Il y a normalement le lockup en cette fin de semaine 11 et 12/07 ( https://atos.bourse.blog/atos-le-lo...ment-ce-jeudi-soir-ou-demain-soir-breve-blog/ ) mais comme tout ce qui passe concernant Atos depuis plus de un an va toujours systématiquement de travers, je pense que l'on va arriver en plan de sauvegarde à la fin du mois.
Si Atos est bien en sauvegarde à la fin du mois et que l'on se retrouve dans une partie à vendre mais qu'il n'y a pas de repreneur. Je pense par exemple éventuellement à TS pour avec une possible cause de marge insuffisante et de nombreux intercontrats et de prestations sur des technologies obsolètes et rien d'assez suffisant de rémunérateur sur le cloud computing ou l'IA puisqu'ayant raté le coche . A partir de quel mois de 2024, peux-t-on envisager recevoir notre lettre de licenciement ?
De plus, s'il n'y a aucun repreneur pour certaine entité et que le mandataire judiciaire envoie les lettres de licenciements, est-ce que le contrat de travail est terminé immédiatement ? Est-ce que la mission chez le client se termine immédiatement aussi et donc le contrat avec le client est rompu aussi de fait ?
Quelqu'un a-t-il un retour d'expérience dans ce type de sujet ?
PS : le 28 juin 2024, soit presque 2 semaines, Raoul Roth avait fait une visioconférence où on le sentait dépité. Au départ, je pensais que c'était à cause de la procédure de conciliation qui n'avançait pas et qu'il n'avait pas de prise sur la situation.
Ces derniers jours, je me demande de plus en plus si la direction monde ne lui a pas demandé de définir un quota de personnes et de critères pour les personnes à licencier à l'automne avec l'effondrement de la marge et de l'augmentation éventuelle du nombre d'intercontrats.
Si Atos est bien en sauvegarde à la fin du mois et que l'on se retrouve dans une partie à vendre mais qu'il n'y a pas de repreneur. Je pense par exemple éventuellement à TS pour avec une possible cause de marge insuffisante et de nombreux intercontrats et de prestations sur des technologies obsolètes et rien d'assez suffisant de rémunérateur sur le cloud computing ou l'IA puisqu'ayant raté le coche . A partir de quel mois de 2024, peux-t-on envisager recevoir notre lettre de licenciement ?
De plus, s'il n'y a aucun repreneur pour certaine entité et que le mandataire judiciaire envoie les lettres de licenciements, est-ce que le contrat de travail est terminé immédiatement ? Est-ce que la mission chez le client se termine immédiatement aussi et donc le contrat avec le client est rompu aussi de fait ?
Quelqu'un a-t-il un retour d'expérience dans ce type de sujet ?
PS : le 28 juin 2024, soit presque 2 semaines, Raoul Roth avait fait une visioconférence où on le sentait dépité. Au départ, je pensais que c'était à cause de la procédure de conciliation qui n'avançait pas et qu'il n'avait pas de prise sur la situation.
Ces derniers jours, je me demande de plus en plus si la direction monde ne lui a pas demandé de définir un quota de personnes et de critères pour les personnes à licencier à l'automne avec l'effondrement de la marge et de l'augmentation éventuelle du nombre d'intercontrats.
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