Ce matin BFM Business : Fond CIAM s'exprime sur ATOS

lg600

Active member
Ce matin (rediffusé ce soir) le fond CIAM sur ATOS avec les points clés suivants :

  1. Il ne quitte pas ATOS et iront jusqu'au bout à l'inverse d'autres fonds
  2. La scission et le cadeau à Kretinsjy ne passera pas en AG
  3. Aucun problème de liquidité à court terme pour ATOS
  4. ATOS est une bonne boite seul le CA/Bertrand Meunier est responsable
  5. Le jour ou la scission est annulée le cours prend 50 %
  6. Ils n'ont jamais vu un management comme ATOS
  7. Présentation de leur plan sans scission
 
Dernière édition:

lg600

Active member
J'étais devant le café une toute petite dizaine de minute pas au courant
Je pense que c'est rediffusé ce soir sur GOOD EVENIG BUSINESS ou sur leur site

J'ai oublié ces points

8. Proglio qui n'a pas été associé aux votes et un autre administrateur le 01 aout est preuve du mensonge permanent de BM
9 Ils ont dressé un portrait de menteur et de psycho rigide de BM
10 Dans leur 'vie' de fond activiste ils n'ont jamais vu un contexte comme ATOS. C'est unique
 
Dernière édition:

remi102

Active member
Merci lg600 , tu n'as rien oublié. En 5 mn Catherine Berjal a été très efficace et a affirmé en conclusion qu'elles ne lâcheront rien une fois de plus
 

remi102

Active member
Oups j'ai oublié CB a insisté sur la collusion intérêt entre les DG (package) et l'offre de reprise (900 MD euros) pour DK
 

map

Moderator
Membre du personnel
Oups j'ai oublié CB a insisté sur la collusion intérêt entre les DG (package) et l'offre de reprise (900 MD euros) pour DK
Oui, mais ça c'est débile. NB n'a aucune influence sur Bertrand Meunier, quant à Diane Galbe, j'ai apris que son influence sur Meunier s'était considérablement amoindrie et que leurs rapports sont loin d'être idylliques comme au moment de leur embauche.

Ces packages n'ont eu aucune influence sur la vente, juste une motivation à livrer TFCo à la mi-février sur un plateau d'argent passée au polish. En gros que les cadres se défoncent pour TFCo durant l'intérim de 5 mois et non pour influencer ni la cession ni le prix.
 
Dernière édition:

remi102

Active member
Justement la conseil de L'Udaac est en profond désaccord avec cette stratégie.

Depuis le début je dis que c'est un veux pieux de penser que c'est super que j'ai plein de prétendant à la fronde. Chacun prêche ça paroisse et ça permet à Meunier de dire que les actionnaires déstabilisent l'entreprise. Et il a partiellement raison. Pour l'instant PERSONNE n'a proposé de plan alternatif.

Revenir au spinoff c'est débile. Personne veut acheter les 30%. Pour info l'offre de Airbus était de 450M€ pour les 30% et le Véto de l'état j'ai eu confirmation par 4 personnes différentes très informé que c'était pipo, c'est la Due Diligence qui était catastrophique.

Donc elle veulent pas de cession mais proposent aucun financement, si ce n'est qu'elles sont entendent que si on annulait la cession le cours remonterrait et là l'AK serait possible. Sauf qu'avec des si, on coupe du bois...
Désolé mais entendre de ta part que BM a partiellement raison à propos de la déstabilisation par les actionnaires me laisse voix et je préfère arrêter le débat ;
 

map

Moderator
Membre du personnel
Désolé mais entendre de ta part que BM a partiellement raison à propos de la déstabilisation par les actionnaires me laisse voix et je préfère arrêter le débat ;
J'ai pas dis que Meunier avait raison mais que ça lui donnait une excuses en or pour prêcher la destabilisation. Ca ressemble à rien, chacun va dans son coin de sa petite plainte par ci, par là.

Et y'a aucun débat plan contre plan.
 

Cosmic Gate

Active member
Penser que le tapage médiatique autour de la gouvernance d'Atos est neutre pour son business, c'est se fourrer le doigt dans l'oeil.
 

map

Moderator
Membre du personnel
Tout a fait. C'était mon propos. Il faut se focaliser sur Meunier et le CA, et pas sur l'entreprise et encore moins son management (management veut dire DG).
 

map

Moderator
Membre du personnel
Taper sur l'ex DG, pour mettre la pression sur Meunier, c'est déstabiliser l'entreprise. Les concurrents lisent la presse.
 

remi102

Active member
Taper sur l'ex DG, pour mettre la pression sur Meunier, c'est déstabiliser l'entreprise. Les concurrents lisent la presse.
Permets-toi de dire que cela fait un moment qu'ils sont au courant et qu'ils ne se bornent pas à lire la presse ou nos threads :) :) :) . Les clients aussi.
Vos threads auto-flagellants sur notre culpabilité renforcent BM
 

DiPieggi

Member
J'ai pas dis que Meunier avait raison mais que ça lui donnait une excuses en or pour prêcher la destabilisation. Ca ressemble à rien, chacun va dans son coin de sa petite plainte par ci, par là.

