LVMH et le luxe en général ...

loser62

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une analyse abc bourse :
Lvmh Gare au pullback sous résistance ?

zone bourse :
En Europe hier, le CAC40 a fait figure de vilain petit canard avec un repli de 0,44% à la cloche, provoqué par la chute de 6,5% de la star déchue, LVMH. N’enterrons pas trop vite la société de Bernard Arnault, mais il faut constater que les craintes du marché étaient justifiées : finies les périodes de croissance de plus de 20%, du moins pour un temps. Le marché doutait depuis quelques semaines déjà, comme en témoigne la contraction du titre durant l’été. Comme souvent, la prophétie autoréalisatrice a joué le rôle de deuxième lame et sabré un peu plus le cours de l'action. Paradoxalement, la glissade a été plutôt modeste pour Kering (-1,4%), alors que le dossier est perçu comme moins qualitatif. Peut-être parce que le groupe de François-Henri Pinault n’est pas présent dans les vins et spiritueux, l’une des zones de faiblesses de LVMH sur le trimestre écoulé.
 

loser62

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un graphique : lvmh sur 5 ans


un article sur un risque , un changement de comportement des acheteurs : LVMH subit un changement d’ambiance dans le secteur du luxe
https://www.ft.com/content/bd2f79a1-8fe8-426d-b0dd-ddf4edbbabea

"Peut-être que les consommateurs de luxe sont simplement en train de se dégriser doucement après une période d’euphorie de consommation post-pandémique, lorsqu’ils ont décidé qu’il valait « mieux profiter de la vie plutôt que de mourir riche », comme le dit Luca Solca, analyste chez Bernstein. "Il est évident que la vague de dépenses d'aide post-Covid commence à se modérer et que le secteur du luxe redevient cyclique."

Bon ... il y est écrit aussi ceci : "Mais même les grands magasins ultra-luxe pensent que certains sacs à main sont devenus (à voix basse) trop chers."
c'est discutable ... un bitcoin à 26000 $ c'est cher aussi .

En gros , on se retrouve encore face au problème ;"le luxe c'est trop cher " LVMH RMS c'est fini ... mais ça fait longtemps qu'on entend ça et ça rebondit toujours .
 
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lg600

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PER extrêmement élevé qui interdit toute déception même minime sur les chiffres.
Pour LVMH je pense prendre une ligne vers les 640 si elle y va
Luxe = marché Chinois = regardez le comportement de cette économie pour se positionner
Comme les Indices Chinois montent le luxe aussi c'est assez frappant
Le luxe n'est jamais trop cher à l'achat :)
 

loser62

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PER extrêmement élevé qui interdit toute déception même minime sur les chiffres.
Pour LVMH je pense prendre une ligne vers les 640 si elle y va
Luxe = marché Chinois = regardez le comportement de cette économie pour se positionner
Comme les Indices Chinois montent le luxe aussi c'est assez frappant
Le luxe n'est jamais trop cher à l'achat :)
Le PER n'est pas si élevé que ça (21.2 d'après bourso ) et plus bas que celui de l'Oréal .
perso , j'ai loupé l'achat en 2022 ( année des choix funestes pour moi ) pour quelques euros idem pour Hermès et l'Oréal ... vu ce que j'ai perdu sur des bouses en refusant de couper mes pertes ( et du coup moins de cash pour s'offrir des opportunités ) , je suis très mal placé pour donner des conseils , quoique non , mes expériences désastreuses m'ont aussi incité à larguer Atos après l'AG .

"Le luxe n'est jamais trop cher à l'achat"
de l'article du FT :
"Mais même les grands magasins ultra-luxe pensent que certains sacs à main sont devenus (à voix basse) trop chers."
effectivement , le prix n'a jamais été un obstacle , le truc c'est que le prix reste en adéquation avec la rareté :
Black Panther flying tourbillon Royal Oak édition limitée (voir aussi les prix du cognac Louis XIII sur le fil Remy Cointreau )
 
Dernière édition:

lg600

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Pour le PER effectivement je me suis trompé et confondu avec Hermes
Je regarde aussi le luxe et j'essaye d'identifier un point d'achat avec LVMH (640 ?)
J'avais pris Kering en 2021 ou 22 (me rappelle plus) et j'avais liquidé suite à une interview sur le site de Boursorma de son PDG qui disait 'la trajectoire haussière est devant nous..." bien m'en a pris.

