Nouvel article Challenges

aramis

Member
 
très peu réjouissant. Accessible gratuitement moyennant visionnage d'une pub ou sur le blog : 
https://atos.blog/2023/01/14/scission-datos-pourquoi-son-rachat-par-airbus-agace-les-actionnaires-et-letat-challenges-fr/
 
 

loser62

Well-known member
bonjour , il y a un copié collé de l'article dan le thread précédent , très peu réjouissant en effet , on se croirait sur Solutions30 , Namaste avait raison d'être prudent , j'aurais bien voulu pouvoir alléger un peu au dessus de mon PRU mais à chaque fois que j'y suis presque , ça replonge . 
 
 
 

aramis

Member
Bon, ben moi j'ai eu le droit de lire moyennant une pub sur Challenges évidemment. J'ai testé le lien et je vois que le visionnage gratuit n'est plus proposé alors je vous raconte la suite:
 
Ils expliquent que ATOS cherche à tout prix à présenter un résultat Q4 très présentable, et qu'un très proche du dossier parle de tripatouillage: encaissement à venir pris en compte en avance, décalage au contraire de sommes dûes, etc... Le cabinet affecté par Airbus pour vérifier les comptes aurait refusé de signer et d'accepter la présentation.
Il rappelle que Sycomore a écrit à plusieurs membres du Conseil d'administration pour contester le fait que Atos ne fait pas une offre ouverte, qu'il a envoyé ballader One point, qu'il a recu Patrice Cain de Thalès mais pour lui signifier qu'il n'aurait jamais la cyber d'Atos.
De plus, ils émettent beaucoup de doutes sur la faisabilité de la scission, évoque des très gros contrats avec EDF, le CEA, et un autre que j'ai oublié, qui sont très déficitaires. De plus, les commerciaux n'auraient même pas commencé à rencontré les clients pour renégocier les contrats...
 

tonton

New member
L'avenir d'Atos va se jouer dans les prochains jours. Le 6 janvier, Guillaume Faury, le président exécutif d'Airbus, a confirmé sur BFM Business que son groupe était intéressé par les activités de cybersécurité de l'entreprise de services numériques (ESN) en grande difficulté. Le groupe d'aéronautique franco-allemand est entré en "discussion préliminaire" pour prendre jusqu'à 29,99% du capital d'Evidian, qui regroupe ses activités cyber et big data. Et le management d'Atos "essaie d'obtenir une offre de principe avant mi-janvier", assure un bon connaisseur de l'entreprise. Selon plusieurs sources, Airbus aurait mandaté EY et Alvarez & Marsal pour préparer la due diligence (audit d'acquisition) avant la fin du mois.
Côté Atos, on affirme qu'il n'y a "ni urgence, ni agenda fixé" pour l'entrée d'un actionnaire dans Evidian. Et que ces discussions s'inscrivent dans le plan annoncé en juin dernier, prévoyant la scission en deux du groupe de 115.000 salariés: d'un côté les business en forte croissance d'Evidian - qui doit être coté en Bourse au deuxième semestre -, de l'autre le pôle Tech Foundations, regroupant les activités d'infogérance et de data centers. "Les équipes d'Atos sont focalisées sur le redressement opérationnel, qui se réalise plus vite que prévu, et tout ce brouhaha ne leur facilite pas la tâche, tranche Diane Galbe, directrice générale du groupe. Nous discutons avec des acteurs qui souhaitent s'impliquer dans le cadre de son plan, et il y en a plusieurs." Pour l'heure, comme le souligne un proche du dossier, "Airbus a montré le plus d'appétence à discuter".
Selon les informations de Challenges, la direction de l'entreprise a organisé une réunion de crise le 13 janvier après la publication d'un article de la Lettre A qui expliquait que le groupe perd de l'argent sur ses plus gros contrats d'infogérance (CEA, BNP, EDF...). Atos doit publier ses résultats le 28 février mais toujours selon de mêmes sources la direction a saisi toutes les solutions possibles afin de publier "des chiffres présentables", notamment en différant des paiements ou en anticipant des revenus potentiels. Des proches du dossiers parlent de "tripatouillages". Une source interne affirme que le directeur général du Transaction Advisory Group du cabinet d'audit Alvarez & Marsal, Jonathan Gibbons, a refusé de signer les comptes d'Atos. M. Gibbons n'a pas donné suite aux demandes de Challenges.