Et y'a aucun débat plan contre plan.
"Aucun débat plan contre plan"... Belmer en avait sûrement un de plan.
Il a été limogé en 3 mois parce qu'il déstabilisait celui qui l'a nommé? Même chose maintenant pour Bihmane et Oliva qui sont écartés.
Meunier assume des fonctions qui ne sont pas les siennes, il n'est ni mandaté ni compétent pour faire un plan de gestion qui change comme de chemise
 

DiPieggi

Member
To
Oups j'ai oublié CB a insisté sur la collusion intérêt entre les DG (package) et l'offre de reprise (900 MD euros) pour orruption totale, Bihmane n'étant pas seulement le DG de la filiale TechFoundation mais du groupe Atos entier qu'il va abandonner avec l'ardoise des dettes

Oui, mais ça c'est débile. NB n'a aucune influence sur Bertrand Meunier, quant à Diane Galbe, j'ai apris que son influence sur Meunier s'était considérablement amoindrie et que leurs rapports sont loin d'être idylliques comme au moment de leur embauche.

Ces packages n'ont eu aucune influence sur la vente, juste une motivation à livrer TFCo à la mi-février sur un plateau d'argent passée au polish. En gros que les cadres se défoncent pour TFCo durant l'intérim de 5 mois et non pour influencer ni la cession ni le prix.
Avec la grosse nuance que Bihmane est (était) DG du groupe et pas seulement de la filiale vendue. Il devait veiller pour l'intérêt du groupe (on le paye pour ça en tant que DG) et que la vente se negocie a Fair Value ou du moins avec l'approbation des termes par les actionnaires.

Il a vu le problème trop tard, et l'arrivée de Yves Bernaert comme DG est là pour essayer de maquiller et rattrapper cette grave faute de corruption.
 

joga

Active member
Elle a raison annulation du plan Meunier dehors et le cours de bourse remonte a 15€ !

Ma seul question c’est comment meunier va t il faire accepter le deal aux actionnaires ! Avant de valider ça il a dû se poser la question ?
 

karsenna

Active member
NB est un mauvais, il mange avec Meunier et il n a aucune excuse. « TFCo is back » et il en fait cadeau à un acheteur tiers ???
NB travaille pour lui-meme et non pas pour la société Atos. Il se voit deja avec son package à plusieurs millions travaillant pour un professionnel loin de Meunier etc… il rêve pour lui même et pour cela il nous poignarde dans le dos.

Je ne lui trouve aucune excuse. si il ne mangeait pas au même râtelier que Meunier, il n’avait qu’à démissionner ou s’opposer fermement jusqu’à se faire virer. Point barre.

Le CA est pourri et la DG avec. L’arrivée de Yves Bernaert, comme dit DiPieggi, n’est la que pour maquiller la vente qu’ ils veulent officialiser avec une signature qui ne soit pas celle de NB, et prétendre qu’il n’y a pas de conflit d intérêts. En réalité, quand on veut bien lire entre les lignes, ce sont des aveux signés qu’ils ont magouillé, que la ficelle était finalement trop grosse et se sont fait chopper en flague, et font en sorte d’atteindre le même objectif de la signature de la cession en soit disant éloignant NB, pris la main dans le pot de chocolat.

1/ ils ont une confiance en eux démesurée et un irrespect total pour les actionnaires qu’ils prennent pour des gueux. Atos c est leur jouet et ils en font ce qu’ils veulent sans rendre de compte à personne!! Ils en fichent royal de nous
2 / ils n’ont aucune intention de modifier les plans et ils le veulent coûte que coûte. YB n’est là que pour effacer les les accusations de conflit d intérêt. C est tout, il n’a absolument aucune autre tache que d’être une diversion dans les mains de Meunier.
 

joga

Active member
On est d’accord qu il est là grâce à meunier pr l’aider sur son plan mais comment faire voter cette m… en AG ? Pkoi il l’a repousse s’il était sur de son coup ?
 

marcel

Active member
Elle a raison annulation du plan Meunier dehors et le cours de bourse remonte a 15€ !