Bref son PDG annonçait que que le titre allait monter et il a baissé de 40 % depuis.....même promotion que BM


Mais comme Eric Lewin conseille Kering (à 580) je vais surement aller sur LVMH bientôt

De toutes façon les performances des sociétés Francaises de luxe sont assez similaires
 

loser62

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LVMH ... je visais 500 tout rond en 2022 , il y a une histoire de peur qui vous empêche d'acheter ( comme pour la tech US ) quand ça descend vite et bas . Faut se souvenir de ses erreurs .
Pour LVMH comme pour Hermès , je trouve que c'est grimpé trop vite et trop haut , on corrige ok normal , maintenant les points d'entrée restent à déterminer . Une ligne à 640 pour LVMH , oui , mais alors juste histoire de démarrer une ligne pour être "in" , je pense ( enfin disons plutôt j'espère ) que le potentiel baissier est loin d'être épuisé , le RSI est à 33 , perso je pense que le retour à 600 n'est pas inenvisageable . ( j'ose à peine imaginer 530 - 540 ) . Mes performances boursières lamentables sont à mettre en relief avec la valeur de mes avis ...
 

loser62

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je mets ça ici parce qu'on n'a pas de thread sur l'oréal, et que ça ne concerne pas que l'Oréal mais aussi à un degré moindre le luxe en général :

01/11/2023
(AOF) - Estée Lauder est attendu en forte baisse à Wall Street après avoir lancé un avertissement sur ses résultats. Sur l’exercice fiscal 2024, le groupe de cosmétiques prévoit désormais des revenus au mieux en hausse de 1% et au pire en recul de 2% contre une précédente prévision de croissance comprise entre 5% à 7%. En organique, les ventes sont attendues au pire en repli de 1% et au mieux en progression de 2%. Estée Lauder tablait auparavant sur une croissance interne située entre 6% et 8%.

Le bénéfice par action ajusté est anticipé entre 2,17 et 2,42 dollars, à comparer avec une précédente fourchette de 3,50 dollars à 3,75 dollars.
La société a mis en cause des vents contraires externes supplémentaires. En Chine continentale, le taux de croissance prévu de l'ensemble des produits de beauté de prestige a ainsi ralenti.
Au premier trimestre, clos fin septembre, les revenus du groupe ont chuté de 10% à 3,52 milliards de dollars. Elles sont en repli de 11% en données organiques.
 

loser62

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Les marques haut de gamme comme LVMH et Kering, propriétaire de Gucci, en ont ressenti les effets en 2023, mais un nouveau type de luxe gagne une part du portefeuille des consommateurs.​

Les produits de luxe semblaient autrefois à l’abri des difficultés économiques, mais leur éclat est peut-être en train de s’estomper. Pendant la pandémie, le marché du luxe a prospéré alors que les riches – insensibles aux hausses de prix – se livraient aux sacs Birkin et aux montres rares. Pourtant, des signes pointent désormais vers un ralentissement du boom du luxe des années folles.
Prenez la Chine, par exemple, où la forte hausse des ventes post-Covid au début de 2023 n’a pas duré. Le ralentissement de la reprise économique du pays et les incertitudes mondiales ont contribué à un recul des dépenses de luxe.
Selon Claudia D’Arpizio de Bain & Co., experte de premier plan dans le domaine, malgré une résilience initiale, les marchés du luxe sont confrontés à des défis dus aux changements géopolitiques et à la baisse de confiance des consommateurs.
Ces turbulences ont impacté des acteurs majeurs comme LVMH, le conglomérat derrière Dior et Louis Vuitton. La croissance de son chiffre d'affaires au troisième trimestre a ralenti par rapport à l'année précédente,
donnant un ton repris par des rivaux tels que Kering, propriétaire de Gucci, et Burberry. Les ventes semestrielles de Richemont, bien qu'en hausse de 6%, n'ont pas répondu aux attentes,
et les prix du marché secondaire pour Rolex et Patek Philippe en ont pris un coup.
Alors que certaines valeurs aberrantes, comme Hermès, défient la récession avec de solides ventes au troisième trimestre, le secteur du luxe dans son ensemble navigue dans les incertitudes.
Cependant, les segments de niche, tels que les croisières de luxe, prospèrent avec une croissance annuelle de 116 % en devises constantes.La complexité du paysage actuel du marché du luxe nous amène à nous interroger sur la véritable trajectoire, au milieu de rapports contradictoires sur les gains et la facilité des dépenses.Alors, que se passe-t-il réellement dans le monde de l’opulence ?

