Et si l'OPA venait d'ORANGE ?

lg600

Active member
Dans le grand feuilleton d'une OPA on a eu 

Thalès. Sur ce forum on a eu la précision que l'Etat pousse Thalès à reprendre Evidian mais que la Thalès n'est pas 'chaud' pour absorber ATOS dans son format actuel de part sa taille
Cette même source cite CAPGEMINI
Et ce matin un article des échos pour ORANGE qui souhaite faire des acquisitions IMPORTANTES dans le domaine de la cybersécurité.....qui n'a jamais été cité comme un éventuel acquéreur de ATOS.....d'autres opérations plus importantes pourraient suivre

https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/orange-est-reparti-en-chasse-pour-des-acquisitions-dans-la-cybersecurite-1878533
Dans cet article on lit également
Pour Orange, le développement de sa filiale cybersécurité "est une priorité". Dans un marché en croissance de plus de 10% par an, la filiale d'Orange a enregistré l'an passé une progression de 14% de son chiffre d'affaires...Orange Cyberdefense poursuit sa stratégie ambitieuse tant organique qu'inorganique pour devenir le leader européen de la cybersécurité, grâce à son implantation dans neuf pays (France, Belgique, Danemark, Allemagne, Pays-Bas, Norvège, Suède, Royaume-Uni et maintenant la Suisse)
https://investir.lesechos.fr/actu-des-valeurs/la-vie-des-actions/cybersecurite-orange-se-renforce-avec-le-rachat-des-societes-suisses-scrt-et-telsys-1878472
 Alors vos avis :

ORANGE a t-il les moyens de faire une OPA
Peux t-on le rajouter sur la liste des prédateurs éventuels avant ou après la scission ??
 

matabeta

Active member
Certes mais pour moi l'option thales reste la plus crédible. Je ne suis pas convaincu par le propos du contributeur qui nous a parlé de recul de thales. Son interlocuteur peut ne pas avoir toutes les infos où interpréter de façon erronée des propos. Mais que ce soient les fuites de presse, déclarations du staff, et surtout au moins 2 approches officielles à Atos dont une très construite en accord avec Bain pour une reprise d'Atos, je ne vois pas pourquoi ils se poseraient maintenant des questions de la difficulté à réaliser d'importantes intégrations. Ca n'a pas de sens et pour moi ils sont non seulement demandeurs, mais en pointe sur le dossier pour trouver un accord d'acquisition dès que possible. Quoiqu'en dise un forumeur dont on ne connait rien...
 

emjiel

Member
Logo Padok Blog DevOps
Infogérance & cloud : pourquoi font-ils si bon ménage ? | Padok
Rédigé par Hubert Angebaud | 16 déc. 2020 23:00:00
L’infogérance, c’est quoi exactement ?

Les différents types d’infogérance

Née dans les années 1980, l’infogérance consiste à externaliser tout ou partie d’un système d’information à un prestataire. La notion d’infogérance étant un vaste sujet, et le degré d’implication qu’un prestataire externe se voit attribuer fluctuant d’une entreprise/d’un contrat à l’autre, il convient d’en distinguer plusieurs types.

Différencions d’abord l’infogérance globale de l’infogérance partielle. Dans le premier cas, l’exploitation du système d’information dans sa globalité (infrastructures, applications, matériel) est confiée à un prestataire. En revanche, dans le cas de l’infogérance partielle, l’entreprise définit précisément le champ d’intervention du prestataire, de manière plus ou moins restrictive.

Vous vous êtes enfin décidés à externaliser une partie de votre DSI. Un nouveau choix s’offre à vous en fonction de vos besoins spécifiques :

L’infogérance d’infrastructure : sont externalisés l’hébergement de votre infrastructure ainsi que l’exploitation et la maintenance des serveurs et sauvegardes, la gestion du monitoring, etc.
L’infogérance applicative : est externalisé le développement et la mise en production d’une ou plusieurs applications.
Le BPO (Business Process Outsourcing) : est externalisé un processus métier/une fonction entière de votre entreprise (comptabilité, achats, etc.)
Poussons le raisonnement encore plus loin. Après mûre réflexion, c’est une partie seulement de votre infrastructure que vous avez décidé de sous-traiter à un prestataire. Il est maintenant temps de définir le niveau de maintenance que couvrira votre contrat d’infogérance :

Maintenance préventive : votre prestataire interviendra à intervalles réguliers pour sécuriser votre SI, le mettre à jour, le nettoyer et ainsi prévenir l’intrusion de virus.
Maintenance corrective : les interventions de l’infogérant seront cette fois-ci ponctuelles et consisteront en la remise en état d’un équipement/logiciel suite à une avarie informatique.
Maintenance évolutive : votre prestataire armera votre SI des dernières avancées technologiques afin d’en améliorer la performance et la résilience.
Atouts et limites de l’infogérance

Comme tout service impliquant un organe tiers, l’infogérance présente son lot d’avantages mais peut souffrir de quelques limites si son périmètre d’intervention n’est pas suffisamment bien défini. D’où l’importance d’établir un contrat d’infogérance le plus précis et bordé possible.