Stupeur et irritation du côté des actionnaires minoritaires
Mais l'entrée en piste de l'avionneur soulève stupeur et irritation, notamment parmi les actionnaires minoritaires. "Le processus pour faire entrer un nouvel actionnaire doit être ouvert et toutes les offres doivent être étudiées par le conseil d'administration", expose Cyril Charlot, associé fondateur de la société de gestion Sycomore AM. Il a adressé un courriel en ce sens à plusieurs administrateurs d'Atos la semaine dernière, notamment l'ex-Premier ministre Edouard Philippe et l'ancien dirigeant de Morgan Stanley René Proglio.
D'autres offres ont été formulées ces derniers mois. En septembre, celle de David Layani, fondateur de Onepoint, rival d'Atos, qui valorisait l'ESN à 4,2 milliards d'euros, a été snobée par le président du conseil d'administration, Bertrand Meunier. Au même moment, ce dernier avait reçu Patrice Caine, le PDG de Thales, pour lui signifier qu'il était hors de question que le groupe de défense mette la main sur les activités cyber d'Atos. Mais la double nationalité franco-allemande d'Airbus pose problème au gouvernement français, très attentif à préserver les branches stratégiques, et sensibles, de l'entreprise.

La stratégie de Bertrand Meunier laisse les observateurs perplexes. "Cette scission est mortifère, estime un bon connaisseur du dossier. Je doute qu'elle puisse se faire comme prévu avant l'été, car ils ne sont toujours pas allés voir les clients pour renégocier les contrats." Un banquier d'affaires s'interroge lui aussi sur la viabilité de l'opération: "Ils envisagent la scission d'une boîte sous-capitalisée… C'est une opération de chirurgie esthétique alors qu'il faudrait un massage cardiaque." La longue agonie d'Atos se poursuit.
 

tonton

New member
Préambule
Dans le cadre de sa scission, le groupe numérique veut céder à Airbus sa filiale cybersécurité Evidian. Sujet très sensible pour les actionnaires et l'Etat, Atos s'efforce de publier des comptes présentables que le cabinet d'audit Alvarez & Marsal a refusé de signer.
 

loser62

Well-known member
mouais , J.L Cussac disait qu'il valait mieux le warrant que l'action ( je n'y connais que dalle ) pour éviter d'engager trop de cash ,  le dossier présente donc encore des risques , je vais éviter les chats noirs , les échelles , vendredi 13 est passé . 
 

lamaban

Active member
C’est clairement de la manipulation, aucun doute là dessus.
En revanche, j’ai bien peur que l’info sur les réserves d’Alvarez & Marsal soient vraies…C’est la seule info importante de l’article de mon point de vue (pour le reste : absolument toutes les entreprises cherchent à préserver les meilleurs résultats possibles par des décalages de paiement)
Map sera témoin que je lui ai moi-même exprimé mes inquiétudes, ce matin, avant la publication de l’article, sur l’audit commandé par Airbus et que je pressentais un couac de ce côté là. Le bilan d’Atos a toujours été limite-limite (goodwill injustifiable, pertes opérationnelles maquillées en dépenses d’investissement, non provision de l’amende Syntel etc.)
Mais, et c’est là le plus important : il faut bien comprendre qu’Alvarez et Marsal n’est pas le commissaire aux comptes d’Atos. C’est un audit de contrôle (pré-acquisition) et non un audit de certification. La formulation de l’article (« …a refusé de signer ») n’a vraiment aucun sens.
 
