là ça peut renvoyer l'Etat dans ses 22 de façon définitive.
Dit autrement, Airbus DS a la position peu enviable de dire "pas fou" ou "non" à un très gros client qui vient demander un "service" de manière insistante (BFM parle d'Airbus "prudent au mieux, réticent au pire").
Réponse polie à trouver sans se l'aliéner et risquer une "rétorsion" sur un autre marché...
Quelle est la moins pire des options pour eux commercialement et financièrement ? Visiblement, aucun bon choix.
Après ce qui va dans l'autre sens c'est que si ils veulent acheter et obtenir le prix le moins cher ils le joueraient aussi de cette façon là. Et d'ailleurs l'histoire du décalage des résultats au 20/03 peut s'analyser comme une manœuvre d'Atos pour empêcher Airbus de dire: "on a besoin de temps". Sauf qu'ils sont dans une telle position de force que de toutes façons ils achèteront au prix qu'ils veulent et ils prendront le temps qu'ils veulent.
En même temps, est-ce que quelques jours changent vraiment le rapport de force ?
Une reprise à prix cassé risque aussi d'indisposer l'état français.

A la rigueur, le temps est peut être plus un moyen de pression sur l'état et ses garanties de revenus sur la partie HPC, HPC à considérer comme un programme d'armement inscrit dans une programmation pluriannuelle pour sécuriser la viabililité économique de sa reprise.
Là aussi, faute d'alternative, c'est Airbus qui a la main.
 
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wyoui

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C'est fait, c'est fini avec Airbus.

99% sûr qu'il disait le Carlo. L'entretien d'embauche pour être DG d'Atos c'est de savoir à quel point tu peux être mythomane.
 

wyoui

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un petit -25%, le cours suspendu après chaque échange. 1% du capital échangé en 5 min.

Vu que la sauvegarde est actée par cette news, c'est la fin des haricots. Une pensée pour les dingos de bourso qui ont "renforcé" depuis des mois et qui sont ruinés.
 
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inZeBlue

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C'est plus pour l'histoire maintenant :

L'Usine Nouvelle : https://www.usinenouvelle.com/edito...-des-activites-bds-d-atos-par-airbus.N2210058

Les vraies raisons derrière l'abandon du rachat des activités BDS d’Atos par Airbus​


Airbus a finalement renoncé au projet de rachat des activités big data et sécurité (BDS) d’Atos. L’avionneur européen a été confronté à une série d’obstacles qui auront mis fin à un projet pourtant stratégique.

Après plus d’un an de négociations, Airbus jette l’éponge. L’avionneur européen a fait savoir, mardi 19 mars, qu’il mettait fin aux discussions engagées avec Atos pour le rachat des activités big data et sécurité (BDS) du groupe informatique. Cette décision couperet, tombée la veille de la présentation des résultats d'Atos aux analystes (désormais reportée sans nouvelle date), met fin à une transaction qui aurait permis à Airbus de monter en compétences dans les technologies numériques et, surtout, au fleuron informatique sur le déclin de contribuer à remonter la pente. Entre une fuite des compétences, des désaccords internes chez Airbus et des technologies pas si en pointe qu’espérées, l’opération a peu à peu sombré.


Pour rappel, en février 2023, Atos annonçait être entré en discussions avec Airbus pour la reprise de 29,9% d’Eviden, alors dénommé Evidian. L’avionneur s’intéressait plus précisément à BDS : une entité hébergeant des technologies numériques de pointe, comme la cybersécurité, le calcul haute performance (HPC) et le big data. A ce moment-là, Airbus ne cache pas son intérêt face à une occasion de se muscler sur la question, en particulier du cloud de combat du système de combat aérien du futur (Scaf). L’industriel avait fait une offre, non engageante, comprise entre 1,5 et 1,8 milliard d’euros.

