Kretinsky, une offre moins glamour, mais qui....

[jean bull]

Juste une réaction/réflexion par rapport à cet article.

Le truc c'est que DK est Tchèque, ce n'est certainement pas un handicap mais si son cœur penche vraiment vers l'est j'ai un petit questionnement : ne va-t-il pas faire un max de near-shore vers l'est pour remonter les marges (surtout pour du dev pur) ? Du coup comment va évoluer l'effectif en France ?

Perso, je ne sais pas du tout comment DK va agir par rapport à ça.

 

[dynosaureAtos]

l effectif en France n a pas vocation à croitre... cela fait des années qu il diminue

 

[jean bull]

l effectif en France n a pas vocation à croitre... cela fait des années qu il diminue

Y-a peut-être un risque à ce qu'il accélère cette décroissance en France pour croitre ailleurs.
Du coup, sûrement qu'il va amener du boulot à Atos via tout son business, mais pas sûr que ce soit pour la partie Française d'ATos

 

[thombal]

Juste une réaction/réflexion par rapport à cet article.

Le truc c'est que DK est Tchèque, ce n'est certainement pas un handicap mais si son cœur penche vraiment vers l'est j'ai un petit questionnement : ne va-t-il pas faire un max de near-shore vers l'est pour remonter les marges (surtout pour du dev pur) ? Du coup comment va évoluer l'effectif en France ?

Perso, je ne sais pas du tout comment DK va agir par rapport à ça.

Le marché de l'emploi est rouge vif en république tchéque, proche du plein emploi, pas évident de transférer des activités.

J'ai entendu qu'en Europe pour l'IT c'est plutôt la Roumanie en ce moment ... car moins cher que la Pologne

Que représente l'Inde chez Cap ?

À suivre dans la semaine, peu probable que les discussions aient avancé pendant la finale de Roland Garros

 

[jean bull]

Je ne parle pas du offshore en Inde, mais juste du near-shore en Europe de l'est, depuis quelques années Atos a déjà déplacé des fonctions là-bas (rh par exemple), me demande juste si DK ne va pas amplifier le mouvement pour d'autres domaines, histoire juste de ne pas être bisounours dans ses intentions, s'il amène du business pas sûr que ce soit fait en France.

 

[André]

Le marché de l'emploi est rouge vif en république tchéque, proche du plein emploi, pas évident de transférer des activités.

J'ai entendu qu'en Europe pour l'IT c'est plutôt la Roumanie en ce moment ... car moins cher que la Pologne

Que représente l'Inde chez Cap ?

À suivre dans la semaine, peu probable que les discussions aient avancé pendant la finale de Roland Garros

Côté Atos, dans la branche HCI (hybride cloud et infra) beaucoup d’activités sont effectivement déléguées en Roumanie

 

[gcwf]

dans TFCo : l'activité TS continuera à se développer sur le territoire j'imagine

 

[thombal]

Si pas de majorité à Q1 et que Q2 ne permet toujours pas une majorité, il se passe quoi ?

Question 1 :

Pour quel candidat votez-vous : A/EPEI-Attestor B/Créanciers et Onepoint

Question 2 :

Si le candidat que vous n’avez pas choisi est élu, voterez-vous contre la conciliation ? A/ Oui B/ Non

 

[Noëlle]

Côté Atos, dans la branche HCI (hybride cloud et infra) beaucoup d’activités sont effectivement déléguées en Roumanie

La Bulgarie a maintenant le vent en poupe (pour les fonctions support)…

 

[map]

Le truc c'est que DK est Tchèque, ce n'est certainement pas un handicap mais si son cœur penche vraiment vers l'est j'ai un petit questionnement : ne va-t-il pas faire un max de near-shore vers l'est pour remonter les marges (surtout pour du dev pur) ? Du coup comment va évoluer l'effectif en France ?

C'est justement la que ce situe la problématique. Aujourd'hui il ne faut pas se tromper de combat. On parle du dépot de bilan ou non de Atos. Voir s'il va pas y avoir si ou ça, je vous comprends, mais vous avez remarqué que je m'abstient de donner de prévision de niveau de cash depuis 1 mois et demi. Mais la situation est vraiment sur la corde raide.