Bien d’accord sans parler du soi disant banquier d’affaire et du massage cardiaque alors qu’on vient de faire +40% … Ça mérite une réaction claire des intéressés, au minimum un démenti. Les fameux avocats d’une autre société qui cherchent à discréditer une opération qui les gêne dans leur magouille…
 

keru2

Active member
Il ne faudrait pas que TVNEWS revienne sur le forum pour mettre le dawa. Mais il faut que les manager d'Atos réagissent, parce qu'il n'y a plus la place pour les bêtises.
 

phildij

Member
C'est peut-être un moyen de permettre à Airbus (trop "étranger") de se retirer (d'être retiré) du dossier : grâce aux problèmes de compte, Faury ne se dédit pas mais... il ne peut plus y aller. Ca laisse enfin la place à Thales... Son OPA alliée pourra se faire au niveau initialement envisagé ; le cours redescendant dès la semaine prochaine... En même temps, après ce mauvais coup, Meunier sera peut-être enfin dégagé. Quant à la source interne qui "trahit", elle est peut-être proche de l'Etat. Un ancien premier ministre ?
 

lg600

Active member
La seule entité citée REFUSE TOUT COMMENTAIRE 
Sinon le banquier d'affaire est l'homme qui a vu l'ours qui a vue l'ours qui a vue l'ours
Pour Challenges faites des recherches sur Internet pour voir les liens entre les hauts placés, l'Elysée et un ancien CASTANER et pour résumer 
EN 2017 DES JOURNALISTES DE CHALLENGE ETAIENT OFFUSQUES DU POSITIONNEMENT PARTIAL DE LEUR JOURNAL !!! 
https://www.acrimed.org/La-presidentielle-a-Challenges-les-observations
Je n'ai pas connaissance d'autres médias dans lesquels des journalistes sont outrés par le positionnement de leur petit copain de bureau... 
 

tobias

New member
Il est évident que E. Philippe est le cheval de Troie au sein d'Atos. Un commis de l'Etat qui travaille pour.... l'Etat. CQFD
Faudrait d'ailleurs qu'on m'explique comment ce type là est arrivé au sein du Conseil d'Administration de la société alors que l'Etat n'a même pas une action. Je crois me souvenir qu'il est avocat de formation et qu'il avait Atos pour client ou que son cabinet bossait pour Totos. La belle affaire ! Je ne sais pas si le traiteur qui fournit les petits fours aux brunchs de l'informaticien est lui aussi au C.A. peut-être !?! (Lol.)
Manquerait plus qu'Airbus dise : "non merci !" ce qui pour moi à toujours été du 50/50 et pas plus. 
On verra la semaine prochaine ou les semaines suivantes (au pire) si ce nouvel article c'est encore de la rumeur et donc de la manipulation à la baisse ou des constats bien réels.
Je crois que cette boite nous aura tout fait ! 
 

r3

New member
Et personne ne se pose la question : pourquoi un article qui est habituellement payant, est cette fois disponible juste en visionnant une pub? Et du coup accessible à tous...

Cet article est un scandale, soit du côté Atos, soit du côté manipulation. Faites vos jeux rien ne va plus....
 

phildij

Member
En tout cas, c'est rapide, ces diffusions d'informations ! Réunion hier, vendredi 13 janvier, pour voir la réaction à mettre en place suite à l'article de La Lettre A et hop, ce matin, Challenges déjà bien informé : info 1 , des "tripatouillages" de comptes pour permettre soit de présenter une belle mariée à Airbus, soit d'afficher de un beau résultat le 28 février, soit les deux à la fois ; info 2 : l'examen par le conseil d'Airbus n'est pas "validé". Ben dit donc, ça va vite entre hier et ce matin ! Quels contacts entre la source interne et/ou les proches du dossier et la rédction de Challenges !
 

