Restez à l'écart du CAC

Je shorte le CAC sur ses résistances jusqu'à fin octobre.
A partir de novembre, la saisonnalité fait qu'il devient plus risquer de jouer la baisse de façon prolongée mais de nombreuses incertitudes peuvent permettre des coups de court terme.
 

loser62

Well-known member
le luxe , l'automobile morflent mais on a une industrie aéronautique , pharmaceutique , et des groupes qui ramassent à l'international . Néanmoins le poids du luxe est tel que dès que ça s'enrhume le cac tousse .
 

loser62

Well-known member
Je vous "copie colle " ces brèves de Reuters :

23 septembre (Reuters) - Les niveaux élevés d'inflation et l'impact de la guerre en Ukraine ont forcé les entreprises de toute l'Europe à geler les embauches ou à supprimer des emplois.

Voici quelques-uns des licenciements annoncés depuis le début du mois de juin :

BANQUES * DNB : La banque norvégienne a annoncé le 10 septembre qu'elle supprimerait l'équivalent de 500 emplois à temps plein au cours des six prochains mois, alors qu'elle se prépare à des taux d'intérêt plus bas et à une concurrence plus rude à venir.

INDUSTRIEL ET INGÉNIERIE * NORTHVOLT : Le fabricant suédois de batteries a annoncé le 23 septembre son intention de licencier 1.600 salariés en Suède, dont 1.000 postes dans son usine Northvolt Ett à Skelleftea. * UMICORE : Le groupe belge de recyclage de métaux prévoit de supprimer 14% de postes dans sa division allemande de catalyseurs automobiles d'ici 2027, a-t-il annoncé le 19 juin.

DISTRIBUTION ET BIENS DE CONSOMMATION * DYSON : Le fabricant d'aspirateurs a annoncé en juillet qu'il supprimerait environ 1 000 emplois en Grande-Bretagne dans le cadre d'une restructuration mondiale. * UNILEVER : Le géant des biens de consommation prévoit de supprimer un tiers de tous les emplois de bureau en Europe d'ici fin 2025, a-t-il annoncé en juillet.

TÉLÉCOMS * TELIA : L'opérateur télécoms suédois envisage de supprimer environ 3.000 emplois en 2024, a-t-il annoncé le 4 septembre.

  • VODAFONE ESPAGNE : L'ancienne filiale de Vodafone récemment acquise par Zegona Communications prévoit de supprimer jusqu'à 1 200 emplois, soit un peu plus d'un tiers de ses effectifs, a-t-elle annoncé le 12 juin.
PHARMA * BAYER : Un haut dirigeant du groupe pharmaceutique Bayer a annoncé le 26 juin que le groupe allait continuer à réduire ses effectifs de cadres cette année dans le cadre d'une réorganisation interne. * INDIVIOR : Le groupe pharmaceutique a annoncé le 9 juillet qu'il allait supprimer environ 130 emplois après l'arrêt des ventes de son médicament contre la schizophrénie Perseris.

* DEUTSCHE BAHN : Le groupe ferroviaire allemand a annoncé le 25 juillet qu'il prévoyait de supprimer 30.000 emplois, soit environ 9% des effectifs. * INFINEON : Le fabricant allemand de puces électroniques va supprimer 1.400 emplois dans le monde et délocaliser 1.400 postes supplémentaires dans des pays où le coût de la main-d'œuvre est moins élevé, a déclaré son PDG le 5 août. * MANCHESTER UNITED : Le club de Premier League anglaise propose de supprimer environ 250 emplois dans le cadre d'un plan social à l'échelle du club, a déclaré une source proche du club le 3 juillet. * PKP CARGO : La plus grande compagnie de fret polonaise prévoit de licencier 30% de ses employés, a-t-elle déclaré le 3 juillet. * SHELL : Le géant de l'énergie prévoit de réduire de 20% ses effectifs d'exploration et de développement pétrolier et gazier, ont déclaré des sources du groupe à Reuters le 29 août. En Europe, les suppressions d'emplois se concentrent aux Pays-Bas et en Grande-Bretagne, ont-elles précisé. Un porte-parole de Shell n'a pas souhaité commenter les chiffres de ces réductions. * TAMEDIA : Le groupe suisse de médias a annoncé le 29 août la fermeture de deux imprimeries et le licenciement de près de 300 salariés dans le cadre d'une nouvelle série de mesures d'économies. * UPM : Le groupe forestier finlandais a annoncé le 21 août la fermeture d'une usine de papier journal et d'une machine à papier fin en Allemagne, ce qui affectera 338 emplois. Il fermera également son activité de biocomposites d'ici fin 2024, ce qui affectera 59 emplois en Finlande et en Allemagne, a-t-il annoncé le 26 août.

