Le 28 juin 2023, il sera temps d'accéder aux demandes de Meunier

m8994812

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Rappellant les propos de Meunier lors de la la dernière AG de 2022 sur le travail et la pertinence de certains administrateurs de longue date ainsi que de celle d'Edouard Philippe "La société, le secteur est en pleine mutation. Vous jugerez à la … je veux dire au … je veux dire l’Investor Day du 14 juin les décisions qui seront prises pour repositionner l’entreprise."
Après une chute de -55% entre le 10 juin et le 18 juin et de près de -73% au plus bas en septembre 2022, il me semble qu'e le temps est venu pour les actionnaires de juger ...
J'espère que les actionnaires acteront les demandes de Meunier lors de l'AG 2022.
 

mike

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Il y a notamment dans la salle, lors de cette AG 2022, un entrepreneur ESN, possédant des titres Atos pour plus d'un million d'euros, et posant justement une question à BM sur l'effondrement des marges infogérance, et disant justement qu'il pratiquait le même métier que lui, et qu'il s'en sortait très bien, bref, qu'il ne comprenait pas toute cette bérézina, et qu'il était prêt à collaborer pour améliorer le business, non seulement BM ne répond rien, il file la parole à BELMER, ce dernier lui indiquant qu'il aura toute réponse 1 mois après lors du CMD le 14.06. Il demande au secrétariat de prendre les coordonnées de ce Monsieur, et nous voilà encore à perdre un mois sur des questions essentielles et toujours non réglées : comment retrouver une gestion saine et profitable et arrêter le dumping des prix par le bas uniquement pour faire du CA
On connait depuis,  la suite avec ce plan machiavélique, causant un nouvel effondrement de plus de 70%, et justement démarrant le 14.06, le X ayant vu avec Mc Kinsey ou comment régler ses problèmes en scindant, en titrisant, bref faire un coup boursier. Mais personne n'est dupe, et surtout pas les investisseurs, voyant dans tout cela une fuite en avant, une solution engendrant des moyens faramineux, par emprunt, pour créer deux nouvelles usines à gaz, qui justement aggraveront les pertes.
Mais au présent ce 17.05.22, BELMER en désaccord total avec BM, sur le redressement, et notamment l'intervention de THALES avec BAIN, sait qu'un mois plus tard il annoncera son départ (il le fait le 14.06.22 à la surprise générale).
Toute cette hypocrisie, cette autocratie, ce mutisme mortel, ces dégâts innombrables dus aux départs des meilleurs, de l'absence totale de gestion c'est BM, et son incapacité à diriger un si grand groupe prend son point de départ avec Breton fin 2019 : le début d’une bérézina conduisant le titre à 7.16 euros.
Par suite du décrochage d'AIRBUS le 29.03.23, et après une audit approfondie, leur participation de 30% d'EVIDEN vole en éclat : Minoritaire et trop chère payée, on donne des prétextes politiques, mais en définitive chacun THALES ou AIRBUS ne veut QUE le substrat de la boite : DBS. Erreur totale, si scission, car bradée à un prix horriblement bas, et faisant du reste D'atos une coquille vide.
Seul soulagement :
C'est ce même 14.6.22 qu'il y a nomination des 2 DG délégués, avec cette fois ci un réel travail de restructuration, de chasse au gaspi, de remise au travail, d'abandon de contrats déficitaires d'alliance avec Amazon etc  etc....  Bref on prend conscience qu'on a grave déconné, avec les rachats non stop et non intégrés, qu'on s'est foutu royalement de la MARGE, du B a BA de la raison d'être vital d'une entreprise: celle d'être rentable, on veut faire la mariée belle au 31.12.22, ça fonctionne, l'hémorragie est stoppée, on continue au T1 2023, belle croissance organique d'EVIDEN, on ne connait pas la marge, mais même tech foundations reprends des couleurs, et surtout de beaux contrats.... De là à revoir le Spin off, on le décale d'un trimestre pour fin 2023, et peut-être, qu'au fil des 5 ou 6 prochains mois, on en verra plus du tout l'utilité, et on prend en compte les 30% d'impôts dont on seraient affublés   après tant et tant de pertes subies sur le titre, celle-là serait la goutte d'eau qui ferait déborder le vase.
La moralité de cette histoire, c'est que BM n'a jais été un dirigeant gestionnaire, responsable et curatif des points négatifs, qu'il s'aperçoit, très tardivement qu'il faut balayer devant sa porte, avant de côtoyer les palaces.
 