Le demi-tour d'Airbus face à "l'imposture" Atos​

Mais plus le prétendant s’est approché de la mariée, plus il en a découvert les défauts rédhibitoires. Jusqu’à le faire fuir. «Airbus a peu à peu découvert la mythologie autour d’Atos, on peut même parler d’imposture», assène un haut dirigeant du secteur aéronautique. Et de poursuivre : «en matière de cybersécurité, Atos ne possède pas de technologies particulières : tout réside dans les hommes, qui peuvent être trouvés n’importe où ailleurs». Un constat partagé par un acteur financier de haut niveau. «Airbus veut de la techno, assure cet expert. Ils sont prêts à payer, mais ils veulent être sûrs qu’il y a vraiment de la techno, que cette boîte n’est pas juste de la plomberie.»




Or le savoir-faire d’Atos réside pour beaucoup dans ses ressources humaines, qui se sont peu à peu étiolées. «Beaucoup de managers ainsi que des profils de haut niveau sont partis, les talents ont quitté le navire, assure un bon connaisseur du dossier. C’est également le cas de certains clients prestigieux, comme des groupes du CAC40, mais aussi de grandes banques françaises.» Face à la déliquescence progressive d’Atos, Airbus s'interroge.




Quant aux supercalculateurs (HPC), Airbus aurait peu à peu pris conscience du manque d’intérêt à s’en emparer. «On ne sait pas vraiment ce qu’il y a dedans, ce n’est que de la com du côté d’Atos», tacle un expert. «La technologie de pointe se trouve plutôt au niveau des start-up», nuance une autre source.

Un découpage trop complexe de BDS​

Autre point qui suscite rapidement des doutes : Atos aurait partagé bien peu d’informations dans la «data room», la salle de donnée virtuelle permettant aux parties prenantes d’échanger au moment des négociations. «Les dirigeants d’Atos sont au four et au moulin, ils n’arrivent pas à délivrer et mettent du temps à transmettre les documents», confirmait un interlocuteur proche du dossier fin janvier. La complexité dans laquelle se trouve Atos et la délicate intégration qu’aurait constituée BDS, dont le détourage était tout sauf évident au vu de la multitude de sites présents dans le monde, a fait reculer Airbus, résume aussi un proche de l’avionneur.

Des raisons propres à Airbus expliqueraient aussi l’échec de la reprise de BDS. «Depuis des mois, des actionnaires ont fait savoir que l’avionneur ne devait pas se disperser et qu’il devait avant tout se concentrer sur les livraisons d’avions, dont il peine à respecter le calendrier», relate une source proche des négociations avec Atos. Ce que relativise un autre expert, assurant que seul le fonds TCI s'était ému de ce projet d’acquisition.

En revanche, le prix ne semble pas avoir été le point d'achoppement. Dans les cercles financiers, une source confirme que compte tenu «des multiples d'opérations dans le secteur, le prix n'est pas si élevé».

Les négociations définitivement enterrées​

La dualité franco-allemande ne serait pas non plus étrangère à l’annulation du projet. «Le gouvernement français n’était pas partant pour qu’une entreprise franco-allemande soit chargée de la dissuasion nucléaire française, comme c’est le cas aujourd’hui d’Atos», assure un interlocuteur. Des mesures de confidentialité peuvent toutefois être mises en place dans ce type de configuration, comme c’est le cas avec ArianeGroup. «René Obermann (président d'Airbus, ndlr) a vu rapidement que l’acquisition de BDS ne valait pas le coup, soutient un haut dirigeant du secteur aéronautique. C’est quelqu’un de très pointu sur les sujets technologiques.»

Airbus est-il en train d’effectuer une feinte, visant à s’assurer une position de force dans les négociations ? Réponse unanime selon les sources interrogées par L'Usine Nouvelle : non, les négociations seraient bel et bien enterrées. Quelles suites seront données ? Airbus ne pourrait-il pas se rapprocher d’un autre acteur pour l’épauler dans le cloud de combat, tel que l’allemand SAP ?