Source : documents réglementaires, articles de Reuters et sites Web des entreprises
 

loser62

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P.... y a des fois où on ferait mieux de faire le contraire . Bon , rebond général du luxe et des valeurs massacrées baisse de Orange , mais je préfère quand même alléger et prendre du bénef là où j'en ai , le luxe rebondit parce que la Chine et son plan de relance etc ... pour autant , je reste circonspect et un peu déçu d'avoir encore loupé LVMH , j'avais placé un ordre à 584 que j'avais annulé pour viser plus bas . Je lorgnais aussi Forvia , Trigano .
Wait and see , mais c'est dommage j'ai du cash qui dort , au lieu de ça je vais sur des boites bancales comme S30 , Viridien ou VAC , bref quand même déçu .
 
Beau découplage : WS +3% / CAC -0.50% avec portes de salon en prime.
Le programme Trump fait la part belle aux entreprises US et plombera (un peu plus) l'économie européenne ; les marchés en prennent acte.
Sacré Donald ;)
 

loser62

Well-known member
Bon , j'ai suivi les conseils de Franck Morel , j'ai du cash sur PEA , pour le CTO , je me prends un râteau violent avec S30 et Super Micro Computer ( oh ...bon dieu , c'est le même franck Morel qui avait dit ok , mais je ne sais plus si c'est lui qui avait conseillé à l'achat ) SMC a été accusé de malversations comptables par Hindenburg .
Je vois que renault bank fait une promo à 4% sur 3 mois pour son livret , ok , je fonce .
 
Dernière édition:

langdon

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Hello.
Le programme de trump est connu et tout le monde est préparé, pas comme en 2016.
Ce qui me fait le plus peur c'est le présence d'Élon Musk à la maison blanche. Ca veut dire que ça va ouvrir des tas de portes et des tas de contrats à Tesla et Space X.
A+
 

loser62

Well-known member
Voilà un gros copié collé d'un article de Roland Laskine paru ce matin sur Bourso , il sera plus facile de le retrouver ici :

Avec l'élection de Donald Trump, les Européens se retrouvent dans la situation peu enviable de Bernard Blier dans les Tontons flingueurs : un bourre-pif sans rien n'avoir demandé à personne. Les marchés l'ont bien compris : le programme du nouveau président est bon pour l'économie américaine, donc pour Wall Street. En revanche, il fait mal à l ‘Europe. Le bond de 4,2% de l'indice large S&P 500 au cours des trois derniers jours et d'un peu plus de 5% du Nasdaq Composite en est la traduction. Chaque jour contribue à pousser encore plus haut les records historiques pour les deux indices phare de la Bourse de New York. L'Eurostoxx 50 affiche de son côté une performance négative sur la semaine. Habituellement la vigueur de Wall Street finit toujours par bénéficier aux autres places boursières européennes, mais cette fois-ci il y a bien un gagnant et un perdant. Le Vieux continent serait bien inspiré de se mettre, lui aussi, à l'heure de l'essor économique et de la préservation de ses intérêts vitaux.

Wall Street est porté par la résilience de l'économie américaine, ainsi que par les promesses de baisse d'impôts, de dérégulation volontariste et de soutien de l'industrie nationale. La banque centrale américaine qui a procédé ce jeudi à un nouvelle baisse de 25 points de ses taux directeurs renforce le mouvement en dégoupillant la principale critique qui été adressée au programme de Donald Trump portant les risques inflationnistes de sa politique. La Fed a laissé entendre que l'assouplissement monétaire sera maintenu tant que les indicateurs de hausse des prix et des salaires resteront favorables. Dès lors, les taux d'intérêt qui étaient remontés le lendemain de l'élection se sont détendus en fin de semaine.

