C'est pourtant ce qui nous arriverait de mieux : chasser la gouvernance actuelle, abandonner ce plan machiavélique, et remettre le groupe sur les rails, une filiale de la BNP : Paribas investissement l'a fait fin 2008 cela a marché, il renverse l'ancienne gouvernance, deux hedges found sont écartés, et met aux commandes Thierry BRETON, le titre était alors à 12 euros, 2 ans plus tard on est remonté à 28 euros, puis 40 en 2012, puis 50 60 jusque 100 euros. ONEPOINT l'a mal joué dernièrement il aurait du s'intéresser à la totalité au lieu d'EVIDIAN, qui n'est pas encore créer, et monter au capital 10% puis rapidement 30, à ce prix c'est donné, et plus facilement réalisable, à la suite d'une AGE il aurait fait la même chose que PAI : un gros nettoyage.
Atos est il trop mal en point, pour qu'un ou deux fonds associés fassent un remake ?
Il est clair que THALES ne vise que la CYBER et Big Data, que le gouvernement a approuvé la scission, et qu'il n'est donc pas pressé pour intervenir sur le dossier avant scission, parce qu'après les prix ne seront plus les mêmes, nettement plus bas, et ceci au détriment des actionnaires.
Meunier, le chasseur chassé 14 ans après ???
En 2008 le titre est tombé à 12 euros
A cette époque un fonds d’investissement PAI Partners, anciennement Paribas Affaires Industrielles, est monté au capital d’ATOS, discrètement au début puis au grand jour, leur participation est montée à 23% en août 2008, ils disposaient alors de trois sièges au conseil de surveillance.
Dès avril 2008, Bertrand Meunier, président du comité partenaires et responsable des équipes sectorielles chez PAI Partners, fait son entrée avec Michel PARIS (futur DG de PAI Partners), au conseil de surveillance d’ATOS.
Ils font le ménage, il y valse des dirigeants, (ce que nous connaissons à l’heure actuelle) deux hedges founds sont écartés pardus et Centaurus, font entrer Thierry BRETON en novembre 2008 en qualité de président du directoire de l'entreprise, il deviendra PDG dès l’année suivante pendant 10 ans, son bilan fin 2019 c’est :
(Un peu plus de 10 ans après sa prise de fonctions, Sous son mandat, le groupe a plus que doublé son chiffre d’affaires pour atteindre 12,3 milliards d’euros en 2019. Les acquisitions des activités d’informatique de l’allemand Siemens et du groupe américain Xerox ont internationalisé l’ancien Atos Origin. Une croissance consacrée en mars 2017 par une entrée au CAC 40.
Atos réalise un quart de son chiffre d’affaires aux Etats-Unis, devenus son premier marché. L’acquisition de Bull a également permis au groupe de développer une activité de sécurité et de serveurs à haute performance (big data et cybersécurité), appelée à être prochainement mise en Bourse comme Atos l’a fait en 2014 avec sa division de paiements Worldline.)
C’est dans ces conditions, que PAI avec Meunier et surtout BRETON font monter le titre au zénith, en 7 ans de 2008 à 2015, ils cèdent leur participation principalement en 2 fois, 2013 et 2015, à un peu plus de 40 euros en 2013, puis le solde de 9% en 2015 à un peu plus de 50 euros (entre 50 et 55), empochant au passage d’énormes PV.
Sous l’impulsion de BRETON et de PAI (jusqu’en 2015), Meunier à participé à ce développement, mais dès le départ de BRETON fin 2019, Atos a immédiatement annoncé une modification de sa gouvernance. Les fonctions de président et de directeur général ont été scindées. Le directeur général délégué, Elie Girard, remplace Thierry Breton le 1er novembre à la direction générale. Bertrand Meunier, l’ex-associé de PAI, devient président non exécutif du conseil d’administration.
Et c’est la bérézina que nous connaissons tous. Meunier sans la tutelle d’un vrai d’DG, s’avère un gestionnaire plus qu’exécrable, baisse du CA, baisse des marges (pratiquement nulle), sortie du CAC, investissements coûteux, sans intégration ni profitabilité, mauvais choix stratégiques, il lui reste le souhait de BRETON de mettre en bourse BDS, mais encore une fois le plan qu’il nous pond pour se faire, premièrement n’est plus d’actualité après 3.5 milliards de pertes, et nécessite selon lui 1.6 milliard d’endettement pour ne revoir le jour qu’en……2026 !!!!!
Si l’histoire se reproduit, il nous faudrait le même scénario qu’en 2008 : un gros fonds d’investissement et ou partenaire intéressé (THALES), montant dans un premier temps au capital, faisant enfin le ménage de l’équipe actuelle, redressant les boulons, et ayant une vraie stratégie de leader mondial en cyber et big data et y mettre les moyens pour revoir sous 2 ou 3 ans le titre multiplié par 4 ou 5.