Le boom alimenté par le COVID conduit à un réajustement

La pandémie a marqué l’apogée du luxe. Les économies accumulées grâce aux chèques de relance et aux programmes de congés ont renforcé le pouvoir d’achat des acheteurs, mais leur ont laissé moins de possibilités pour se faire plaisir au milieu des interdictions de voyager et des confinements.
C’est à ce moment-là que beaucoup se sont tournés vers les produits de luxe en achetant plus de champagne et de sacs de créateurs qu’auparavant.
« Vous disposiez d’un énorme excédent d’épargne ou de pouvoir d’achat qui était libéré par le fait que les gens restaient chez eux, en particulier les cols blancs. »
a déclaré Javier Gonzalez Lastra, gestionnaire de portefeuille axé sur le luxe chez Tema ETFs.
L’ampleur de la croissance dans la catégorie du luxe pendant la pandémie se reflète dans les données de Deloitte, qui montrent que les 100 plus grandes entreprises du luxe sont devenues plus grandes et plus rentables que jamais au cours de l’exercice 2022.
Mais ensuite, à mesure que les taux d’intérêt et l’inflation augmentaient, dit Lastra, les consommateurs ont commencé à serrer les cordons de leur bourse et à être plus vigilants quant à l’endroit où ils dépensaient leur argent. Les dépenses monstrueuses de la pandémie ont fait des merveilles pour les marges bénéficiaires des entreprises de luxe, mais elles n’ont jamais été censées devenir la nouvelle norme.Il s’agit plutôt d’une anomalie, et le ralentissement de la croissance auquel nous assistons aujourd’hui reflète un réajustement progressif de ce qui était la norme avant la COVID-19.
«Fondamentalement, ce n'est pas durable et cela ne devrait pas l'être», selon Flavio Cereda, gestionnaire de placements chez la société de gestion d'actifs zurichoise GAM faisant référence aux taux de croissance élevés observés dans le segment du luxe.
« Je pense que ce que l’on voit cette année, c’est cette décélération, qui est un processus vers la normalisation. Cela a l’air pire qu’il ne l’est parce que cela vient d’un niveau très élevé.
Les dirigeants d’entreprises de luxe ont également souligné que le ralentissement apparent n’est qu’un retour à la situation antérieure plutôt qu’un scénario apocalyptique total pour les produits de luxe dans leur ensemble. Le président de Richemont, Johann Rupert, a noté dans la publication des résultats semestriels de la société le mois dernier qu'une « normalisation généralisée des attentes de croissance du marché dans l'ensemble du secteur » était en cours Les données le soutiennent également. Dans toutes les catégories de luxe à l’échelle mondiale, la consommation de l’industrie du luxe pour 2023 est estimée à environ 1 500 milliards d’euros (1 620 milliards de dollars),selon le rapport sectoriel de Bain & Co. de novembre, Long Live Luxury C'est environ 70 % de plus que les niveaux de 2019 en monnaie constante, malgré une augmentation des prix estimée à 29 % dans l'ensemble du secteur pour cette période afin de suivre la hausse des coûts de production. EDITED société de données de vente au détail a trouvé.
La performance des différentes marques de luxe peut également dépendre du type de consommateurs qu’elles ciblent, a déclaré Natalia Lechmanova, économiste en chef de Mastercard pour l’Europe.
Le consommateur « ambitieux » débutant aurait pu être plus touché par les facteurs macroéconomiques et leurs effets sur son portefeuille que les plus riches. "Nous devons comprendre que les consommateurs de luxe se situent dans un spectre allant des classes moyennes supérieures prospères aux milliardaires.
Le premier est devenu plus sensible aux prix : les bonus des banques d’investissement ont diminué, le secteur technologique a supprimé des emplois, la bulle crypto a éclaté, et de nombreux professionnels aisés ont dû de plus en plus donner la priorité au paiement d'intérêts plus élevés sur leurs prêts hypothécaires plutôt qu'à des vacances ou à des sacs à main coûteux" a déclaré Lechmanova
dans un e-mail à Fortune.