L'afflux de capitaux dont bénéficient les actions américaines portées par les bonnes perspectives de croissance est bien compréhensible. Les cours progressent en dépit de la forte valorisation du marché (31,8 fois les profits attendus à 12 mois pour le Nasdaq et 24,5 fois ceux du S&P 500) et de rendements historiquement faibles (0,82% pour l'indice riche en valeurs technologiques et de 1,3% pour celui des 500 plus grandes sociétés cotées à New York).

Le plus terrible dans cette affaire c'est que les dernières publications de résultats aux Etats-Unis n'ont pas fait d'étincelles, avec une progression moyenne de 5,2% des profits du S&P 500 au troisième trimestre et même une légère révision à la baisse des attentes pour le quatrième trimestre. Ca n'a pas été le cas dans la zone euro, où les bénéfices du troisième trimestre sont ressortis en hausse de 6% à un niveau supérieur aux attentes. Hors automobile et énergie, ceux-ci ont même progressé de plus de 10%, ce qui montre que les entreprises européennes parviennent à plutôt bien s'adapter à la faiblesse du niveau d'activité dans la zone euro et au ralentissement de la croissance du commerce mondial.

Les métriques sont satisfaisantes, mais la dynamique n'est pas de notre côté. Pour simplifier, les détenteurs de capitaux sont convaincus que la stratégie « America first » se fera au détriment des autres régions du monde. La Chine en premier lieu, mais celle-ci dispose des moyens de réagir en mettant en place les contre-feux nécessaires sur le plan budgétaire et en continuant d'inonder le marché mondial à des prix défiants toute concurrence. Ce n'est pas le cas de l'Europe qui a tout à perdre du durcissement de la politique protectionniste des Etats-Unis. Les géants allemands d'automobiles et de biens qu'équipements, ainsi que les exportateurs français de biens de consommation seront les plus touchés.

Autant dire que dans ces conditions, nous nous félicitons de l'ensemble de nos choix stratégiques d'allocations. L'ensemble de nos portefeuilles bat le CAC 40 sur une semaine et un mois. Ils creusent surtout l'écart sur un an glissant, avec une hausse de plus de 10% pour l'Offensif et de 14,8% pour notre sélection ISR/PEA, comparé à une avance de 5,56% pour l'indice phare de la Bourse de Paris. Le Défensif se contente d'une progression de 3%, mais l'année n'est pas encore terminée. Nos derniers arbitrages ayant consisté à réduire la part des actions françaises au profit du renforcement de la part de trackers sur les Etats-Unis ont porté leurs fruits. Cette semaine nous avons en effet cédé nos actions BNP Paribas et réduit les positions prises sur Alstom et Stellantis au profit du rachat dans les portefeuilles Défensif et Offensif de la totalité des parts de l'ETF Amundi PEA S&P 500 vendu le 31 octobre.

L'amour propre mal placé est le plus grand ennemi de l'investisseur… Et bien oui, nous avons été contraints de racheter l'ensemble des positions vendues une semaine auparavant. Ces allers-retours sont peu glorieux, mais ils se révèlent gagnants en dépit des frais qu'ils ont occasionnés.