Quels sont les principaux avantages ?

Parmi les nombreux atouts de l’infogérance figure en premier lieu l’optimisation des coûts. En effet, votre prestataire sera en mesure de vous proposer une solution adaptée à votre budget mais surtout aux besoins réels de votre entreprise. Dites au revoir aux infrastructures surdimensionnées et aux factures longues comme le bras, les coûts sont désormais rationalisés et planifiés en amont pour un maximum de visibilité.

Un autre atout majeur de l’infogérance est évidemment le gain de temps induit par la sous-traitance de tout un pan de votre entreprise sur lequel vous n’êtes pas spécialistes. Vous pourrez ainsi vous recentrer sur votre cœur de métier et faire gagner en productivité vos équipes grâce à un SI performant.

Ainsi, de la même manière qu’une infrastructure bien aboutie permet à vos développeurs d’évoluer dans les meilleures conditions possibles, un contrat d’infogérance bien cadré permettra à l’ensemble de vos collaborateurs de bénéficier indirectement d’une infrastructure stable, et donc de mieux performer.

Si vous avez également des équipes d’ops en interne, c’est l’occasion de les faire évoluer à 100% sur des missions à valeur ajoutée pour votre entreprise, en déléguant tout l’aspect maintenance de votre SI.

Enfin, précisons que l’infogérance permet à une entreprise de s’offrir un allié de choix, expert dans son domaine et ayant un devoir de veille technologique.

Si certains contrats d’infogérance n’incluent que la maintenance ou l’exploitation d’infrastructures, d’autres peuvent exiger du prestataire d’être force de proposition et d’accompagner/conseiller l’entreprise sur de potentielles évolutions technologiques et informatiques. Le but étant de se doter d’une infrastructure à l’état de l’art, et d’éviter toute faille de sécurité auxquels sont systématiquement exposées vos applications et logiciels.

Des limites à prendre en considération

Négliger l’écriture de son contrat d’infogérance peut évidemment mener à certaines déconvenues. Il est donc primordial de faire appel à un partenaire de confiance, et d’établir votre contrat de manière carrée et méthodique.

Un premier risque peut être lié à la localisation des données. Pour éviter à tout prix de perdre la maîtrise de vos données, il est primordial de s’assurer que les lieux d’hébergement de vos infrastructures sont parfaitement accessibles, sécurisés et « RGPD-compliant ».

Un autre risque potentiel concerne les interventions à distance. Si celles-ci permettent une baisse significative des coûts, l’ANSSI rappelle dans son rapport "Maîtriser les risques de l'infogérance" que certains dispositifs de télémaintenance, de par leur vulnérabilité, peuvent exposer le SI à des intrusions extérieures. Il est donc fortement recommandé aux entreprises de demander à leur prestataire un descriptif détaillé des dispositifs utilisés et des protocoles de sécurité associés.

Infogérance et cloud : deux services qui se complètent parfaitement

Le cloud au service de l’infogérance

Une fois votre décision prise de faire appel à un prestataire en infogérance, un choix s’offre à vous : infogérance sur site ou infogérance cloud ?

Dans le cadre d’une externalisation de son SI, héberger son infrastructure sur le cloud public (si ce n’est pas déjà le cas) s’avère bénéfique sous de nombreux aspects et peut largement faciliter les interventions et opérations de maintenance de l’infogérant. En effet, toutes les actions portant sur le monitoring d’infrastructure, la mise à jour de logiciel, la réparation de systèmes, etc. peuvent intégralement être effectuées à distance et le cloud permet au prestataire de s’adapter beaucoup plus rapidement aux nouvelles demandes de son client.

Prenons un exemple plus concret et actuel justifiant l’attractivité du cloud dans le cadre d’un contrat d’infogérance : le déplorable impact de la pandémie de COVID-19 sur les entreprises infogérées sur-site. En effet, ces dernières ont été contraintes de concilier obligation de sécurité vis-à-vis de leur prestataire et respect des engagements contractuels, rendant plus délicates les opérations nécessitant des interventions physiques.

L’infogérance cloud, elle, présente comme intérêt de systématiser les interventions à distance et de minimiser le nombre d’employés requis pour maintenir une ou plusieurs instances. Ceci grâce à de nombreuses automatisations possibles uniquement sur le cloud, argument pouvant résumer à lui seul l’intérêt d’y migrer.