Un nouveau type de luxe qui gagne

La baisse des dépenses dans certains segments du luxe reflète les flux et reflux des préférences des acheteurs et leur appétit pour les produits discrétionnaires compte tenu de l’environnement économique actuel. Mais selon Lastra, de Tema ETF, les consommateurs font simplement des folies avec un type de luxe différent de celui de ces dernières années.
« Ce que nous avons constaté en termes de ralentissement est principalement dû au fait que les gens dépensent désormais pour d’autres choses », a déclaré Lastra.
"C'est donc une question de part de portefeuille pour le moment, plus que les pertes d'emplois ou nécessairement la baisse des taux d'intérêt qui a un impact."
Plus précisément, les dépenses sont orientées vers des expériences de luxe, a constaté Bain & Co.
D'Arpizio, co-auteur du rapport sur le marché du luxe de novembre, a noté que le rebond du COVID-19 et la résurgence des voyages ont vu davantage de personnes s'adonner au luxe expérientiel en 2023.
– une tendance qui devrait se poursuivre l’année prochaine.
« Ce que nous avons observé en 2023, c'est un rééquilibrage de l'appétit des clients vers les expériences et les biens basés sur l'expérience plutôt que vers les produits, avec un sentiment d’urgence sans précédent pour la vie sociale et les voyages à travers les zones géographiques », a déclaré D’Arpizio. « Les dépenses consacrées aux expériences retrouvent des sommets historiques, les consommateurs se tournant à nouveau vers le luxe au-delà des produits. »
Cela pourrait signifier une augmentation des catégories telles que les voyages, l’hôtellerie et les croisières à mesure que le flux touristique augmente.
En raison de l'augmentation du tourisme, les achats de produits de luxe pourraient également en bénéficier, quoique à des degrés moins stratosphériques, estime Bain & Co.
Certaines de ces tendances commencent à se refléter dans les résultats des entreprises : le plus grand groupe hôtelier européen, Accor, a relevé son objectif de bénéfice annuel à deux reprises cette année, face à une demande en plein essor.
Le groupe britannique Rocco Forte Hotels, qui possède des propriétés dans toute l'Europe, a également vu ses revenus augmenter "Les expériences ont plus que doublé leur valeur depuis 2010", a déclaré D'Arpizio. « Cette « nouvelle normalité » signifie que les marchés du luxe brouillent leurs frontières,
et les marques ont la possibilité d’étendre leur portée au-delà de leur cœur de métier.

2024 et à venir

Avec des signes allant dans des directions différentes, il est clair que l’année à venir pour le luxe marquera un remaniement amorcé en 2023.
HSBC a averti dans une note fin novembre que le luxe étant lié à la confiance des consommateurs, au tourisme et aux marchés boursiers, ce qui lui arrive pourrait avoir des répercussions plus larges.
La banque prévoit un rythme de croissance plus modeste qui, selon elle, « n’a rien de honteux, mais un ralentissement de la dynamique est rarement favorable aux actions de ce secteur ».
Alors que les économies de régions clés telles que les États-Unis, l’Europe et la Chine sont encore en train de trouver leur place, 2024 pourrait continuer à être « un défi » pour le luxe, a écrit la Deutsche Bank la semaine dernière. Mais le bon côté des choses, c’est que l’industrie du luxe est plus résiliente que certains autres secteurs de consommation de l’économie.
"L'une des raisons pour lesquelles vous souhaitez investir dans ce secteur est la montée en puissance de la classe moyenne supérieure à l'échelle mondiale, et c'est un vent favorable fantastique pour toutes ces entreprises de luxe ", dit Lastra.
 

loser62

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Lvmh : les résultats annuels en fin de mois , je ne vois pas l'info sur le site mais c'était le 26 Janvier pour ceux de 2022
 

loser62

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du 13/12 :

