Allégé le 25/07/2023 HAD 14,315VAD 14,265/14,375/14,425 (PRU actuel 13,12 réel 5,18)
Donc avec tous tes trades tu as abaissé ton PRU de 13€ à 5.18€ ?
Allégé le 25/07/2023 HAD 14,315VAD 14,265/14,375/14,425 (PRU actuel 13,12 réel 5,18)
Marc, nous ne pouvons pas comparer Atos (ESN) ni à Casino (un distributeur alimentaire) et ni à Orpéa (spécialistes des EHPAD).Leurs activités sont aux antipodes les uns des autres. Je ne vais pas juger Casino et Orpéa tout simplement parce que je ne suis pas investi.Jusqu'à avant les résultats je partageais globalement vos points de vue puisque je me suis repositionné pour un A/R jeudi soir. Je ne souhaitais plus être long pour une raison de principe que Meunier était capable de foutre la sté en l'air, mais j'étais plutôt comme vous confiant en un redressement lent mais positif.
Là tout est changé. On se retrouve de retour en 2021 avec du brulage de cash, un profit warning non annoncé au mépris de toutes les règles AMF, et un plan de cession d'urgence pas annoncé à L'AG par tricherie pour motifs électorale.
On a une direction encore plus pourrie que ORPEA et une ingénieurie financière encore plus sofistiquée que CASINO et je tiens l'info de quelqu'un de très très très au jus des trois dossiers Casino, Orpea et Atos...
Et là c'est pas un employé anonyme c'est un spécialiste du secteur.
Après, comme a dit Carlos Tavaras à l'assemblée nationale il y a 6 mois à propos du danger des voitures électriques chinoises, vous ne pourrez pas dire que je ne vous aurais pas prévenu.
Ma reco est de n'avoir sur Atos que de l'argent que vous pouvez perdre.
Enfin je vous cite un ex-cadre sup Atos membre de la DAF d'Atos qui m'a dit il y a 1 mois et que j'ai un peu moi-même pris de haut (du style "depuis sa retraite il est nostalgique) : "je ne crois pas que Atos pourra s'en sortir".
Effectivement c'est ce que j'avais jeudi soirDonc avec tous tes trades tu as abaissé ton PRU de 13€ à 5.18€ ?
Le cours de bourse nous a mis une belle claque avec ces résus du S1 2023, on ne peut pas dire le contraire.
Mais, je vois les choses peut-être un peu différemment.
Je constate :
- qu'en 6 mois, ils viennent de passer un gros paquet de charges de restructuration.
- Que les pertes sur 6 mois devraient correspondre peu ou prou et au pire, aux perte annuelles
- Que la séparation en 2 entités est réalisée
- Qu'il ne reste plus qu'à déterminer la distri des dettes entre les 2 entités.
Et ce dernier point est essentiel, car selon moi (à trop peut-être, mais basé sur mon expérience en gestion fin et acquisition), c'est le dernier point qui apparait normalement lors de phases de négos.
Je m'explique. Quand votre boite est profitable, avant une vente, vous mettez de l'ordre dans l'entreprise, et essayer d'optimiser la structure. A l'inverse, quand votre boite est pas en forme, vous la restructurez et faites au mieux pour afficher une structure claire, identifiable, et donc bien comprise pour tout parti intéressé.
Ici, je crois qu'un passage de charges aussi lourd sur 6 mois est un coup d'accélérateur afin de permettre des négos claires et transparentes sur tout au partie des périmètres de chaque entité.
En d'autres termes, ayant accompli les 3 premiers points cités précédemment, et ayant le dernier point encore en débat, cela correspond (selon moi) à la variable d'ajustement, au curseur que l'entreprise peut utiliser pour un affinage de négo....
Bref, au-delà de la claque reçu ce vendredi, je vois ici des marqueurs forts, qui, en terme de stratégie, me font dire que l'entreprise a enfin la capacité de présenter une vision claire des actifs de chaque entité, et des effectifs qui y sont associés.