Ma seul question c’est comment meunier va t il faire accepter le deal aux actionnaires ! Avant de valider ça il a dû se poser la question ?
Si les articles disent vrai, Meunier ne s'attendait pas du tt à ce que les actionnaires se rebellent à ce point et que la réaction de ttes parts soit aussi violente.

Mais bon, j'ai des doutes, son entourloupe sur le communiqué en omettant de parler du milliard de Bfr montre au contraire qu'il a tenté de camoufler au maximum le mauvais deal et qu'il avait peur. Ajouter à une annonce d'AK, j'ai du mal à croire qu'il s'imaginait que ça ferait l'unanimité chez les actionnaires... Peut être qu'il est surpris de l'ampleur, mais ils savaient après la fronde de juin que ça se poursuivait. Il a dû jubiler à l'annonce de la sortie de Sycomore, mais d'autres plus féroces ont pris le relais

Je vois 2 possibilités :

1) Les vrais chiffres des comptes sont catastrophiques et ce deal n'est finalement pas si mauvais. Dans ce cas, Atos est mort. Kretinsky sera dur à entourlouper et Eviden aura besoin d'autres AK après celle ci, mais plus personne ne le suivra...

2) Le plan de base depuis le retrait d'airbus est mort-né. Plutôt que de s'appuyer sur des résultats de tfco meilleur qu'anticipé et annuler le plan, ce qui aurait été un aveu d'échec et aurait été fatal pr lui. Il a décidé la fuite en avant, avec une cession de tfco. Hélas pour lui, les résultats d'Eviden sont très décevant et K seul candidat sérieux à la reprise est très dur en affaire.
 

karsenna

Active member
Il me semble évident que Meunier a fait tous ses plans selon ses propres contraintes à lui sans en avoir rien à cirer des actionnaires qui pour lui n’existaient même pas. Pas de gros actionnaire de référence avec une présence au board, que des petits porteurs, il s’est dit Atos est à moi j en fais ce que je veux! Point barre.

Je pense qu’en effet que la surprise de la fronde qui s’organise et qui attaque de toutes parts, l’a surpris et qu’il ne s’y attendait pas du tout. Et vu sa psychorigidité, il est dans la fuite en avant, et pour nous il est dangereux, il est une catastrophe.
Nous devons l’arracher de ce fauteuil, pour ne pas dire son trône, et rien de moins.

Le mec nous fait -90% de cours d’action et il ose parler de création de valeur pour les actionnaires !?!?! Non mais sérieux, vous voulez encore respecter ce type, l’écouter, lui accorder quelconques raisonnements logiques et sens des responsabilités ? Moi je dirais « La Bastille ! »
 

marcel

Active member
On est d’accord qu il est là grâce à meunier pr l’aider sur son plan mais comment faire voter cette m… en AG ? Pkoi il l’a repousse s’il était sur de son coup ?
Pour voter son deal, il n'y a que 3 possibilités :
1) Résultats de tfco catastrophiques.
2) Accord avec un gros investisseur pour entrer au capital d'éviden via une Ak réservée en compagnie de la Bpi.
3) Renégociation du deal K avec une baisse significative du BFR laissé ds les caisses, ainsi qu'une clarification sur le partage des bénéfices à venir de tfco.

Sans la conjonction d'un ou plusieurs de ces éléments, le deal ne sera jms voté. En repoussant de quelques mois le deal, il tente de gagner du tps pour tenter d'activer les points 2 ou 3.
 

joga

Active member
Les résultats de tfco ne seront pas mauvais il était en plein de redressement …

Il y a clairement une fronde contre le plan… je partage ac toi les points 2 et 3 car si plan refusé en AG il saute avec … donc il gagne du temps …

Le pb du point 2 c’est qu’il a pas réussi à trouver d’accord avec airbus alors qu airbus demandait la majorité d’evidien ou de payer moins …

Ça fait plusieurs plainte de déposé contre lui qu il ne dépose pas sa démission reste incroyable donc il doit encore avoir quelques administrateurs à sa botte … il ne se rend même pas compte que ça simple démission provoquerait une réaction positive du marché


Une 4eme option passage en force
 

DiPieggi

Member
On est d’accord qu il est là grâce à meunier pr l’aider sur son plan mais comment faire voter cette m… en AG ? Pkoi il l’a repousse s’il était sur de son coup ?
A mon avis, il se sentait sûr de son coup car il a sûrement le pourcentage du capital suffisant à sa faveur pour une autre AG. Banques, FCPE, Kretinsky, etc...