Dans une note sectorielle, JP Morgan a dégradé sa recommandation sur le titre de LVMH à Neutre avec un objectif de cours abaissé de 835 à 790 euros. "Après des années de très belles performances notamment dans la Mode et la Maroquinerie (notamment chez les marques Louis Vuitton et Dior), nous commençons à voir des signes de normalisation de la dynamique et plus largement de la demande des consommateurs", explique la banque américaine.
Par ailleurs, JP Morgan se demande si la catégorie de la maroquinerie pourrait commencer à éprouver une certaine "fatigue", après des années de demande exceptionnelle et de hausses de prix. "Nous pensons qu'il serait difficile pour LVMH d'être à l'abri de ces grandes tendances".
Dans l'ensemble, JP Morgan souligne qu'"en 2023, le super cycle du luxe a commencé à s'affaiblir, entraînant de fortes corrections du cours des actions au deuxième semestre (-14%), ce qui se traduit pas des gains modérés sur l'année (+3%)

perso , mon objectif à 640 pour démarrer une ligne ( le ferais-je si elle y va ? ) m'apparait de plus en plus probable , les analystes parleront surement des résultats annuels avant leurs publications , ils ont leurs sources d'informations et ça devrait donner une indication fiable.
 

loser62

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je ne sais pas si la lecture des 2 articles publiés au dessus vous incite à vous positionner à la vente ou à l'achat , ça souffle le froid et en conclusion ça se réchauffe avec ce "L'une des raisons pour lesquelles vous souhaitez investir dans ce secteur est la montée en puissance de la classe moyenne supérieure à l'échelle mondiale, et c'est un vent favorable fantastique pour toutes ces entreprises de luxe "
Mais
Perso , je pense qu'on va avoir de la prise de bénefs , et que ça bataillera dans la zone des 640 , entrées et rachats , mais j'ai le sentiment qu'on peut vite se retrouver à 530 euros .

« Notre sentiment est que la seule utilité des prévisionistes de la bourse est d’améliorer l’image des diseuses de bonne aventure. Charlie (Munger) et moi continuons de penser que les prévisions de marché à court terme sont un poison qui devrait être tenu loin des enfants autant que des adultes qui se comportent comme des enfants. »
Warren B .
 

loser62

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mon ordre à 351 sur Kering n'est pas encore passé , ça ne saurait tarder , vu la courbe je pense le rabaisser à 310 , qu'en dites vous ?
 

ozymandias

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Kering est la moins sexy des 3.
Je pense rentrer sur LVMH à 580 et je pense qu'on l'y verra un jour.
Hermès je sais pas le PER est fou. Si l'action baisse ok mais si elle baisse c est qu'il y aura eu un pépin donc bof.
 

loser62

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580 sur LVMH c'est loin d'être irréaliste , je vise même 530 , mais bon ... la fois dernière à être trop gourmand j'ai tout loupé . Je viens d'annuler mon ordre sur Kering , à tant tutoyer le bord du gouffre elle finira par y tomber .
ah bah tiens :
(CercleFinance.com) - Kering décroche de -3,5% à 355E, via un 'gap' sous 371,15E, ce qui valide définitivement la cassure du support de 372E... et potentiellement celui des 357E qui remonte au 18 mars 2020 (ou fin octobre 20187) et qu'il ne faut à aucun prix enfoncer d'ici la clôture sous peine d'entamer un nouveau cycle de baisse en direction du 'gap' des 239E du 25/04/2017
 

loser62

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(AOF) - Société britannique de luxe, Burberry (-6,21% à 1276 pence) est lanterne rouge de l'indice FTSE 100 après avoir signalé ce matin que ses résultats annuels seraient inférieurs à ses prévisions précédentes. Un nouveau ralentissement de la demande en produits de luxe a affecté les ventes du groupe au cours des 13 dernières semaines précédant le 30 décembre. Dans son sillage, les autres valeurs du luxe reculent : Kering (-1,12%) et LVMH (-0,85%) occupent la dernière et l'avant dernière place de l'indice CAC 40.
En revanche, Hermès résiste et gagné 0,4%.
Burberry a revu à la baisse ses prévisions de bénéfice d'exploitation ajusté pour son exercice clos fin mars. Il vise désormais entre 410 et 460 millions de livres sterling contre de 552 à 668 millions de livres sterling auparavant. Les analystes doutaient de la capacité du groupe à atteindre son objectif : le consensus s'élève à 543 millions de livres.