Quant à un autre repreneur pour BDS, Thales, un temps cité, serait d’après plusieurs sources toujours hors course, trop occupé à digérer plusieurs acquisitions récentes. Le sort de BDS, tout comme celui d’Atos, reste encore incertain. Le groupe ne semble pas prêt à répondre de ces derniers rebondissements. Une réunion pour déterminer les axes de communication d'Atos est prévu ce jour.

Olivier James, avec Jonathan Grelier.

Atos en plein désarroi​

Du côté d’Atos, on considère que le revirement d’Airbus est étonnant et soudain. La décision de l’avionneur met en difficulté l’entreprise qui devait annoncer mercredi 20 mars le détail de ses résultats 2023. Une échéance désormais reportée sine die. Au sein du groupe informatique, on fait part d’une grande incompréhension sur les intentions d’Airbus qui s’intéresse pourtant à certaines activités d’Atos depuis plus d’un an. En février 2023, Atos avait ainsi annoncé que l’avionneur étudiait une prise de participation d’environ 30% dans l'une des deux futures entités d'Atos, Eviden (incluant BDS), quand la partie infogérance devait vivre sous l'entité Tech Foundations, promise quelques mois plus tard à l'homme d'affaires tchèque Daniel Kretinsky. En janvier 2024, Airbus s'était positionné sur une autre solution : l'acquisition de BDS. Le 28 février 2024, Daniel Kretinsky a jeté l'éponge sur le rachat de Tech Foundations. C’était pour revenir dans le jeu en cas de procédure de sauvegarde, relève-t-on chez Atos, sans s’avancer plus avant sur les futures intentions d’Airbus. L’avionneur suivrait-il la même stratégie ? En tout cas, la perspective d’une procédure de sauvegarde semble désormais se rapprocher pour Atos, alors que le marché s’attendait jusqu’ici à un accord avec Airbus pour la vente de BDS. Début février, Atos avait déjà sollicité l’aide d’un mandataire ad hoc, Hélène Bourbouloux, pour l’assister dans ses discussions avec ses banques.
Jonathan Grelier
 

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C'est plus pour l'histoire maintenant :

L'Usine Nouvelle : https://www.usinenouvelle.com/edito...-des-activites-bds-d-atos-par-airbus.N2210058

Les vraies raisons derrière l'abandon du rachat des activités BDS d’Atos par Airbus​


Merci InZeblue pour l'article.

En fait on croyait que ça butait surtout sur les HPC, mais on y apprend surtout que la "Cyber Atos c'est de la merde". J'avais un jour d'énervement laché cette expression "Eviden c'est de la merde", qui était plus un rejet de ce mythe de la pépitisation que un jugement fondamental, mais là quand ils disent La cyber d'Atos, c'est de la plomberie, mais corrigez moi si je me trompe, ça veut un peu dire ça quand même, non ?

Attention, je dis pas que c'est vrai, mais je dis que c'est ce que l'interlocuteur du journaliste sous-entend...
 

loser62

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il avait laissé entendre que la cybersécurité c'était surtout des grosses têtes et pas tant des machines , et que les grosses têtes quittaient Atos .
 

remi102

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Merci InZeblue pour l'article.

En fait on croyait que ça butait surtout sur les HPC, mais on y apprend surtout que la "Cyber Atos c'est de la merde". J'avais un jour d'énervement laché cette expression "Eviden c'est de la merde", qui était plus un rejet de ce mythe de la pépitisation que un jugement fondamental, mais là quand ils disent La cyber d'Atos, c'est de la plomberie, mais corrigez moi si je me trompe, ça veut un peu dire ça quand même, non ?

