de politique et demande son retrait dans une lettre au conseil d'administration d'Airbus.
Atos, la société européenne de services informatiques, a subi la pression du gestionnaire de fonds spéculatifs Chris Hohn, exigeant qu'Airbus abandonne son projet d'acquisition d'une participation minoritaire de 29,9% dans l'unité de cybersécurité d'Atos, Evidian. L'accord, annoncé le 16 février, fait partie d'un accord stratégique et technologique à long terme entre Atos et Airbus.Chris Hohn demande l'abandon de l'accordLe gestionnaire de fonds spéculatifs Chris Hohn, qui dirige TCI Fund Management, basé à Londres, a écrit une lettre au PDG d'Airbus, Guillaume Faury, demandant l'abandon de l'opération. Dans la lettre, Hohn fait valoir que l'accord sous-évaluerait Evidian et qu'Atos devrait explorer d'autres options stratégiques pour l'unité, y compris une éventuelle scission ou une vente à un autre acheteur.Les inquiétudes de Hohn surviennent alors que l'accent est mis de plus en plus sur la cybersécurité et la protection des données au milieu de plusieurs cyberattaques très médiatisées. Il fait valoir que la valeur d'Evidian a considérablement augmenté depuis qu'Atos a acquis l'unité en 2018 et que l'accord proposé avec Airbus ne reflète pas cela.
En réponse à la lettre de Hohn, Atos a défendu son accord avec Airbus, déclarant qu'il pense que l'accord est dans le meilleur intérêt des deux entreprises et de leurs parties prenantes. La société a noté que la transaction proposée est soumise à l'approbation des autorités réglementaires et s'attend à recevoir des offres supplémentaires pour Evidian de la part d'autres acheteurs potentiels.Atos a également souligné l'importance stratégique de l'accord pour son activité de cybersécurité, qu'il considère comme un domaine de croissance clé dans les années à venir. La société a déclaré que l'accord proposé avec Airbus fournirait à Evidian un accès à de nouveaux marchés et clients et aiderait à soutenir les perspectives de croissance à long terme de l'unité.En conclusion, les demandes du gestionnaire de fonds spéculatifs Chris Hohn pour qu'Airbus abandonne son projet d'accord avec l'unité de cybersécurité d'Atos, Evidian, ont mis la pression sur les deux sociétés. Alors qu'Atos a défendu l'opération en soulignant son importance stratégique, il reste à voir comment cette situation se déroulera et si d'autres acheteurs potentiels émergeront pour Evidian. Le résultat sera surveillé de près par les investisseurs et les experts en cybersécurité.
Atos, la société européenne de services informatiques, a subi la pression du gestionnaire de fonds spéculatifs Chris Hohn, exigeant qu'Airbus abandonne son projet d'acquisition d'une participation minoritaire de 29,9% dans l'unité de cybersécurité d'Atos, Evidian. L'accord, annoncé le 16 février, fait partie d'un accord stratégique et technologique à long terme entre Atos et Airbus.Chris Hohn demande l'abandon de l'accordLe gestionnaire de fonds spéculatifs Chris Hohn, qui dirige TCI Fund Management, basé à Londres, a écrit une lettre au PDG d'Airbus, Guillaume Faury, demandant l'abandon de l'opération. Dans la lettre, Hohn fait valoir que l'accord sous-évaluerait Evidian et qu'Atos devrait explorer d'autres options stratégiques pour l'unité, y compris une éventuelle scission ou une vente à un autre acheteur.Les inquiétudes de Hohn surviennent alors que l'accent est mis de plus en plus sur la cybersécurité et la protection des données au milieu de plusieurs cyberattaques très médiatisées. Il fait valoir que la valeur d'Evidian a considérablement augmenté depuis qu'Atos a acquis l'unité en 2018 et que l'accord proposé avec Airbus ne reflète pas cela.
En réponse à la lettre de Hohn, Atos a défendu son accord avec Airbus, déclarant qu'il pense que l'accord est dans le meilleur intérêt des deux entreprises et de leurs parties prenantes. La société a noté que la transaction proposée est soumise à l'approbation des autorités réglementaires et s'attend à recevoir des offres supplémentaires pour Evidian de la part d'autres acheteurs potentiels.Atos a également souligné l'importance stratégique de l'accord pour son activité de cybersécurité, qu'il considère comme un domaine de croissance clé dans les années à venir. La société a déclaré que l'accord proposé avec Airbus fournirait à Evidian un accès à de nouveaux marchés et clients et aiderait à soutenir les perspectives de croissance à long terme de l'unité.En conclusion, les demandes du gestionnaire de fonds spéculatifs Chris Hohn pour qu'Airbus abandonne son projet d'accord avec l'unité de cybersécurité d'Atos, Evidian, ont mis la pression sur les deux sociétés. Alors qu'Atos a défendu l'opération en soulignant son importance stratégique, il reste à voir comment cette situation se déroulera et si d'autres acheteurs potentiels émergeront pour Evidian. Le résultat sera surveillé de près par les investisseurs et les experts en cybersécurité.