Ce qui m'interpelle vraiment, c'est que d'un côté, certains acteurs ont compris qu'ATOS présente un intérêt pour des acteurs "industriels" ou du métier, mais que ces acteurs sont accompagnés de fonds non français voir non européens (on se rappelle Onepoint par exemple).
D'un autre un acheteur qui n'est pas du métier, mais qui lui, obtient un support financier français voir européen....
C'est vraiment incohérent.
Par ailleurs, il semble difficile pour des acteurs français de se mettre d'accord pour une action conjointe avec distribution des activités, action qui présenterait un sens opérationnel évident.
Pourtant, la scission physique entre ATOS et EVIDEN a été réalisée, il y a donc normalement un séparation établie des effectifs et actifs entre ces 2 entités. C'est ensuite une question de répartition de passif (dettes), afin que chaque entité contribue à hauteur d'une valeur d'entreprise cohérente, ce qui génère alors une valeur globale d'entreprise qui peut être présentée dans le cadre d'une offre de reprise amicale (ou un peu moins).