Attention, je dis pas que c'est vrai, mais je dis que c'est ce que l'interlocuteur du journaliste sous-entend...
Effectivement le mot Cybersécurité est un peu fourre-tout ; rien avoir entre la valorisation d'un Palo Alto ou Impreva et d" une ESN qui intègre essentiellement leurs HW/SW. De plus ce savoir-faire outre le fait qu'il soit répandu depuis plus de vingt ans par toutes sortes d'intégrateurs est maintenant directement concurrencé par le Cloud.
Ceux sont ces raisons qui m'ont toujours fait douter de l'intérêt d'Airbus pour ATOS et encore moins de Thalès.
 
ce qui me gène dans les différents articles parus hier c est que tous reprennent les mêmes citations de sources anonymes, dont rien ne prouve qu ils ont une connaissance du dossier : «Airbus a peu à peu découvert la mythologie autour d’Atos, on peut même parler d’imposture», assène un haut dirigeant du secteur aéronautique. Pour quoi un dirigeant ddu secteur, (s il n est pas Airbus) aurait une connaissance fine du dossier ?
et ensuite on cite des " experts" ou "bon connaisseurs du dossier".

Comme les même phrase ressortent partout, soit les mecs ont fait une conférence de presse pour "balancer" soit les journaux copient ce qu à dit le voisin , ou alors les experts ont une phrase type qu ils ressortent en permanence...
.. et à la fin on dira Plusieurs journaux le disent donc c est vrai !! ..

la methode me gène. mais bon...
 

inZeBlue

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ce qui me gène dans les différents articles parus hier c est que tous reprennent les mêmes citations de sources anonymes, dont rien ne prouve qu ils ont une connaissance du dossier : «Airbus a peu à peu découvert la mythologie autour d’Atos, on peut même parler d’imposture», assène un haut dirigeant du secteur aéronautique. Pour quoi un dirigeant ddu secteur, (s il n est pas Airbus) aurait une connaissance fine du dossier ?
et ensuite on cite des " experts" ou "bon connaisseurs du dossier".
Incertain mais on reste dans l'analyse probable : 2 retraits après 2 due diligence.
Comme les même phrase ressortent partout, soit les mecs ont fait une conférence de presse pour "balancer" soit les journaux copient ce qu à dit le voisin , ou alors les experts ont une phrase type qu ils ressortent en permanence...
.. et à la fin on dira Plusieurs journaux le disent donc c est vrai !! ..

la methode me gène. mais bon...
Clairement le risque dans ce dossier.


Dans l'article, ce qui me surprend c'est :
«en matière de cybersécurité, Atos ne possède pas de technologies particulières : tout réside dans les hommes, qui peuvent être trouvés n’importe où ailleurs»
Si c'est exact, que venait chercher Airbus DS dans une ESN ??
Une ESN, c'est ... des personnes, des compétences.
La valeur d'un réseau de salon de coiffures, ce n'est pas les ciseaux qu'il détient mais les coiffeurs.

Soit le profil Tinder de BDS ne précisait pas ESN, Airbus a été déçu après qques rendez-vous et pas de crush.

Soit Airbus DS a du mal à appréhender l'idée de service (maladie fréquente chez bien des industriels qui ne savent pas sortir de leur approche).
 

remi102

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Incertain mais on reste dans l'analyse probable : 2 retraits après 2 due diligence.

Clairement le risque dans ce dossier.


Dans l'article, ce qui me surprend c'est :

Si c'est exact, que venait chercher Airbus DS dans une ESN ??
Une ESN, c'est ... des personnes, des compétences.
La valeur d'un réseau de salon de coiffures, ce n'est pas les ciseaux qu'il détient mais les coiffeurs.

Soit le profil Tinder de BDS ne précisait pas ESN, Airbus a été déçu après qques rendez-vous et pas de crush.

Soit Airbus DS a du mal à appréhender l'idée de service (maladie fréquente chez bien des industriels qui ne savent pas sortir de leur approche).
Ce qui est encore plus surprenant est qu'ils aient mis plus d'un pour découvrir qu'Atos est une ESN!!!! et donc en dehors de leur modèle business ; incompetent ou malhonnête?
 

map

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Le blog a édité la vidéo pour vous pour ne garder que les 3 minutes concernant Atos.

 

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