kiskool

Member
Un bien bel article pour un samedi matin.
La manipulation est tellement flagrante. Et la photo de Meunier qui a été choisie me paraît aussi vraiment pas hasardeuse.
On essaye encore de decridibiliser Atos.
Et qu'on se le dise, les boîtes (moyenne grande internationale) font tous plus ou moins de la bidouille dans les comptes. Tout dépend le niveau et l'ampleur de ces bidouilles.
Par contre, oui y a sûrement des parts de vérités dans les propos de l'article, et oui la recovery est en route mais ce n'est que le début. Remettre d'aplomb une société de cette envergure risque de prendre à minima
1 an et demi à 2 ans
 

phildij

Member
[quote author="TONTON"]Selon les informations de Challenges, la direction de l’entreprise a organisé une réunion de crise le 13 janvier après la publication d’un article de la Lettre A qui expliquait que le groupe perd de l’argent sur ses plus gros contrats d’infogérance (CEA, BNP, EDF…).[/quote]
C'est fou d'être informé si rapidement !
 

r3

New member
A vrai, dans toutes les boîtes ou j'ai travaillé, le règlement mensuel de fin de mois au fournisseur, en fin d'année il ne passe pas au 31/12, mais bien au 2 ou 3 janvier. Si c'est juste ça le maquillage, alors il faut refuser de signer les comptes de 90% des entreprises..
Ce serait bien d'être plus précis dans vos propos messieurs les journalistes...
Bref, manip de cours ou pas, ça va piquer lundi
 

remele

New member
Les cabinets d'audit officiels de Atos  , à savoir Deloitte§Associés et Grant Thorton , n'auraient rien vu ...? 
 
 
 

lamaban

Active member
Il faut bien comprendre une chose.
L’audit réalisé par Alvarez et Marsal n’est pas un audit de certification : A&M n’est pas le commissaire aux comptes d’Atos.
Il s’agit d’un audit de contrôle préalable à la prise de participation d’Airbus au capital d’Evidian.
Donc, A&M va être évidemment plus vigilant et plus pointilleux que les CAC, qui ont évidement une due diligence mais qui subissent aussi la pression de la direction pour certifier les comptes (l’entreprise est un client du cac, il ne faut pas l’oublier).
Il suit de là :
1/ que l’audit d’A&M est vraisemblablement plus exigeant que l’audit des CAC
2/ qu’A&M a dû mettre en garde Airbus contre des anomalies ou en tout cas des difficultés comptables (encore une fois j’en vois 3 : capitaux propres artificiellement gonflés par un goodwill injustifiable, pertes opérationnelles maquillées en charges de restructuration, non provision du procès Syntel et donc fort engagement hors bilan)
3/ que la décision d’Airbus est assez imprévisible à ce stade : soit Airbus utilise cet avertissement de son auditeur pour renégocier le montant de l’acquisition, soit il se retire des négociations…
 

phildij

Member
Maintenant, avec ce prétexte "comptable", il y a pour Airbus une "fenêtre" qui s'est ouverte pour prendre la "porte" de sortie de ce deal... Surtout, si on le pousse dans le dos.
Il doit être bien seul, Meunier. Il réunit un conseil d'urgence et, face à lui, il ne sait pas qui va vite appeler les journalistes de Challenges à la fin de la réunion.
 

rocket78

New member
Petite précision le cabinet Alvarez ne signe rien car comme remele le dit les cac sont deloitte et GT. Alvarez est mandaté par Airbus pour sa due diligence mais la mission dans ce contexte est de valorisation et de risque non pris en compte par Atos. L’article est destiné à déstabiliser car rien n’est vrai. Il risque donc de se passer qq chose lundi pour prendre à revers un certain nombre d’actionnaire 
 

keru2

Active member
Si c'est la réalité cela voudrait dire que dans une négociation à l'amiable le client vis sont cabinet d'audit à fait passer ou laisser fuiter des informations susceptibles de torpiller ces négociations par la presse.
Si c'étaient cela les négociations seraient terminée et la réputation du cabinet qui mène l'audit aussi.
Dans ce cas ce n'est pas sérieux.
 

admin

New member
On est mal les gars, ce que je vous dis depuis 2 mois que au pire la compta de Atos n'est pas sincère et au mieux ambigue, est en train d'apparaitre.
La seule chose qui peut nous sauver d'un -30% c'est la démission de Meunier ou une OPA lundi
 
 
 

emjiel

Member
Est ce si important de provisionnel 570 m€ pour le procès Syntel ?
De même pour le goodwill !