Oui peut-être que Kretinsky va migrer 1000 emplois français en tchéquie, en plus de la suppression des 600 ou 700 postes que j'ai évoqué. On ne peut pas l'exclure. En plus les tchèques sont super bon en informatique.

Mais aujourd'hui si dans chaque gros pays européen, y'a entre 300 et 1200 emplois migré en nearshore, ça fait 10 000 emplois en moins. Mais là le risque c'est vraiment que ça tienne jusqu'aux JO et après tout est démantelé.

 

[map]

Si pas de majorité à Q1 et que Q2 ne permet toujours pas une majorité, il se passe quoi ?

il faut les 2/3 des créanciers pour signer la conciliation. Mais pas pour choisir le candidat. Ensuite c'est à la société de dire aux créanciers "vous avez 8 jours pour vous décider ou je dépose le bilan".

Un fond qui fait déposer le bilan à une boite de la taille de Atos, il est sur d'avoir 3 mois de contrôle fiscal intensif en représaille et ils iront chercher le moindre centime d'écart dans leur comptabilité.

 

[Johnjohn]

Le marché de l'emploi est rouge vif en république tchéque, proche du plein emploi, pas évident de transférer des activités.

J'ai entendu qu'en Europe pour l'IT c'est plutôt la Roumanie en ce moment ... car moins cher que la Pologne

Que représente l'Inde chez Cap ?

À suivre dans la semaine, peu probable que les discussions aient avancé pendant la finale de Roland Garros

D'autant que dans les pays d'Europe centrale (Pologne, Rep Tchèque, Hongrie, etc.) il y a de plus en plus de projets locaux par des équipes locales, pour des sociétés locales, voire des startups et logiciels originaire de ces pays.

Ne pas juste voir ces pays comme du nearshoring... ils ont d'excellents développeurs, mais qui ont d'autres alternatives de carrières que de faire les basses besognes low-cost de l'Europe de l'ouest.

Il y a aussi de plus en plus de boites d'expertise dans ces pays de très bon niveau, qui facturent des tarifs quasi identiques à l'Europe de l'Ouest, simplement parce qu'ils le peuvent, ont les mêmes compétences, et qu'il y a de la demande technique des clients (et pas juste demande low-cost).

 

[thombal]

D'autant que dans les pays d'Europe centrale (Pologne, Rep Tchèque, Hongrie, etc.) il y a de plus en plus de projets locaux par des équipes locales, pour des sociétés locales, voire des startups et logiciels originaire de ces pays.

Ne pas juste voir ces pays comme du nearshoring... ils ont d'excellents développeurs, mais qui ont d'autres alternatives de carrières que de faire les basses besognes low-cost de l'Europe de l'ouest.

Il y a aussi de plus en plus de boites d'expertise dans ces pays de très bon niveau, qui facturent des tarifs quasi identiques à l'Europe de l'Ouest, simplement parce qu'ils le peuvent, ont les mêmes compétences, et qu'il y a de la demande technique des clients (et pas juste demande low-cost).

Pas de doute la dessus, pour avoir interagit avec des tchèques de l'université Masaryk à une époque et bien d'autres nationalités avec le temps, il y a des gens intéressant partout.

En plus les pays "de l'est" ont maintenu une forte tradition d'enseignement technique de qualité.

Il y a 10-15 ans, on disait déjà que la Roumanie avait un bon pool de talents en informatique, n'en reste pas moins que ce que l'on m'a rapporté de transfert d'une partie d'équipe de Pologne vers la Roumanie était lié au coût.

Les pays baltes étaient le japon de l'électronique dans les années 30, la roue tourne et elle continuera à tourner.

Au final, pour des petites/moyennes structures quitte à diminuer les coûts pourquoi ne pas directement utiliser des services IT en Roumanie ?

 

[thombal]

Kretinsky met un peu de glamour finalement 😂

"Rien que ces jours-ci, le sexagénaire supervise le lancement de la nouvelle revue Vieux d’Antoine de Caunes, négocie la vente de Marianne, regarde le dossier de restructuration d’Atos et planche sur le redressement d’Editis"

Il est temps que cela se termine

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