Quelle stratégie jusqu'à la fin de l'année ?​

Il faut bien entendu rester présent aux Etats-Unis : le S&P 500 est aux portes des 6.000 points et le Nasdaq Composite ne demande qu'à franchir les 20.000 points. Tout ceci va très vite. Cette accélération de ce mouvement ascensionnel donne le tournis, mais la dynamique est forte. Il n'est dès lors pas exclu que nous renforcions une nouvelle fois les positions dans cette direction. Cependant il s'agit plus d'un mouvement tactique que d'une stratégie de long terme. Il faudra sans doute d'ici à la fin de l'année revenir sur une allocation plus équilibrée en revenant progressivement sur les valeurs européennes qui ne vont tout de même pas être dévorées tout cru par le nouvel homme fort de la Maison Blanche. La Bourse a l'habitude de prendre à revers les investisseurs qui ont tendance à s'endormir sur leurs lauriers. Le regain de dynamisme dont bénéficient les Etats-Unis est indéniable et l'effet d'entrainement sur les valeurs américaines n'est pas loin d'être à son apogée. Il faut tout de même garder à l'esprit qu'au cours des six derniers mois l'indice S&P 500 a progressé de plus de 15%, alors que l'Eurostoxx 50 cède près de 4%. Le CAC 40 est encore plus bas. L'écart entre les deux continents est considérable. Nous allons consacrer les quelques semaines qui nous restent jusqu'à la fin de l'année pour trouver de nouvelles pistes d'investissement sur la cote européenne, sans préférence particulière pour les valeurs françaises qui restent pénalisées par nos déséquilibres en matière budgétaire, une fiscalité trop lourde et une certaine perte de compétitivité. Sans doute faudra-t-il aussi regarder du côté de l'Asie qui dispose de solides arguments pour résister à la guerre économique que nous promet la future administration Trump. Les velléités de redressement des valeurs chinoises sont de ce point de vue symptomatiques. Face aux menaces de rétorsions américaines dont la Chine pourrait faire l'objet il n'est pas exclu que Pékin renforce ses mesures de soutien à son économie et rivalise d'agressivité pour inonder le marché mondial de ses produits vendus à prix cassés. Les marchés émergents ont historiquement tout à gagner de la baisse des taux directeurs américains et de la bonne tenue de l'activité aux Etats-Unis.

Bonne lecture et bon week-end à tous,

Roland Laskine
 

loser62

Well-known member
Je vous reposte ici un article de Roland Laskine


Depuis le début des années 2010 les valeurs américaines font la course en tête. Le phénomène est bien connu, rien de nouveau sous le soleil. Sur toute cette période, l'indice S&P 500 a affiché une surperformance annuelle moyenne de l'ordre de 10% par rapport à l'indice de référence de la Bourse de Paris. L'écart s'explique par la montée en puissance des valeurs technologiques au sein de la cote américaine et par un potentiel de croissance économique presque deux fois supérieur au nôtre. Aujourd'hui, il n'est cependant plus question de sous-performance, mais de contre-performance en valeur absolue. En clair, quand Wall Street monte, le CAC 40 n'est pas seulement à la traîne, il recule ! Sur les 12 derniers mois, alors que l'indice S&P 500 a progressé de 30,4%, nous baissons de 0,4%. L'écart est sidérant… du jamais vu de mémoire de boursier. L'indice Eurostoxx 50 a mieux résisté. Toutefois, avec une progression d'un peu plus de 9,2% sur la même période, il reste lui aussi très en retard par rapport à Wall Street.

Inutile de remuer le couteau dans la plaie pour comprendre pourquoi nos valeurs subissent un tel affaissement (faible croissance, perte de compétitivité, dégradation des comptes publics, etc…). Pour ne rester que dans la sphère boursière, la cote française manque cruellement de valeurs technologiques en forte croissance capables de tirer nos indices vers le haut. Pas de Nvidia, de Microsoft ou d'Apple de ce côté-ci de l'Atlantique. Notre CAC 40 est composé de sociétés traditionnelles de grande qualité, mais aucune d'elles ne dispose d'un potentiel de valorisation comparable à celui des « 7 magnificients ». Ces sept géants de la « tech » américaine présentent à eux seuls 47% des dépenses d'investissement des cinq cents sociétés de l'indice S&P 500 et un tiers de la totalité des profits de l'indice.