Je pense qu'une société se Valorise àvec ses flux futurs. DCF.
Et Airbus n'a pas oublié la possible augmentation dette procès Syntel dans ses simulation !!!
 

phildij

Member
La "source interne" qui a averti Challenges que Gibbons, le DG du cabinet d'audit, n'a pas "validé" les résultats de son audit ne doit pas appartenir à ce cabinet, mais elle doit appartenir au conseil d'Atos qui s'est réuni hier, vendredi 13. Bref, un "traitre"... Qui agit pour qui ?
 

rocket78

New member
Encore et toujours à qui profite le crime de colporter la rumeur … c’est la seule question à se poser. Et la réponse n’est pas aussi évidente. Maintnenant qu’ils cherchent à rendre plus belle la mariée cela s’est toujours fait. Après leurs déboires sur les comptes non certifiés l’année dernière croyez vous qu’ils auraient pris ce risque
 

phildij

Member
Ben justement, si on fait -30 %, ça fermera le gap à 9,15 € (passage de 13 € à 9,15 €, soit environ - 30 %).
Après, au moins, ce sera fait, gap du bas comblé ! Il restera à repartir sur de saines bases (graphiques) combler ceux du haut. Ca élimine beaucoup d'actionnaires parmi les derniers entrés, mais ça ne touchera pas trop les anciens actionnaires, qui ne sont pas plus inquiets à 11 €, 9 € voire 7 €. En même temps, ces vieux actionnaires, qui auront beaucoup endurés, ne risquent pas d'offrir leur titre à une OPA de seulement 20 € (amha)
 

loma02

New member
Tout le monde sait  que le litige Syntel n'était pas provisionné à la hauteur du risque potentiel et que le niveau des capitaux propres est discutable donc rien de nouveau .Les financiers d'Airbus sont aussi au courant.Je penche donc plutôt comme certains que THALES n'y est pas pour rien.Quant à la baisse du titre lundi , elle devrait être contenue.
 

paul

Active member
sauf erreur, l'info a été publiée le 12 et le titre a peu bougé le 13. la séance de Lundi ne devrait pas être trop cahotique.
 

lamaban

Active member
non...l'info sur le "refus de signer" d'A&M vient tout juste de sortir et n'était pas présente dans la version papier
 

lamaban

Active member
Il ne faut pas prendre le problème dans ce sens. Le problème est que si l'information est véridique, la montée au capital d'Evidian va être très difficile à justifier pour Airbus auprès de ses propres actionnaires. Tout le monde savait que Lance Armstrong se dopait, mais le fait qu'une autorité compétente l'ait démontré a tout de même déclenché un scandale à l'époque. Idem, pour l'achat d'une maison : vous savez que la maison est mal isolée et qu'il faut prévoir des travaux d'isolation. Mais le fait de revoir un diagnostic de performance G par un diagnostiqueur agrée tombe malgré tout comme un coup de massue, et complique la procédure d'achat (refus des banques etc.)
 

phildij

Member
Non, il y a eu une version papier le 12 et, ce matin 14, une nouvelle version en ligne "modifiée" évoquant la réunion de crise d'hier, vendredi 13, ainsi que le fait que le cabinet assistant  Airbus n'avait pas "signé" son audit. Une source interne (d'Atos, donc, et ayant assisté à cette réunion) aest à la base de ces "nouvelles" révélations de l'article de Challenges en ligne ce matin. Là, ca change quand même un peu de l'article du 12 (presque un nouvel article, en fait)
 

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