L’infogérance comme réponse à la complexité des services cloud

Raisonnement inverse cette fois-ci : vous avez migré votre infrastructure et/ou certaines de vos applications sur le cloud mais la complexité des services proposés par votre cloud provider ne vous permet pas d’en tirer pleinement profit, faute d’expertise dans le domaine. Pourquoi ne pas faire appel à un prestataire pour lui en laisser la gestion ?

Une migration vers le cloud peut en effet être un véritable challenge à relever selon le degré de familiarité que vous avez avec les différents outils et technologies proposés. Un des principaux obstacles à cette migration peut provenir du nombre de services offerts par les cloud providers, qui a de quoi effrayer de prime abord : AWS propose par exemple plus de 200 services et outils tournant autour du stockage, du monitoring, de la sécurité et plus encore.

En outre, une autre barrière peut être la complexité des services et technologies proposées. L'orchestrateur de conteneurs Kubernetes en est l’illustration parfaite : créé en 2015 par Google, cet outil permet de stabiliser votre infrastructure tout en en scalant le maximum de fonctionnalités. La complexité de sa prise en main est pourtant le principal frein à son adoption.

L’infogérance permet de résoudre ces deux problématiques, en mettant à votre disposition des équipes techniques formées et certifiées sur un large éventail d’outils et sur des technologies de pointe.

Ainsi, l’infogérance gagne de plus en plus en popularité dans un contexte de complexification des systèmes d’information, tout en se mariant parfaitement bien avec les services de cloud computing. L’expertise de prestataires devient alors incontournable pour nombre d’entreprises souhaitant se libérer d’un poids, et tourner l’infogérance à leur avantage. La crise actuelle ayant mis en lumière les failles et limites de certaines infrastructures informatiques, l’infogérance a-t-elle vocation à devenir une best practice SI en 2021 ?

Vous vous posez encore des questions sur l’infogérance, ou hésitez à franchir le pas ? N’hésitez pas à nous contacter, nos spécialistes en infogérance répondront à vos questions dans les plus brefs délais et vous accompagneront au mieux dans votre réflexion.

Voir l'article complet
 

lg600

Active member
Dans le service financier de mon entreprise les personnes qui suivent le dossier m'ont toujours parlé d'une OPA venant de Thalès. J'en ai déjà parlé avec MAP de ce point. 
Mais je me suis toujours refusé à ouvrir un sujet du type : J'ai vu l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'ours qui fera l'OPA venant de Thalès (bon là je le dit....)
Donc on est en accord.
J'étais actionnaire de Europcar et lâché mes positions quelques jours avant l'OPA de VW et je n'avais strictement rien vu. Donc pas envie de revivre la même chose :) 
C'est une des raisons qui me font garder ATO et en plus je suis légèrement positif ce jour :) 
 
 

vincent

New member
Salut Matabeta,

C’est moi qui ait donné cette information. Je maintiens qu’elle est très fiable!

Je répète que mon interlocuteur (c’est une bonne copine de ma femme pour être précis) chez THALES est à un poste hautement stratégique et transversal….bien placé pour capter de l’info.
Ces propos, elle me les a tenus la semaine dernière.
Je suis assez lucide pour ne pas chercher à influencer qui que ce soit, d’ailleurs si c’était le cas j’irai sur Bourso pour chercher davantage d’audiences, ce que je ne fais pas.
Ceci étant dit, ça ne fait pas avancer notre affaire…aucune certitude sur une OPA, même si probable, plusieurs repreneurs potentiels (ORANGE, CAPGEMINI, THALES), incertitudes totales sur le prix éventuel.

J’apprécie beaucoup tes publications par ailleurs.

Tu écris « Quoique en dise un forumeur dont on ne connaît rien ».
Tu peux passer par MAP pour avoir mon téléphone (je suis prêt à lui transmettre en MP ), je serai ravi d’échanger avec toi !
Bon je sais que tu ne le feras pas puisque tu as déjà écrit que tu souhaites rester discret sur ton identité et tes activités ?.
Comme tu le vois, ce n’est pas mon cas, j’ai aucun problème à me découvrir.
 

lg600

Active member
Merci Elgringodu
Je pense que personne ne remet en cause ta bonne foie et personne ne connait le futur prédateur (si jamais il existe) de ATOS
A mon niveau les seuls faits concrets (très minces)
Dès que j'essayais d'argumenter sur une OPA de Thalès sur ATO sur Boursorama avec un scénario un peu complotiste MAIS AVEC arguments j'étais censuré et mon sujet effacé dans la minute. j
C'est mince, très mince mais à mon très modeste niveau je l'ai constaté 
 
 

map

Moderator
Membre du personnel
Certes, on a vu que les noms cités il y a 6 mois étaient pas si farfelus quand OVH a confirmé s’intéresser au dossier, mais qui reprendrait la partie SSII classique? Car Orange n’a pas vocation a se diversifier dans ce secteur.
 

