Qui croire ? BNP Parisbas aurait-elle éte écartée ou aurait-elle claqué la porte ?
Alors que les dissensions percent dans le camp des banques sur les perspectives de survie d'Atos, Jean-Pierre Mustier, le président de l'ex-fleuron informatique, tape du poing sur la table.
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l'article explique que "les tensions sont plus profondes qu'il n'y paraît au sein du groupe des banques. On parle déjà d'un éventuel ralliement de Natixis et du CIC… et du fonds Attestor, allié de Daniel Kretinsky, les bras ouverts pour leur racheter leurs créances. Au total les banques françaises détiennent 38 % de la dette bancaire d'Atos."
l'article évoque aussi un rappel à l'ordre et à la dignité que JP Mustier aurait formulé ainsi : « Le conseil d'Atos ne peut pas accepter les récentes déclarations publiques inacceptables qui portent atteinte à la réputation du groupe et souhaite que ces commentaires cessent immédiatement pour permettre à nos salariés de continuer de travailler sereinement pour soutenir nos clients avec toute l'énergie et le dévouement qu'ils montrent tous les jours »