Confronté au ralentissement de la demande pour les produits de luxe, Burberry a enregistré un recul de 6,6% de ses ventes sur les 13 dernières semaines à fin décembre, à 706 millions de livres. Elles ont baissé de 2% à taux de change constants.

Sur cette période, ses ventes ont progressé de 3% dans la région Asie-Pacifique, mais ont chuté de 5% en Europe et surtout de 15% dans les Amériques.

Bien que Burberry a connu une nouvelle décélération au cours de la période commerciale clé de décembre, Jonathan Akeroyd, directeur général de Burberry reste optimiste : "nous nous engageons à atteindre notre objectif de chiffre d'affaires de 4 milliards de livres sterling".

En outre, sur la base des taux de change en vigueur au 29 décembre 2023, le groupe anticipe désormais un effet de change négatif d'environ 120 millions de livres sterling au niveau du revenu et d'environ 60 millions de livres sterling sur le bénéfice d'exploitation ajusté.

Dans une note rédigée avant cet avertissement, Jefferies reste à Conserver sur le titre Burberry en abaissant son objectif de cours de 1600 à 1400 pence. "La dynamique de redressement de Burberry a été entravée ces derniers mois par la détérioration de la demande", notait le broker.
 

loser62

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Donc , j'ai bien fait d'annuler mon ordre sur kering ,
règle : couteau qui tombe etc ... autre règle : méfiez-vous des analystes qu'on voit souvent sur les plateaux télé . ( cussac est au niveau de lewin question conseil foireux ) par contre franck morel et laurens lafont pour le moment ça va , si j'avais suivi le 1er pour nvidia je serais deja à +20 % , et le second voyait un point de sortie dans la hausse des indices début Janvier
 

loser62

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Richemont : publication rassurante , le luxe remonte ...LVMH à 530 : le scénario est devenu improbable , je sens que je vais encore avoir des regrets avec mon objectif à 640 , j'ai entendu que les résultats seraient annoncés le 25 .
 

loser62

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ça date du 18 /01/2024 :

LVMH: reprend plus de 3% à 673E, signal baissier repoussé​

(CercleFinance.com) - C'est probablement un bel exemple de 'bear trap' : la cassure du plancher des 661E (de fin octobre 2023, les 13, 20 et surtout 27/10) survenue la veille est invalidée et LVMH reprend plus de 3% à 673E.
Pas sûr cependant que LVMH échappe durablement à une correction en direction de 600E (plancher du 3/10/22) puis 550E (testé fin juin 2022).
 