hipparchia

New member
Bonjour. Le témoignage rapporté par Elgringodu m'avait intéressé et plutôt convaincu du fort intérêt de...Thales.
Pourquoi ?
Parce que les propos de cette personne n'étaient que des éléments de langage :
. C'est pas nous, c'est Cap Gemini.
. Nous, on veut pas , c'est l'état qui nous force.
J'ai eu l'impression d'éléments de langage travaillés par la direction de Thales pour détourner l'attention, se faire oublier et un jour appuyer sur le bouton, quand on s'y attendra le moins.
 

matabeta

Active member
Elgringodu13 pardon si j'ai été indélicat à ton égard, et merci de nous communiquer l'info qui t'a été rapportée, je ne doute pas de ta bonne foi mais je préfère me concentrer sur les éléments sûrs et tangibles pour avancer des scénarios. Ce que tu rapportes ne colle pas avec les indices collectés jusqu'ici, même si rien n'est exclut. En tout cas quel que soit ton degré de confiance en cette personne et ses intentions ou connaissances, on ne peut prendre cette info comme un acquis dans nos scénarios tant qu'on a pas d'autres indices pour la recouper !
 

lg600

Active member
Et toi tu ne dirais pas non :) :) 
En fait en 10 ans de bourse je n'ai jamais eu d'OPA et donc je ne sais pas comment cela se passe concrètement au niveau de ton portefeuille 

Si tu acceptes l'OPA tu vends tes titres de façon classique c'est bien ceci ?
Si j'ai bien suivi si il y a une contre offre / OPA ta vente s'ajustera automatiquement au plus offrant donc pas de risques ?
 

boson

New member
Salut à tous !
Si il y a une croissance de 10% par an en cybersécurité, pourquoi vouloir se faire racheter ? Personnellement je suis jeune (la vingtaine) j'ai tout mon temps pour Atos. Je préfère que Atos se relève de soi-même et dans 10 ans nous sortes un CA de 15 milliard pour le périmètre Evidian, par exemple. L'OPA pour moi est juste un moyen à court terme pour qu'on retrouve un court acceptable autrement aucuns intérêts :)  
 

Match nul

Active member
Orange était cité comme un éventuel prétendant lorsque Stéphane Richard en était le président, avec une forte volonté de créer un champion de la cyber sécurité. ( Fin d'année 2021 début 2022)
Le choix de Bruno Lemaire en a décidé autrement.
 

map

Moderator
Membre du personnel
Moi j'ai eu l'OPA de Suez sur une petite ligne de 4000€ de mémoire. Dans ce cas là ton banquier ou ton courtier t'envoie un papier par courrier que tu dois renvoyer signer si tu amènes tes titres. Généralement comme le cours s'ajuste sur le prix de l'OPA tu peux aussi vendre sur le marché comme ça c'est celui qui t'achète les titres qui aura à faire la formalité. Pour Suez j'ai merdé, j'ai vendu sur le marché à 15.80€ pour une OPA à 16€ et finalement ça s'est fini à 18€. Si on veut sur le marché on loupe la plus value si la proie réussi à augmenter le prix avec le prédateur.
Par contre là où j'ai eu les boules c'est que c'était au moment du covid, le cours était descendu à 10.80€ et j'avais acheté des calls à strike 11.50€ et comme l'action bougeait pas j'ai revendu mes calls 10 jours avant  l'OPA. J'avais que 500€ de calls, mais j'aurais fait du x10.
 

map

Moderator
Membre du personnel
Parce que rien ne dit que le management actuel peut rédressé la pente. Perso j'ai jamais vu un management qui a coulé une boite la redresser. Donc si Meunier reste, la remontada peut ne jamais arriver.
 

lg600

Active member
Merci pour tes précisions
Et si jamais tu n'apportes pas tes titres et que le prédateur arrive à acquérir plus de 90 % des actions comment cela se passe à la fin de l'OPA ? 

Il te les rachète au prix marché
ou au prix qu'il fixera ?
 

map

Moderator
Membre du personnel
S'il a plus de 90%, il a le droit de faire une OPR. Bien-sûr tu peux décider de garder tes titres, mais il n'y aura plus de cotation de l'action, donc invendable. Tu peux décider de les garder pour le dividende, mais je ne suis pas complètement sûr car il y a un seuil où le nouvel actionnaire a le droit de racheter toutes les actions (je crois s'il reste moins de 1% d'irreductibles).
Si l'OPR a lieu dans les 6 mois généralement c'est au prix de L'OPA. Si l'OPR a lieu plus longtemps après, comme 2 ans par exemple, c'est le cours moyen des 3 derniers mois.
 

Stock Update

Membres en ligne

Aucun membre en ligne actuellement.

Statistiques du forum

Sujets
3 267
Messages
35 637
Membres
752
Dernier membre
LeGrouffon
Haut