Chers amis,
Après avoir fait vœu de pauvreté pour la deuxième année consécutive (-54% en 2021 et -76% en 2022) en investissant sur Atos, j'espère que notre calvaire (ou chemin de croix, c'est selon) va enfin prendre fin.
Après avoir perdu 39 euros en 2021 avec une baisse de -54%, Atos n'a perdu que 30 euros en 2022 mais représentant une baisse de -76%, montrant que même lorsque l'on pense qu'on est plus proche de la fin, Meunier et son incompétence permettent de chuter encore plus bas. Il permet de creuser si profond qu'il aurait peut-être dû travailler pour une entreprise pétrolière, spécialisée dans le gaz de schiste
Je ne crois jamais aux nouveaux départs, juste parce qu'une nouvelle année commence mais, sauf nouvelle ruse de Meunier, 2023 marquera au moins son départ à lui. Espérons que cela sera plus proche du début d'année que de la fin.
2022, annus horribilis d'Atos, encore pire que 2021 aura été longue, très longue, désespérément longue. Espérons (même si au point où nous en sommes, il ne reste que la prière), que 2023 apportera son lot de changements et permettra à Atos de retrouver un niveau de valorisation moins désastreux. Dans un contexte de hausse des taux, de forte inflation, de faible croissance, voire de récession économique, je ne vois que le départ de l'incapable qui nous a ruiné, qui pourra faire redonner de la confiance au marché et permettre de repartir un peu de l'avant.
Atos restera le plus grand désastre des ESN pendant deux année consécutives dans un marché en forte croissance et avec des concurrents qui ont fortement augmenté leur chiffre d'affaire et leurs marges. Espérons que ce désastre cesse, à commencer avec la prochaine AG en mai 2023 ...
A tous, je vous souhaite de meilleures choses qu'en 2022.
Après avoir fait vœu de pauvreté pour la deuxième année consécutive (-54% en 2021 et -76% en 2022) en investissant sur Atos, j'espère que notre calvaire (ou chemin de croix, c'est selon) va enfin prendre fin.
Après avoir perdu 39 euros en 2021 avec une baisse de -54%, Atos n'a perdu que 30 euros en 2022 mais représentant une baisse de -76%, montrant que même lorsque l'on pense qu'on est plus proche de la fin, Meunier et son incompétence permettent de chuter encore plus bas. Il permet de creuser si profond qu'il aurait peut-être dû travailler pour une entreprise pétrolière, spécialisée dans le gaz de schiste
Je ne crois jamais aux nouveaux départs, juste parce qu'une nouvelle année commence mais, sauf nouvelle ruse de Meunier, 2023 marquera au moins son départ à lui. Espérons que cela sera plus proche du début d'année que de la fin.
2022, annus horribilis d'Atos, encore pire que 2021 aura été longue, très longue, désespérément longue. Espérons (même si au point où nous en sommes, il ne reste que la prière), que 2023 apportera son lot de changements et permettra à Atos de retrouver un niveau de valorisation moins désastreux. Dans un contexte de hausse des taux, de forte inflation, de faible croissance, voire de récession économique, je ne vois que le départ de l'incapable qui nous a ruiné, qui pourra faire redonner de la confiance au marché et permettre de repartir un peu de l'avant.
Atos restera le plus grand désastre des ESN pendant deux année consécutives dans un marché en forte croissance et avec des concurrents qui ont fortement augmenté leur chiffre d'affaire et leurs marges. Espérons que ce désastre cesse, à commencer avec la prochaine AG en mai 2023 ...
A tous, je vous souhaite de meilleures choses qu'en 2022.