Effectivement, si c'est cuit pour les 30%, les 100% semblent toujours intéresser Airbus mais c'est là qu'Atos dit non.
Airbus revient dans un schéma stratégique qui rassemble à celui de Thales, s'allier à d'autres pour acheter le gâteau et le démanteler ensuite. Atos tient bon pour l'instant...