leila31
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Bonne lecture
Lors de l’audience devant le Président du Tribunal de commerce de Pontoise du 20 décembre 2023 au cours de laquelle devait être examinée la demande de l’UDAAC de désigner un mandataire chargé de convoquer une assemblée générale sans délai, pour révoquer des administrateurs et permettre de désigner un nouveau conseil d’administration par les actionnaires et non par cooptation, les cinq administrateurs d’ATOS dont l’UDAAC souhaitait que l’ordre du jour vise leur révocation, via leur avocat Jean Reinhardt, par ailleurs l’un des avocats de la société, ont déposé une heure avant l’audience une demande d’intervention volontaire à la procédure, en leurs noms personnels, visant à s’opposer à la demande d’assemblée et surtout à la condamnation de l’UDAAC à leur payer à chacun 10.000 €, sans justification.
Devant la confusion voulu et organisée par ATOS et cinq de ses administrateurs agissant à titre personnel, le président du Tribunal a décidé de renvoyer l’examen de l’affaire au 10 janvier 2024.
L’action des administrateurs, agissant à titre personnel, démontre non seulement un nouveau mépris par le conseil d’administration d’ATOS de ses actionnaires petits porteurs, et c’est nouveau, une attaque directe visant à l’élimination de l’UDAAC.
Non seulement les cinq administrateurs agissant ont par leur action depuis des mois, contribué à ruiner les actionnaires de ATOS, mais ils veulent à présent, en plus, s’enrichir à titre personnel, avant la fin de leur mandat, sur le dos des adhérents de l’UDAAC.
Au-delà de ce nouveau scandale que justifie plus que jamais la demande judiciaire de l’UDAAC, ATOS a de son coté déposé des conclusions dont le contenu apporte des éclaircissements sur le processus actuel :
Bonne lecture
Lors de l’audience devant le Président du Tribunal de commerce de Pontoise du 20 décembre 2023 au cours de laquelle devait être examinée la demande de l’UDAAC de désigner un mandataire chargé de convoquer une assemblée générale sans délai, pour révoquer des administrateurs et permettre de désigner un nouveau conseil d’administration par les actionnaires et non par cooptation, les cinq administrateurs d’ATOS dont l’UDAAC souhaitait que l’ordre du jour vise leur révocation, via leur avocat Jean Reinhardt, par ailleurs l’un des avocats de la société, ont déposé une heure avant l’audience une demande d’intervention volontaire à la procédure, en leurs noms personnels, visant à s’opposer à la demande d’assemblée et surtout à la condamnation de l’UDAAC à leur payer à chacun 10.000 €, sans justification.
Devant la confusion voulu et organisée par ATOS et cinq de ses administrateurs agissant à titre personnel, le président du Tribunal a décidé de renvoyer l’examen de l’affaire au 10 janvier 2024.
L’action des administrateurs, agissant à titre personnel, démontre non seulement un nouveau mépris par le conseil d’administration d’ATOS de ses actionnaires petits porteurs, et c’est nouveau, une attaque directe visant à l’élimination de l’UDAAC.
Non seulement les cinq administrateurs agissant ont par leur action depuis des mois, contribué à ruiner les actionnaires de ATOS, mais ils veulent à présent, en plus, s’enrichir à titre personnel, avant la fin de leur mandat, sur le dos des adhérents de l’UDAAC.
Au-delà de ce nouveau scandale que justifie plus que jamais la demande judiciaire de l’UDAAC, ATOS a de son coté déposé des conclusions dont le contenu apporte des éclaircissements sur le processus actuel :
- La gouvernance actuelle n’entend pas consulter les actionnaires avant la signature définitive des accords de cessions des actifs de la société. Il s’agira donc d’une demande de ratification des actionnaires et non d’une décision préalable. C’est bafouer les droits des actionnaires et les exigences légales.
- ATOS n’envisage pas d’assemblée générale avant l’AGO de juin, contrairement à ses déclarations antérieures.