Bref, ils ont fait le ménage, et maintenant, le champ des possibles est ouvert, que ce soit avec Kretinsky, un anchor investor, la BPI, Airbus (pour une entité/activité bien spécifique), ou tout autre candidat intéressé par un tout ou une partie (ou sous-partie) d'un tout. Celui qui achète ou qui investit connaît dorénavant précisément ce qui est adossé à cet achat ou investissement.
Le marché en période des congés estivaux a tendance à surréagir et amplifier les hausses et baisses. La chute est un peu exagérée selon moi. Bien sûr, les pertes sont là, mais elles ont été "gonflées" de charges non récurrentes sur une période de 6 mois au lieu d'être lissées sur 1 an. Ils ont voulu aller vite. Alors, oui ça pique, mais cette vitesse d'exécution s'inscrit normalement dans un même logique d'accélération de négociations.
Le cours de bourse nous a mis une belle claque avec ces résus du S1 2023, on ne peut pas dire le contraire.
Mais, je vois les choses peut-être un peu différemment.
Je constate :
- qu'en 6 mois, ils viennent de passer un gros paquet de charges de restructuration.
- Que les pertes sur 6 mois devraient correspondre peu ou prou et au pire, aux perte annuelles
- Que la séparation en 2 entités est réalisée
- Qu'il ne reste plus qu'à déterminer la distri des dettes entre les 2 entités.
Et ce dernier point est essentiel, car selon moi (à trop peut-être, mais basé sur mon expérience en gestion fin et acquisition), c'est le dernier point qui apparait normalement lors de phases de négos.
Je m'explique. Quand votre boite est profitable, avant une vente, vous mettez de l'ordre dans l'entreprise, et essayer d'optimiser la structure. A l'inverse, quand votre boite est pas en forme, vous la restructurez et faites au mieux pour afficher une structure claire, identifiable, et donc bien comprise pour tout parti intéressé.
Ici, je crois qu'un passage de charges aussi lourd sur 6 mois est un coup d'accélérateur afin de permettre des négos claires et transparentes sur tout au partie des périmètres de chaque entité.
En d'autres termes, ayant accompli les 3 premiers points cités précédemment, et ayant le dernier point encore en débat, cela correspond (selon moi) à la variable d'ajustement, au curseur que l'entreprise peut utiliser pour un affinage de négo....
Bref, au-delà de la claque reçu ce vendredi, je vois ici des marqueurs forts, qui, en terme de stratégie, me font dire que l'entreprise a enfin la capacité de présenter une vision claire des actifs de chaque entité, et des effectifs qui y sont associés.
Bref, ils ont fait le ménage, et maintenant, le champ des possibles est ouvert, que ce soit avec Kretinsky, un anchor investor, la BPI, Airbus (pour une entité/activité bien spécifique), ou tout autre candidat intéressé par un tout ou une partie (ou sous-partie) d'un tout. Celui qui achète ou qui investit connaît dorénavant précisément ce qui est adossé à cet achat ou investissement.
Le marché en période des congés estivaux a tendance à surréagir et amplifier les hausses et baisses. La chute est un peu exagérée selon moi. Bien sûr, les pertes sont là, mais elles ont été "gonflées" de charges non récurrentes sur une période de 6 mois au lieu d'être lissées sur 1 an. Ils ont voulu aller vite. Alors, oui ça pique, mais cette vitesse d'exécution s'inscrit normalement dans un même logique d'accélération de négociations.
Ce passage de charges était apparemment en lien avec l'hypothèse évoquée, à savoir remplir des obligations de clarté et transparence dans la séparation des deux entités, choses qui avait fait défaut à l'époque d'Airbus, où ces discussions étaient arrivées trop tôt...."Ici, je crois qu'un passage de charges aussi lourd sur 6 mois est un coup d'accélérateur afin de permettre des négos claires et transparentes sur tout au partie des périmètres de chaque entité".