C'est la grosse ambiguité que dénonce Mathieu de Oddo dans son article.
Atos a l'habitude de passer en exceptionnel, des charges qui releveraient de l'opérationnel.
Ainsi Atos va passer la plupart des frais de restructuration en exceptionnel pour faire apparaitre un résultat "normalisé (dans le jargon Atos) d'environ -150M€ sur l'année alors qu'il devrait être d'environ -400M€ si 80% charges de restructurations étaient passée sur la MOP.
La vislardise de Meunier en nous vendant son plan est aussi de faire passer en execptionle (le plan) ce qui est de l'ordre de la MOP.
Donc ni l'un ni l'autre, en charges exceptionnelles pour restructuration. Si amortissement il y avait, ce serait uniquement amortissement du Goodwill, pas des charges de restructuration.