loser62

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sur Richemont :
(AOF) - Géant du luxe suisse, Richemont bondit de 9,63% à 115,55 francs suisses à Zurich après la publication d'une performance meilleure que prévu au troisième trimestre de son exercice décalé 2023-2024. Le groupe a affiché des ventes sur cette période en hausse de 4%, flirtant avec les 5,6 milliards d'euros, malgré un environnement macroéconomique et géopolitique toujours incertain. Ses trois maisons de joaillerie (Buccellati, Cartier et Van Cleef & Arpels) ont généré la plus forte augmentation d'activité (+12% contre 9% de consensus).
Le luxe en soutien du CAC 40
Dans le sillage de cette performance, les valeurs du luxe s'affichent en hausse à Paris. Au sein de l'indice CAC 40, LVMH, Kering et Hermès gagnent respectivement 1,88%, 1,53% et 1,19%.
Sur ce trimestre, Richemont a profité d'une croissance de ses ventes en Asie-Pacifique de 13% grâce à une augmentation de 25% des ventes en Chine continentale, à Hong Kong et à Macao, ce qui a plus que compensé le ralentissement sur plusieurs autres marchés asiatiques. Dans les Amériques, les ventes ont augmenté de 8% grâce à une économie résiliente. Toutefois, ses ventes en Europe ont diminué de 3%, suite à une réduction des dépenses touristiques, notamment des clients américains.
En outre, les ventes au détail de Richemont ont progressé de 11% à la faveur d'une croissance dans toutes les régions (hormis l'Europe) et d'une vigueur notable en Chine continentale, à Hong Kong et Macao combinés, ainsi qu'aux États-Unis. Le chiffre d'affaires des horlogers spécialisés a augmenté de 3%, reflétant une meilleure performance de ses ventes au détail.
Une trésorerie en hausse
Sa trésorerie nette s'est encore améliorée pour atteindre 6,8 milliards d'euros, grâce notamment à de solides performances opérationnelles.
Suite à la publication de ces résultats trimestriels, Morgan Stanley reste à "pondération en ligne" sur Richemont avec un objectif de cours inchangé à 125 francs suisses. La banque américaine évoque "des résultats rassurants pour le groupe de luxe sur ce troisième trimestre", précisant que "ses ventes à taux de change constant ont progressé de +8% contre +6% attendu par le consensus VA".
Quant à Stifel, le broker reste à l'Achat avec un objectif de cours inchangé à 139 francs suisses. "Compte tenu de la faiblesse du cours de l'action, nous nous attendons à une réaction positive du cours aujourd'hui suite à la croissance rassurante d'au moins 10% pour les maisons de joaillerie", explique t-il.
La bonne dynamique de Richemont sur ce troisième trimestre, contraste avec ses performances au trimestre précédent. En novembre dernier, le groupe suisse indiquait que "sa croissance avait légèrement ralenti au second trimestre en raison des pressions inflationnistes, du ralentissement de la croissance économique et des tensions géopolitiques qui avaient commencé à impacter la confiance des clients".
le 18/01/2024
 

loser62

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Hugo boss et Burberry's ont déçu mais leurs niveaux de perception comme "luxe" pour les clients est en deça des marques LVMH ou Richemont . une vieille pub pour la Renault Clio :
 

loser62

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Kering : le 19/03/2024 à 18:28
(AOF) - Les tendances actuelles conduisent Kering à une estimation de baisse du chiffre d’affaires consolidé de l’ordre de 10% en comparable au premier trimestre 2024 par rapport à l’année dernière. "Cette performance reflète, principalement, un recul plus marqué de Gucci, en particulier en Asie-Pacifique", explique le groupe de luxe. Ainsi, le chiffre d’affaires de Gucci au 31 mars devrait être en retrait de près de 20% en comparable.

L'effet combiné sur le chiffre d'affaires publié de la contribution positive liée à la consolidation de Creed et de l'impact négatif des taux de change est estimé de l'ordre de -1% à -2%.

Kering publiera son chiffre d'affaires du premier trimestre 2024 le 23 avril après bourse.
 

loser62

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Okay sur tradegate ça descend , le cac va pouvoir corriger un peu , c'est pas plus mal qu'il le fasse à cause ou grâce au secteur du luxe , on n'aime pas quand ça baisse mais on se méfie quand ça monte trop
 

loser62

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Le numéro un mondial du luxe LVMH a vu ses ventes reculer de 2% au premier trimestre par rapport à la même période en 2023, à 20,7 milliards sous l'effet d'une base de comparaison plus difficile et "d'une normalisation" de la consommation chinoise.

A structure et taux de change comparables, le chiffre d'affaires du groupe dirigé par Bernard Arnault est en hausse de 3%. LVMH "reste à la fois vigilant et confiant en ce début d'année" dans un "contexte géopolitique et économique incertain", selon le communiqué.

Le chiffre d'affaires de LVMH est légèrement inférieur aux prévisions établies par Bloomberg et Factset, qui tablaient respectivement sur 21,18 et 21 milliards d'euros.

"3% de croissance organique après 17% l'année dernière, c'est vraiment pas mal du tout. On n'est pas mécontent", a commenté le directeur financier Jean-Jacques Guiony lors d'un échange avec les agences de presse.

"Au premier trimestre de l'année dernière, le marché chinois avait commencé à s'ouvrir (après pandémie), ils avaient eu une année 2022 extrêmement dure (...) il y avait beaucoup d'euphorie", a-t-il ajouté pour expliquer l'effet de base de comparaison. Cette année la croissance des ventes à la clientèle chinoise est "autour de 10%" ce qui correspond à une "normalisation", selon M. Guiony.