Mais il y a eu de gros imprévus en Août et Septembre qu'il n'a pas vu venir:
- la concrétisation de l'UDAAC et les actions en marche vers une possible plainte
- la plainte d'ALIX et maintenant celle de CIAM
- le bruit dans les médias, députés, armée, etc...
- Oliva croit plus au plan, surtout s'il a pas droit lui au management package de 25 millions...
- Si les plaintes sont recevables, les proxy peuvent plus se risquer à appuyer Meunier. Tout comme le reste des membres du Board (certains se sont déjà casser au cas où).
 

Gilou

Member
Déjà en mars dans la presse et officialisé le 1er Aout

Par Capital avec AFP
Publié le 08/03/2023 à 8h29

Le groupe informatique Atos, en train de se scinder en deux, a confirmé mardi soir qu'il "étudiera" les marques d'intérêt de l'homme d'affaires tchèque Daniel Kretinsky sur sa branche d'activités traditionnelles d'infogérance, a indiqué son directeur général Nourdine Bihmane sur BFM Business. "On avait confirmé au mois d'octobre qu'on avait reçu plusieurs marques d'intérêt, dont Daniel Kretinsky, sur ce business-là. Le conseil d'administration et son président étudieront toutes ces demandes mais pour l'instant nous n'avons aucun élément additionnel à partager", a-t-il dit. Mi-2022, le groupe informatique, en lourdes pertes, avait annoncé sa décision de se scinder en deux entités cotées, d'ici le 2e semestre 2023. L'une, rebaptisée Evidian, comprendra ses activités les plus dynamiques (cybersécurité, cloud, supercalculateurs) et l'autre, renommée Tech Foundations, regroupera les activités historiques d'infogérance (gestion informatique pour compte d'autrui), d'assistance aux postes de travail et de services aux entreprises.
Cette branche, en lourdes pertes en 2021, a été partiellement redressée en 2022 avec une marge opérationnelle redevenue positive de 79 millions d'euros, sur un chiffre d'affaires de 6 milliards, grâce notamment à l'interruption de contrats non rentables. Tech Foundation emploie près de 50.000 personnes dans le monde. Le plan initial présenté l'an dernier prévoyait d'externaliser Evidian, qui depuis fait l'objet de négociations avec le groupe Airbus qui souhaite en racheter 30%, et de recentrer Atos sur sa branche historique qu'il n'était alors pas question de céder.
Selon Le Monde et Les Echos, Daniel Kretinsky a posé ses conditions : ce serait Atos qui lui verserait plusieurs centaines de millions pour assurer le besoin en fonds de roulement, notamment garantir les engagements de retraite des salariés des filiales allemandes. Ce serait une première incursion dans l'informatique pour l’homme d’affaires tchèque, qui a fait fortune en rachetant des mines et centrales à charbon à bas prix en Europe. Il est par ailleurs devenu très actif dans les médias français, notamment comme coactionnaire du Monde et en rachetant des magazines (Elle, Télé 7 jours, Marianne). Il est enfin candidat, avec des alliés, à la reprise de la maison d'édition Editis.
 

DiPieggi

Member
Déjà en mars dans la presse et officialisé le 1er Aout

Par Capital avec AFP
Publié le 08/03/2023 à 8h29

Le groupe informatique Atos, en train de se scinder en deux, a confirmé mardi soir qu'il "étudiera" les marques d'intérêt de l'homme d'affaires tchèque Daniel Kretinsky sur sa branche d'activités traditionnelles d'infogérance, a indiqué son directeur général Nourdine Bihmane sur BFM Business. "On avait confirmé au mois d'octobre qu'on avait reçu plusieurs marques d'intérêt, dont Daniel Kretinsky, sur ce business-là. Le conseil d'administration et son président étudieront toutes ces demandes mais pour l'instant nous n'avons aucun élément additionnel à partager", a-t-il dit. Mi-2022, le groupe informatique, en lourdes pertes, avait annoncé sa décision de se scinder en deux entités cotées, d'ici le 2e semestre 2023. L'une, rebaptisée Evidian, comprendra ses activités les plus dynamiques (cybersécurité, cloud, supercalculateurs) et l'autre, renommée Tech Foundations, regroupera les activités historiques d'infogérance (gestion informatique pour compte d'autrui), d'assistance aux postes de travail et de services aux entreprises.
Cette branche, en lourdes pertes en 2021, a été partiellement redressée en 2022 avec une marge opérationnelle redevenue positive de 79 millions d'euros, sur un chiffre d'affaires de 6 milliards, grâce notamment à l'interruption de contrats non rentables. Tech Foundation emploie près de 50.000 personnes dans le monde. Le plan initial présenté l'an dernier prévoyait d'externaliser Evidian, qui depuis fait l'objet de négociations avec le groupe Airbus qui souhaite en racheter 30%, et de recentrer Atos sur sa branche historique qu'il n'était alors pas question de céder.
Selon Le Monde et Les Echos, Daniel Kretinsky a posé ses conditions : ce serait Atos qui lui verserait plusieurs centaines de millions pour assurer le besoin en fonds de roulement, notamment garantir les engagements de retraite des salariés des filiales allemandes. Ce serait une première incursion dans l'informatique pour l’homme d’affaires tchèque, qui a fait fortune en rachetant des mines et centrales à charbon à bas prix en Europe. Il est par ailleurs devenu très actif dans les médias français, notamment comme coactionnaire du Monde et en rachetant des magazines (Elle, Télé 7 jours, Marianne). Il est enfin candidat, avec des alliés, à la reprise de la maison d'édition Editis.
Bien vu Gilou, tout ça était dans les cartons depuis 2022, BFM en faisait déjà écho

