Ah, Bertrand Meunier, le PDG d'ATOS, ce génie de la technologie qui pensait que "Windows" était juste un truc pour espionner les voisins et que "Firewall" était une nouvelle marque de barbecue ! Né en 1970, entre un vieux tourne-disque et une calculatrice Casio, Bertrand avait le don de transformer n'importe quelle réunion ennuyeuse en spectacle de stand-up.
Il a fait ses débuts chez "NanoRigolo", où il a essayé de lancer le premier ordinateur qui faisait aussi machine à café. "Pourquoi choisir entre bosser et boire un petit noir ?", disait-il. Puis, il a rejoint ATOS, où il a imaginé le "clavier sandwich" – chaque touche délivrait une petite dose de moutarde. Pas très pratique, mais parfait pour les petits creux.
La faillite d'ATOS ? Bertrand disait que c'était à cause des souris, qui avaient grignoté les câbles. Et puis, il y avait cette histoire avec Daniel Kretinsky. Les deux étaient comme chien et chat, sauf quand il s'agissait de partager une bonne blague ou une bouteille de rouge. Et n'oublions pas Diane Galbe, la secrétaire générale d'ATOS. Bertrand la surnommait "la reine des post-it", car elle en collait partout, même sur son front pour ne pas oublier ses rendez-vous.
Quant à Édouard Philippe, l'ex-premier ministre, Bertrand racontait qu'il était venu lui demander de l'argent pour acheter un nouveau vélo. "Il voulait pédaler plus vite pour échapper aux critiques", plaisantait-il.
Bertrand, avec ton rire contagieux et ton sens de l'humour inégalé, tu vas nous manquer. Là où tu es, j'espère que les anges apprécient une bonne blague autant que nous.
Il a fait ses débuts chez "NanoRigolo", où il a essayé de lancer le premier ordinateur qui faisait aussi machine à café. "Pourquoi choisir entre bosser et boire un petit noir ?", disait-il. Puis, il a rejoint ATOS, où il a imaginé le "clavier sandwich" – chaque touche délivrait une petite dose de moutarde. Pas très pratique, mais parfait pour les petits creux.
La faillite d'ATOS ? Bertrand disait que c'était à cause des souris, qui avaient grignoté les câbles. Et puis, il y avait cette histoire avec Daniel Kretinsky. Les deux étaient comme chien et chat, sauf quand il s'agissait de partager une bonne blague ou une bouteille de rouge. Et n'oublions pas Diane Galbe, la secrétaire générale d'ATOS. Bertrand la surnommait "la reine des post-it", car elle en collait partout, même sur son front pour ne pas oublier ses rendez-vous.
Quant à Édouard Philippe, l'ex-premier ministre, Bertrand racontait qu'il était venu lui demander de l'argent pour acheter un nouveau vélo. "Il voulait pédaler plus vite pour échapper aux critiques", plaisantait-il.
Bertrand, avec ton rire contagieux et ton sens de l'humour inégalé, tu vas nous manquer. Là où tu es, j'espère que les anges apprécient une bonne blague autant que nous.