Un effet base de comparaison qui a une incidence sur les ventes de la section mode et la maroquinerie (Louis Vuitton, Dior, Celine, Fendi...), division phare du groupe, en recul de 2% à 10,5 milliards d'euros.

L’activité vins et spiritueux est en difficulté avec un chiffre d'affaires en recul de 16% à 1,4 milliard d'euros. "La clientèle est une clientèle touchée par les phénomènes inflationistes", a souligné M. Guiony. "Ce n'set pas facile en Chine, ce n'est pas facile pour le champagne en Europe, c'est un peu meilleur pour le cognac aux Etats-Unis mais on n'est pas encore complétement sorti des difficultés".

La distribution sélective, qui comprend Sephora et DFS (le "duty free") reste le bon élève du groupe avec une hausse de ses ventes de 5% grâce à une "progression remarquable" de Séphora.

DFS reste "en dessous de son niveau d'activité pré-Covid de 2019, la reprise des voyage internationaux étant partielle en Europe et dans les destinations phare de Hong Kong et Macao".

Les ventes de parfums et cosmétiques sont en hausse de 3% à 2,18 milliards d'euros alors que le chiffre d'affaires de la section montres et joaillerie recule de 5% à 2,5 milliards d'euros.

que retient-on de l'article de Boursorama ? https://www.boursorama.com/bourse/a...896943c53bdc2accbc9c70250f1bce50?symbol=1rPMC
pour moi , c'est ce qui est écrit en gras . poursuite de la baisse , ce qui aura pour effet de préparer les futures hausses .
 

loser62

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Et paf , j'ai tout faux , voilà encore une belle hausse matinale qui me renvoie à mes illusions d'achat sur fort repli . ( j'aurais dû commencer la bourse plus jeune )
 

loser62

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"CercleFinance.com) - LVMH rechute de -3%, sous 696E et enfonce le plancher des 707E du 19 juin et 2 juillet.
Les nouvelles en provenance de Chine ne sont pas bonnes et le titre semble bien parti pour s'en aller combler le 'gap' des 689,4E du 24 janvier.
Le principal support moyen terme se situe vers 647E (ce plancher annuel a été testé le 17 janvier)"

De plus , comme les résultats approchent , j'ai appris qu'il était interdit que la boite rachète ses actions .

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loser62

Well-known member
Tiens , je remonte ce thread c'est d'actualité , donc correction générale pour le luxe .
"Pas sûr cependant que LVMH échappe durablement à une correction en direction de 600E (plancher du 3/10/22) puis 550E (testé fin juin 2022)."
Cercle finance du 18 Janvier
 

loser62

Well-known member
Les 550 de Cercle Finance seraient un bon point d'entrée , quand je dis un point d'entrée c'est une toute petite ligne , possible que ça rebondisse sur ce cours mais possible que ça continue de descendre .
 

loser62

Well-known member
Jeudi on a Richemont qui publie son T3 , ça donnera le ton pour les autres valeurs du luxe et aussi pour le CAC , en, tout cas , je vise toujours trop bas pour rentrer sur LVMH .
 

langdon

Active member

Le luxe flambe à Paris et dope le CAC 40 : merci Richemont

(AOF) - Le luxe se distingue à la Bourse de Paris grâce à la publication par le groupe suisse, Richemont, de ventes trimestrielles nettement supérieures aux attentes. LVMH gagne 8,07%, Kering 8,6% et Hermès , 5,5%, dopant la performance du CAC 40 : +1,51%. Au troisième trimestre, clos fin décembre, de son exercice 2024/2025, Richemont a enregistré un chiffre d’affaires de 6,15 milliards d’euros, en progression de 10%. Le consensus s’élevait à seulement 5,584 milliards d’euros. Il s'agit de la meilleure performance trimestrielle jamais enregistrée par le propriétaire de Cartier et de Van Cleef & Arpels.

"Toutes les divisions surperforment nettement les attentes", précise Invest Securities. Toutes les régions affichent des croissance à deux chiffres, sauf l'Asie Pacifique (-7%), qui est pénalisée par la Chine (continentale + Hong Kong et Macau) où les ventes ont reculé de 18% en raison de la faiblesse de la demande.
 

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