La France ne manque pas de groupes capables de reprendre Atos. Ni l'Europe.
Aucun n'a montré d'intérêt, même après audit.
C'est tout.
Il y a ceux qui commentent en tribune et ceux qui jouent sur le terrain.
Les décideurs sont les créanciers, la bataille entre eux est indécise, tout est bloqué...