Est-ce que l’histoire va se reproduire une nouvelle fois ? beaucoup de mouvements de grandes banques, de swaps sont incompréhensibles ou invisibles, mais le challenge intéresse beaucoup d’acteurs pouvant voir leur mise de plomb transformée en or.
C’est en tout cas la seule chance qu’il nous reste pour une belle recovery, nous sommes dans l’expectative, mais elle pourrait se transformer en réalité.
Atos est il trop mal en point, pour qu'un ou deux fonds associés fassent un remake ?
Il est clair que THALES ne vise que la CYBER et Big Data, que le gouvernement a approuvé la scission, et qu'il n'est donc pas pressé pour intervenir sur le dossier avant scission, parce qu'après les prix ne seront plus les mêmes, nettement plus bas, et ceci au détriment des actionnaires.
Meunier, le chasseur chassé 14 ans après ???
En 2008 le titre est tombé à 12 euros
A cette époque un fonds d’investissement PAI Partners, anciennement Paribas Affaires Industrielles, est monté au capital d’ATOS, discrètement au début puis au grand jour, leur participation est montée à 23% en août 2008, ils disposaient alors de trois sièges au conseil de surveillance.
Dès avril 2008, Bertrand Meunier, président du comité partenaires et responsable des équipes sectorielles chez PAI Partners, fait son entrée avec Michel PARIS (futur DG de PAI Partners), au conseil de surveillance d’ATOS.
Ils font le ménage, il y valse des dirigeants, (ce que nous connaissons à l’heure actuelle) deux hedges founds sont écartés pardus et Centaurus, font entrer Thierry BRETON en novembre 2008 en qualité de président du directoire de l'entreprise, il deviendra PDG dès l’année suivante pendant 10 ans, son bilan fin 2019 c’est :
(Un peu plus de 10 ans après sa prise de fonctions, Sous son mandat, le groupe a plus que doublé son chiffre d’affaires pour atteindre 12,3 milliards d’euros en 2019. Les acquisitions des activités d’informatique de l’allemand Siemens et du groupe américain Xerox ont internationalisé l’ancien Atos Origin. Une croissance consacrée en mars 2017 par une entrée au CAC 40.
Atos réalise un quart de son chiffre d’affaires aux Etats-Unis, devenus son premier marché. L’acquisition de Bull a également permis au groupe de développer une activité de sécurité et de serveurs à haute performance (big data et cybersécurité), appelée à être prochainement mise en Bourse comme Atos l’a fait en 2014 avec sa division de paiements Worldline.)
C’est dans ces conditions, que PAI avec Meunier et surtout BRETON font monter le titre au zénith, en 7 ans de 2008 à 2015, ils cèdent leur participation principalement en 2 fois, 2013 et 2015, à un peu plus de 40 euros en 2013, puis le solde de 9% en 2015 à un peu plus de 50 euros (entre 50 et 55), empochant au passage d’énormes PV.
Sous l’impulsion de BRETON et de PAI (jusqu’en 2015), Meunier à participé à ce développement, mais dès le départ de BRETON fin 2019, Atos a immédiatement annoncé une modification de sa gouvernance. Les fonctions de président et de directeur général ont été scindées. Le directeur général délégué, Elie Girard, remplace Thierry Breton le 1er novembre à la direction générale. Bertrand Meunier, l’ex-associé de PAI, devient président non exécutif du conseil d’administration.
Et c’est la bérézina que nous connaissons tous. Meunier sans la tutelle d’un vrai d’DG, s’avère un gestionnaire plus qu’exécrable, baisse du CA, baisse des marges (pratiquement nulle), sortie du CAC, investissements coûteux, sans intégration ni profitabilité, mauvais choix stratégiques, il lui reste le souhait de BRETON de mettre en bourse BDS, mais encore une fois le plan qu’il nous pond pour se faire, premièrement n’est plus d’actualité après 3.5 milliards de pertes, et nécessite selon lui 1.6 milliard d’endettement pour ne revoir le jour qu’en……2026 !!!!!
Si l’histoire se reproduit, il nous faudrait le même scénario qu’en 2008 : un gros fonds d’investissement et ou partenaire intéressé (THALES), montant dans un premier temps au capital, faisant enfin le ménage de l’équipe actuelle, redressant les boulons, et ayant une vraie stratégie de leader mondial en cyber et big data et y mettre les moyens pour revoir sous 2 ou 3 ans le titre multiplié par 4 ou 5.
Est-ce que l’histoire va se reproduire une nouvelle fois ? beaucoup de mouvements de grandes banques, de swaps sont incompréhensibles ou invisibles, mais le challenge intéresse beaucoup d’acteurs pouvant voir leur mise de plomb transformée en or.
C’est en tout cas la seule chance qu’il nous reste pour une belle recovery, nous sommes dans l’expectative, mais elle pourrait se transformer en réalité.