Avec nos champions du luxe, nous avons longtemps cru disposer de nos propres « magnifiques ». Il a suffi que les Chinois lèvent le pied sur leurs achats de sacs de luxe, de parfums « made in France », de Cognac et de Champagne pour que nos LVMH, Hermès International, Kering et autre L'Oréal perdent de leur superbe. A la différence des valeurs technologiques cotées sur le Nasdaq, disposant d'une dynamique de croissance endogène, les nôtres sont à la merci de l'humeur et des retours de fortune de leur clientèle. Autre élément troublant, les valeurs européennes ne profitent plus de la hausse du dollar, pourtant traditionnellement favorable. La hausse de 5% du billet vert par rapport à l'euro sur les trois derniers mois, qui permet à nos entreprises de bénéficier d'un effet de change positif, n'a cette fois-ci eu aucun effet sur le cours de Bourse de nos grands exportateurs.

Dans ce contexte, nous nous félicitons tous les jours, d'avoir orienté très tôt nos portefeuilles vers les grandes valeurs américaines. Sur les 12 derniers mois tous nos portefeuilles affichent une performance positive. Le meilleur score (+13,5% sur un an glissant) revient à notre sélection d'ETF Monde par nature orientée vers une gestion diversifiée de nos actifs. L'essentiel de la performance provient de l'achat de deux trackers Amundi éligibles au PEA, l'un indexé sur le S&P 500 et l'autre sur le Nasdaq ainsi que des positions prises sur les valeurs d'assurance de la zone euro qui ont très bien résisté à la baisse. Notre tentative de diversification sur le marché chinois, avec l'achat du tracker Amundi PEA MCSI China, en recul de plus de 5%, est moins heureuse. La sélection ISR/PEA (+10,4%) et le portefeuille Offensif (+6,64%) nous donnent également pleine satisfaction. Le Défensif doit en revanche se contenter d'une progression plus modeste de 1,9%.
Cette semaine, nous avons encore réduit les positions sur l'ensemble de nos portefeuilles, en raison de la forte hausse de la volatilité sur les actions françaises. Les principaux désengagements ont porté sur Air Liquide, Axa, L'Oréal et Hermès International. Au niveau européen, nous avons alléger les positions sur les valeurs allemandes, Henkel, Zalando et Hannover Re, ainsi que sur l'assureur néerlandais Aegon et le géant des produits ménagers Unilever tous deux cotés à la Bourse d'Amsterdam. La semaine précédente, nous avions par ailleurs déjà pris une partie de nos profits sur les ETF Amundi PEA Nasdaq 100 et Amundi PEA S&P 500, en raison là aussi de l'inflexion intervenue à Wall Street, après l'euphorie des premiers jours ayant suivi l'élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis.

Quelle stratégie d'ici à la fin de l'année ? Il reste exactement 24,5 jours avant la clôture de l'année le 31 décembre à la mi-séance. A partir de là deux solutions sont envisageables. L'une très optimiste consiste à se dire qu'il est encore possible de se refaire en jouant un possible « rally » de fin d'année. Après tout, rien n'interdit de penser, qu'après un exercice aussi calamiteux que celui que nous venons de connaître, les valeurs françaises puissent bénéficier d'un ultime sursaut avant la saint Sylvestre. L'autre version, moins joyeuse, consiste à penser que dans l'esprit de nombreux investisseurs l'année est « déjà faite » et qu'il est trop tard pour prendre de nouvelles initiatives. Au risque de passer pour de bien tristes sires, nous préférons opter pour la seconde solution. Celle-ci consiste à conserver une stratégie très conservatrice, avec pour principal objectif de préserver l'avance prise par nos portefeuilles Offensif, Monde et ISR/PEA. En cas de bonne surprise liée à une remontée des indices en cours des dernières séances de l'année, nous nous contenterons d'accompagner le mouvement de façon très prudente, en conservant un important volant de liquidités. Aujourd'hui, la stratégie de gestion d'un portefeuille boursier doit autant se soucier de la diversification géographique des actifs sur plusieurs marchés, notamment à Wall Street ou en Asie, que d'une démarche traditionnelle de choix de valeurs au sein d'un seul marché, comme à la Bourse de Paris. C'est à cette réflexion qu'il va falloir s'atteler au cours des prochaines semaines.

Bonne lecture et bon week-end à tous,

Roland Laskine
 

loser62

Well-known member
Donc , pour le rallye de fin d'année il pense que ce serait très optimiste ... de là à dire trop optimiste il n' y a qu'un pas .
 

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