Donc Bihmane connaissait cette option et eventuellement d'autres entre octobre 2022 et août 2023. Probablement les 25 millions de package ont suffit pour dire que c'était la meilleure des options
 
Dernière édition:

Gilou

Member
A l'époque personne n'y a cru et pourtant.
Meunier est dans une impasse et joue ses dernières cartes :
-Nommer un 3e DG en 2 ans comme un président qui changerait de PM pour relancer sa politique
-Gagner du temps en décalant l'AG début 2024 pour trouver un actionnaire de référence pour Eviden et montrer de bons résultats ???

Le pire pour Meunier serait de passer en force en noircissant le tableau et d'obliger le PP à voter oui sous la menace d'une faillite. Je suis persuadé que Meunier qui est têtu est persuadé d'avoir raison seul contre le marché.
 
Dernière édition:

Gilou

Member
Le cours de bourse n'a plus aucune justification fondamentale. Il n'y a tout simplement plus d'acheteurs et les HF avec l'aide des algos poussent le titre vers le bas puis se rachètent.
La société Atos ne cherche pas a soutenir son cours de bourse en aucune façon. Annoncer une AK énorme 5 mois à l'avance c'est de la destruction massive de valeur. Pour moi c'est du jamais vu en bourse sur une société de cette taille.
 

DiPieggi

Member
Il joue ses dernières cartes mais maintenant il va devoir en plus se défendre des plaintes. Ça, ce n'était pas dans le PowerPoint de McKinsey.

Quand je pense juste aux frais annuels de McKinsey... Les destiner à un rachat d'actions massif donnerait un signal fort au marché, la VAD se racheterait comme elle pourrait. Et si AK necessaire, elle se ferait dans de meilleures conditions pour les actionnaires.
 

marcel

Active member
Les résultats de tfco ne seront pas mauvais il était en plein de redressement …
C'est à espérer, et Map donnait des infos rassurantes en ce sens. Mais pour Meunier le champion de la magouille, tout est possible. Il aurait très bien pu embellir cette entité pour signer avec K et désormais aller dans le sens de la dégradation pour faire voter l'actionnaire.


Selon Le Monde et Les Echos, Daniel Kretinsky a posé ses conditions : ce serait Atos qui lui verserait plusieurs centaines de millions pour assurer le besoin en fonds de roulement, notamment garantir les engagements de retraite des salariés des filiales allemandes.
Effectivement, K par l'intermédiaire de son ancien journal le Monde avait déjà annoncé la couleur. Ils parlaient de plusieurs centaines de millions... Ça restait vague... C'était à ce moment de l'annonce, le début du tfco is back Qui depuis a continué à rassurer. Donc plus personne n'y croyait, surtout après le cmd.
Les chiffres de-800M, puis-600M, - 400M, - 200M et 1€ symbolique ont filtré depuis. Meunier lui même avait répondu à une question disant qu'il n'y aurait pas de vente à prix négatif.

Avec la présentation du S1 et du fcf désastreux, on a tous pensé qu'il avait utilisé du cash pour embellir la mariée et annoncé une vente honorable.
En première lecture, son communiqué du 1er août allait dans ce sens.

La suite on l'a connaît, 1Md€ de bfr était caché dans le communiqué. Ce qui fait grosso modo une vente à -900M€. Pire que la pire des estimations après moultes dépenses et de multiples discours prometteurs au sujet de l'avenir de tfco.

À quel moment a til imaginé que cela pouvait bien se passer ???
 

Stock Update

Membres en ligne

Statistiques du forum

Sujets
3 267
Messages
35 631
Membres
752
Dernier membre
LeGrouffon
Haut