Il n’y a que moi qui ait vu l’hésitation de Bihmane à la fin de l’interview ?
- Auteur du sujet yoanma
- Date de début
Je viens de regarder le replay et effectivement tu as raison Yoanma.
Néanmoins, son language corporel après cette hésitation ne laisse rien paraître.
Je pense qu'il était très stressé et surtout très concentré pour ne pas perdre le fil et citer sa leçon qu'il a dû apprendre par cœur.
Donc difficile de décrypter. Il est sûr que ce n'est pas intentionnel mais on peut aussi supposer que c'est presque un acquis (la cession) pour le management d'ATOS. Ils doivent souvent discuter de cession (et non de spin-off) entre eux pour que Bihmane fasse cette bourde.
Enfin, à la fin, il cite OVH. Cela ne m'étonnerait pas que le Bord soit réellement en train de discuter avec certains X-men cités.
Néanmoins, son language corporel après cette hésitation ne laisse rien paraître.
Je pense qu'il était très stressé et surtout très concentré pour ne pas perdre le fil et citer sa leçon qu'il a dû apprendre par cœur.
Donc difficile de décrypter. Il est sûr que ce n'est pas intentionnel mais on peut aussi supposer que c'est presque un acquis (la cession) pour le management d'ATOS. Ils doivent souvent discuter de cession (et non de spin-off) entre eux pour que Bihmane fasse cette bourde.
Enfin, à la fin, il cite OVH. Cela ne m'étonnerait pas que le Bord soit réellement en train de discuter avec certains X-men cités.
jehaislacity
Member
Il cite OVH et pas Evidian… On a tous compris que les 29,9% d’evidian chez Airbus c’est fait ou presque…
On peut dire beaucoup de chose de ce Monsieur, qu'il n'a pas de charisme par exemple, mais en tout cas il n'est pas imbu de sa personne et fait preuve d'humilité, en évoquant ses associés à la direction et en mettant en avant les collaborateurs....
Son rôle dans l'exécution du redressement de la boîte, il le tient bien. On ne lui demande pas à ce stade d'élaborer une stratégie, mais bien de mettre en exécution tous les leviers qui conduisent au redressement (renégociation de contrat, réduction des coûts, abandon des contrats non performants...). Le fait qu'il est dans la boîte depuis des années lui donne de la crédibilité vis à vis des salariés... c'est là un élément essentiel.
Son rôle dans l'exécution du redressement de la boîte, il le tient bien. On ne lui demande pas à ce stade d'élaborer une stratégie, mais bien de mettre en exécution tous les leviers qui conduisent au redressement (renégociation de contrat, réduction des coûts, abandon des contrats non performants...). Le fait qu'il est dans la boîte depuis des années lui donne de la crédibilité vis à vis des salariés... c'est là un élément essentiel.
Voici mon interprétation qui est peut être un peu subjective. sic.
D'abord bien vu ou plutôt bien entendu, j'ai vraiment eu du mal à retrouver la phrase sur Evidian, il y a donc des chances que cela ne soit pas volontaire, donc un vrai bon lapsus.
Quand il a été questionné sur Nanard Kretinsky, il a répondu tout de suite "Tech fondation is back", et il a vraiment et de façon insistante parlé en bien des salariés, il a dit également qu'ils avaient eu plusieurs sollicitations en Octobre sur ce business là.
Pour moi il n'y a rien à vendre sur cette partie du business car il redevient intéressant " Tech fondation is back" ,( la pépite oubliée de map) etc. De plus ce serait cynique de parler comme il l'a fait des salariés pour revendre plus tard l'activité à Kretinsky et Il semblait vraiment sincère.
Car je le vois mal leur dire en substance : "Ah les gars vous avez bien bossé, maintenant direction chez Nanard, ç'est super cool, on lui a filé du blé, vous allez être bien . Aller, bye bye et merci bien".
S'il semble si sur que n'est pas Tech fondation qui va être cédée, c'est que la cession à Airbus est pratiquement faite.
Sur le personnage j'ai trouvé que c'était un bon mec.
D'abord bien vu ou plutôt bien entendu, j'ai vraiment eu du mal à retrouver la phrase sur Evidian, il y a donc des chances que cela ne soit pas volontaire, donc un vrai bon lapsus.
Quand il a été questionné sur Nanard Kretinsky, il a répondu tout de suite "Tech fondation is back", et il a vraiment et de façon insistante parlé en bien des salariés, il a dit également qu'ils avaient eu plusieurs sollicitations en Octobre sur ce business là.
Pour moi il n'y a rien à vendre sur cette partie du business car il redevient intéressant " Tech fondation is back" ,( la pépite oubliée de map) etc. De plus ce serait cynique de parler comme il l'a fait des salariés pour revendre plus tard l'activité à Kretinsky et Il semblait vraiment sincère.
Car je le vois mal leur dire en substance : "Ah les gars vous avez bien bossé, maintenant direction chez Nanard, ç'est super cool, on lui a filé du blé, vous allez être bien . Aller, bye bye et merci bien".
S'il semble si sur que n'est pas Tech fondation qui va être cédée, c'est que la cession à Airbus est pratiquement faite.
Sur le personnage j'ai trouvé que c'était un bon mec.
Je pensais qu'il listerait en détail la composition d'EVIDIAN en faisant de la pub pour chaque poste, par exemple BDS....etc...bon, il est vrai qu'il a parlé des super calculateurs, mais je croyais qu'il mettrait en évidence les particularités de cette société, puisqu'elle sera mise sur le "marché" au 2éme semestre , EVIDIAN normalement est censée être la pépite d'ATOS et il aurait été normal d'en parler beaucoup plus dans cet interview !
Je pense exactement comme vous. Sa réponse officieuse sur Kretinsky est : "Tech Fondation is back", ce qui veut dire n'est plus à vendre car il n'a pas besoin d'un cost killer. Il a fait le boulot avec ses équipes et continuera à le faire. Voilà le message, d'ailleurs pas subliminal mais plutôt explicite. De toutes façons, Kretinsky cherchait à acheter une boîte à redresser où le boulot n'aurait pas été fait.... Trop tard car le redressement a démarré très vite.
