matabeta
Active member
Ceux qui me suivent ne sont pas surpris par la stratégie déployée par Atos, ces derniers mois. En parallèle de la vente de Tecfo, la vente de BDS devenait inévitable pour effacer massivement de la dette.
Le prix proposé par Airbus est néanmoins décevant, Map avait raison, il visait 1,5 milliard, c’ est le bas de la fourchette proposée par Airbus.
Mais il reste une forte marge favorable aux actionnaires : une autre offre a été déposée pour une partie de BDS. D’ autre part, ce n’ est pas le scénario d’ un consortium qui semble se dessiner.
Il y a donc enfin la possibilité que les enchères montent si d’ autres prétendants apparaissent. Rappelons que la perspective que ce soit Airbus qui reprenne BDS n’ a pas les faveurs de l’ état français, qui pourrait pousser d’ autres acteurs.
Dans un scénario idéal, l’offre de EPEI serait également relevée dans les prochaines semaines sur la partie Tfco, ce qui semble très probable désormais qu’ atos peut démontrer qu’ elle est en capacité de conserver Tfco si le deal n’ est pas amélioré.
Ce scénario garde toute sa probabilité actuellement. Atos doit vendre BDS le plus cher possible, et elle a 9 mois devant elle pour le faire encore relativement intelligemment. Si les deux ventes (Tfco et BDS) arrivent à terme, il restera une petite société rentable (notamment avec Syntel aux US), centrée sur des activités digitales et cloud. Avec une dette encore élevée par rapport à sa dimension néanmoins.
Signaler un abus
Le prix proposé par Airbus est néanmoins décevant, Map avait raison, il visait 1,5 milliard, c’ est le bas de la fourchette proposée par Airbus.
Mais il reste une forte marge favorable aux actionnaires : une autre offre a été déposée pour une partie de BDS. D’ autre part, ce n’ est pas le scénario d’ un consortium qui semble se dessiner.
Il y a donc enfin la possibilité que les enchères montent si d’ autres prétendants apparaissent. Rappelons que la perspective que ce soit Airbus qui reprenne BDS n’ a pas les faveurs de l’ état français, qui pourrait pousser d’ autres acteurs.
Dans un scénario idéal, l’offre de EPEI serait également relevée dans les prochaines semaines sur la partie Tfco, ce qui semble très probable désormais qu’ atos peut démontrer qu’ elle est en capacité de conserver Tfco si le deal n’ est pas amélioré.
Ce scénario garde toute sa probabilité actuellement. Atos doit vendre BDS le plus cher possible, et elle a 9 mois devant elle pour le faire encore relativement intelligemment. Si les deux ventes (Tfco et BDS) arrivent à terme, il restera une petite société rentable (notamment avec Syntel aux US), centrée sur des activités digitales et cloud. Avec une dette encore élevée par rapport à sa dimension néanmoins.
Signaler un abus