tobias

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Bien dit @Mike ??
Chez Atos on a un peu trop l'impression qu'ils prennent les actionnaires pour des c*** faut absolument qu'on lui passe le message à la prochaine AG à Meunier et là sans dérobade de sa part ??
 

m8994812

New member
Ce qui m'agace, c'est cette capacité à faire partir les meilleurs pour les remplacer par des éléments moyens, voire mauvais : exemple de Barnabé qui est parti chez Soitec à la suite de l'interim de Girard alors qu'il avait dirigé d'une main de maître BDS depuis des années. Le pire est qu'il n'est pas parti seul ! Et ce dernier a été remplacé par Poirault ... Dois-je parler de Galbe qui a été nommé co-DG, uniquement pour mener à bien le projet anti-OPA de Meunier et qu'elle s'opposera un jour et sans le moindre doute aux décisions de Bihmane ou Oliva dans leur gestion de Tech Foundation ou d'Evidian ?
 

admin

New member
 
Tout vient d'un point de départ.
 
Avril 2017. Le limogeage du fidèle Lieutenant Charles Dehelly n°1 bis a qui propose de faire valloir ses droits à la retraite, parce qu'il arrête de dire Amen à toutes les décisions de Breton.
 
Depuis 2016 Breton, à l'instar des dernières années de Carlos Goshn à la tête de Renault a changé. Il est devenu mégalomane et à la tête qui enfle car il a presque ratrapé Capgemini. Rien à voir avec le départ de Breton. C'est le départ de Charles Dehelly qui marque le déclin de Atos. Sur l'exercice 2017 on ne voit encore rien. Mais déjà Breton diminue les investissements, les fameux 1Md€ qu'il faut faire maintenant.
 
Thierry Breton réalise que Syntel va être un fiasco. Déjà un point de MOP perdu entre le dernier exercice fiscal 2017 et 2018. MOP passé de 25% à 24% et TriZetto qui demande des avoided costs.
 
Breton sent que l'action va baisser, mais comment vendre son pactole. Quitter Atos et pour éviter un conflit d'intérêt, vendre toutes ses actions Atos au plus haut avant même d'avoir été choisi commissaire. Si vous avez plus d'actions Atos, vous vous en foutez du devenir d'Atos. Y'a un membre de PAI qui est venu vous chercher en 2008, B. Meunier, alors en remerciement vous lui donnez la présidence, d'une boite au CAC40 alors qu'il n'a jamais dirigé une boite de sa vie et a fait perdre 256M€ à PAI Partners en 2009 voir Article du monde 
https://www.lemonde.fr/economie/article/2009/11/28/deux-dirigeants-du-fonds-pai-partners-vont-empocher-40-millions-d-euros_1273464_3234.html
 
La responsabilité elle est partagée entre Meunier d'avoir merdé et Breton d'avoir nommé à la tête du boite au CAC40, un président sans aucune expérience préalable et des grosses pertes à son actif dans ses précédentes missions.
Atos pourrait peut-être récupérer des sous auprès de Bharat Desai pour le procès Syntel, mais ça impliquerait d'impliquer Breton au procès en tant que témoin. Et s'il s'est fait exfiltrer de Atos, c'est pas pour venir ternir son image avec les articles qui ne manqueront pas de fleurir sur l'absence de GAP...
 

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