L’article d’Olivier Pinaud dans Le Monde du 06.12.23, est totalement SCANDALEUX, il omet sciemment ? de dire que pour le deal prévu avec Kretinsky pour TF, ATOS devrait faire un chèque de 800 millions, et de plus il mentionne une somme reprise par Kretinsky d’1.9 milliards de dettes, ce qui est encore archi faux : il s’agit seulement d’engagements HORS BILAN.
Kretinsky possède 26.67% du Monde : voudrait il lui faire plaisir ?
Pas d’honnêteté ni objectivité journalistique, il n’est pas le seul : les Echos, Challenges, Le revenu… ne mentionnent pas l’élément le plus essentiel : CESSION A PERTE, et chèque à la clef de 800 millions : Ils traduisent TOUS une offre Kretinsky de 100 millions et sa participation à 7.5% d’Eviden soit 180 millions. Certes, et puisque Kretinsky ne veut plus de sa participation dans Eviden, il n’en reste pas moins QUE CE DEAL ABERRANT se traduit par un chèque D’ATOS de 900 millions (BFR) MOINS SES 100 millions soit 800 Millions
Est-ce aussi difficile de traduire cette réalité économique dans un LANGAGE JOURNALISTIQUE CORRECT ET OBJECTIF ???
Voici l’Extrait mensonger de son article : chez-atos-la-tension-monte-a-l-approche-de-la-date-fatidique-pour-la-scission :
« Autre point sensible qui crée des tensions : le prix final que Daniel Krestinky paiera pour Tech Foundations. Initialement, celui-ci s’élevait à 100 millions d’euros. Une somme extrêmement faible, mais l’homme d’affaires tchèque reprenait dans le même temps à son compte 1,9 milliard d’euros d’engagements financiers et devait injecter un peu plus de 200 millions d’euros au capital d’Eviden. L’arrivée, début novembre, de David Layani au capital d’Atos à hauteur de 9,9 %, a changé le rapport de force. Premier actionnaire du groupe, le fondateur de la société Onepoint a immédiatement prévenu qu’il comptait réviser les conditions de l’accord avec Daniel Kretinsky afin qu’Atos récupère plus que 100 millions d’euros. En échange, il était libéré de son engagement à investir chez Eviden. »
Kretinsky possède 26.67% du Monde : voudrait il lui faire plaisir ?
Pas d’honnêteté ni objectivité journalistique, il n’est pas le seul : les Echos, Challenges, Le revenu… ne mentionnent pas l’élément le plus essentiel : CESSION A PERTE, et chèque à la clef de 800 millions : Ils traduisent TOUS une offre Kretinsky de 100 millions et sa participation à 7.5% d’Eviden soit 180 millions. Certes, et puisque Kretinsky ne veut plus de sa participation dans Eviden, il n’en reste pas moins QUE CE DEAL ABERRANT se traduit par un chèque D’ATOS de 900 millions (BFR) MOINS SES 100 millions soit 800 Millions
Est-ce aussi difficile de traduire cette réalité économique dans un LANGAGE JOURNALISTIQUE CORRECT ET OBJECTIF ???
Voici l’Extrait mensonger de son article : chez-atos-la-tension-monte-a-l-approche-de-la-date-fatidique-pour-la-scission :
« Autre point sensible qui crée des tensions : le prix final que Daniel Krestinky paiera pour Tech Foundations. Initialement, celui-ci s’élevait à 100 millions d’euros. Une somme extrêmement faible, mais l’homme d’affaires tchèque reprenait dans le même temps à son compte 1,9 milliard d’euros d’engagements financiers et devait injecter un peu plus de 200 millions d’euros au capital d’Eviden. L’arrivée, début novembre, de David Layani au capital d’Atos à hauteur de 9,9 %, a changé le rapport de force. Premier actionnaire du groupe, le fondateur de la société Onepoint a immédiatement prévenu qu’il comptait réviser les conditions de l’accord avec Daniel Kretinsky afin qu’Atos récupère plus que 100 millions d’euros. En échange, il était libéré de son engagement à investir chez Eviden. »