Le combat qui s'annonce n'est pas un combat entre l'UDAAC et le board

lepoulpe

Active member
mais un combat entre l'UDAAC et le gouvernement, car c'est bien le gouvernement qui a donné son aval à cette vente et à la spoliation des actionnaires que nous sommes. Et ceci explique le maintien de Meunier, marionnette de l'Etat.
Les premières vagues sont apparues avec la tribune des parlementaires et la sortie du bois de la CGT. Espérons que la tempête arrive et frappe de plein fouet tous les acteurs de cette mauvaise comédie!
 

pierre

Active member
En effet par la règlementation qu’il a mis en place, le gouvernement s’est placé dans une position ou il a le monopole de la décision sur l’avenir d’Atos.
 
La spoliation des actionnaires ne passera pas cette fois avec la rébellion des actionnaires, la presse et les politiques qui tirent aussi la sonnette d'alarme.

Après Alstom et EDF, c'est le dossier de trop pour le banquier d'affaire à la tête de l'état.
 

Johnjohn

Active member
Sauf que les employés sont un peu différents. Chez EDF et Alstom il y a un lien direct avec des usines et sites de productions locaux, et beaucoup de personnel directement en France. Donc peur du chomage, syndicats, grêves, etc.

Chez Atos c'est des personnes bien payées qui n'auront que peu de problèmes (pour la plupart) à trouver un boulot ailleurs, et seul un faible pourcentage des employés Atos sont en France - ce n'est même pas la première géographie d'Atos. Donc je doute que les médias grand public n'en parle vraiment...

Par contre les 10 dernières années seront certainement un cas d'école de management calamiteux.
 
Il y a une autre différence de taille : l'Etat n'a aucune participation dans Atos, contrairement à Alstom ou EDF.

S'il veut avoir son mot à dire sur la stratégie, il doit monter au capital a minima à 20% via la BPI - il doit raquer, comme nous.

Le scandale est assez évident : ruine des actionnaires Français, entreprise donnée à un Tchèque avec un chèque, tout ça à cause de quoi ?

De conflit d'intérêts de banquiers d'affaires à la tête de l'état en collusion avec le management également en conflit d'intérêts - et des bons petits virements sur des comptes au Caïman avec notre argent.
Plus la valeur d'Atos baisse, plus les dirigeants s'enrichissent au détriment des actionnaires et des salariés actionnaires - normal ?

Tout ce petit monde doit aller en taule pour cette - tentative bientôt ratée - d'escroquerie de cols blancs en bande organisée avec des politiciens véreux.
 

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