Personnellement, je n'en vois qu'une : c' est la vente de Syntel (à perte), entre 1.5 et 2 milliards.
Cette cession est la suite logique d’un groupe ayant voulu grandir trop vite, ayant effectué des rachats de sociétés payées trop chères, non intégrées, sans résultats (à part SYNTEL mais payée trop chère : 3.4 milliards) et surtout à crédit, alors qu’en même temps la MOP est divisée par 3 ces 3 dernières années : de 9 à 3%, autant dire travailler à perte, je ne parle même pas des dépenses exorbitantes de conseils en tous genres, de frais récurrents de restructurations ayant provoqués une perte de valeur au lieu de l’augmenter, et cerise sur le gâteau une gestion catastrophique de contrats pris en pertes, et incontrôlée : 4.5 milliards de pertes sur les 3 derniers exercices, je compte une perte de 600 millions pour 2023.
Le seul remède efficace et immédiat avec la vente de SYNTEL c’est :
1-Changer la gouvernance
2-Se désendetter auprès des banques du produit de la vente SYNTEL
3-Abandonner le projet de cession à K
4-Abandonner l’idée d’AK à venir, et devenant sans objet, car Atos conserve le BFR prévu pour K : 900 millions
5-Fixer un prévisionnel bénéficiaire dès 2024, avec une gestion rigoureuse, un contrôle de gestion hors pair, des pros SSII au CA quitte à devoir licencier le personnel surnuméraire sur plusieurs exercices, éliminer les mille-feuilles hiérarchique et coûteux, arriver à une marge opérationnelle d’au moins 6% dès 2024, soit 500 millions, réduire l’exceptionnel à peau de chagrin, enfin gagner aussi sur les frais financiers : affacturage, intérêts versés liés à l’endettement.
Donc travailler efficacement dans le métier du numérique, pour lequel le marché mondial annuel est de 300 milliards et de 60 milliards pour la simple Europe.
Les salariés, dans leur majorité, retrouveront l’envie de s’investir, car ils feront corps avec une nouvelle pyramide comprenant à sa tête, des personnes professionnelles, investies, cartésiennes et surtout stratèges et efficientes.
L’assignation de l’Udaac au TC de Pontoise, ou les actions d’Alix, du Ciam, de Sycomore ou Lecesne plus tous ceux, sérieux, qui se sont penchés sur la descente aux enfers d’ATOS, sont toutes pour un plan B tel que mentionné ci-dessus 1,2,3,4,5. Marc l'a suggéré depuis longtemps : il l'a appelé plan B Refocus, à ce sujet j'aimerai bien qu'il me précise s'il est toujours Ok avec ce choix.
Il reste à Layani de se ranger sur ce plan B, il s’est arrêté à 10%, il n’a pas les moyens d’une OPA, il vient de conclure un partenariat avec Eviden qui vise à accompagner la transformation numérique de leurs clients dans les secteurs de l’énergie, des services d’utilité publique, et des institutions financières. Il ne doit être trop gourmand pour l’instant, car très prochainement il aura un siège au CA, il est considéré à l’heure actuelle comme un actionnaire de référence, qu’il joue désormais les bonnes cartes : celles consistant à se ranger sur ce plan B et de bannir à tout jamais publiquement le deal honteux qui nous était proposé avec K.
Sur ce dernier point aussi, Marc, j'aimerai avoir ton avis sur ce que compte faire Layani, son but, ses ambitions avec ATOS.
Evidemment j'interroge chacun, sur ce plan B, ou autre, devant mettre un terme au deal K, à la future AK de 900 millions et enfin les possibilités de retour à meilleure fortune dès 2024 avec un changement majoritaire de gouvernance.
Cette cession est la suite logique d’un groupe ayant voulu grandir trop vite, ayant effectué des rachats de sociétés payées trop chères, non intégrées, sans résultats (à part SYNTEL mais payée trop chère : 3.4 milliards) et surtout à crédit, alors qu’en même temps la MOP est divisée par 3 ces 3 dernières années : de 9 à 3%, autant dire travailler à perte, je ne parle même pas des dépenses exorbitantes de conseils en tous genres, de frais récurrents de restructurations ayant provoqués une perte de valeur au lieu de l’augmenter, et cerise sur le gâteau une gestion catastrophique de contrats pris en pertes, et incontrôlée : 4.5 milliards de pertes sur les 3 derniers exercices, je compte une perte de 600 millions pour 2023.
Le seul remède efficace et immédiat avec la vente de SYNTEL c’est :
1-Changer la gouvernance
2-Se désendetter auprès des banques du produit de la vente SYNTEL
3-Abandonner le projet de cession à K
4-Abandonner l’idée d’AK à venir, et devenant sans objet, car Atos conserve le BFR prévu pour K : 900 millions
5-Fixer un prévisionnel bénéficiaire dès 2024, avec une gestion rigoureuse, un contrôle de gestion hors pair, des pros SSII au CA quitte à devoir licencier le personnel surnuméraire sur plusieurs exercices, éliminer les mille-feuilles hiérarchique et coûteux, arriver à une marge opérationnelle d’au moins 6% dès 2024, soit 500 millions, réduire l’exceptionnel à peau de chagrin, enfin gagner aussi sur les frais financiers : affacturage, intérêts versés liés à l’endettement.
Donc travailler efficacement dans le métier du numérique, pour lequel le marché mondial annuel est de 300 milliards et de 60 milliards pour la simple Europe.
Les salariés, dans leur majorité, retrouveront l’envie de s’investir, car ils feront corps avec une nouvelle pyramide comprenant à sa tête, des personnes professionnelles, investies, cartésiennes et surtout stratèges et efficientes.
L’assignation de l’Udaac au TC de Pontoise, ou les actions d’Alix, du Ciam, de Sycomore ou Lecesne plus tous ceux, sérieux, qui se sont penchés sur la descente aux enfers d’ATOS, sont toutes pour un plan B tel que mentionné ci-dessus 1,2,3,4,5. Marc l'a suggéré depuis longtemps : il l'a appelé plan B Refocus, à ce sujet j'aimerai bien qu'il me précise s'il est toujours Ok avec ce choix.
Il reste à Layani de se ranger sur ce plan B, il s’est arrêté à 10%, il n’a pas les moyens d’une OPA, il vient de conclure un partenariat avec Eviden qui vise à accompagner la transformation numérique de leurs clients dans les secteurs de l’énergie, des services d’utilité publique, et des institutions financières. Il ne doit être trop gourmand pour l’instant, car très prochainement il aura un siège au CA, il est considéré à l’heure actuelle comme un actionnaire de référence, qu’il joue désormais les bonnes cartes : celles consistant à se ranger sur ce plan B et de bannir à tout jamais publiquement le deal honteux qui nous était proposé avec K.
Sur ce dernier point aussi, Marc, j'aimerai avoir ton avis sur ce que compte faire Layani, son but, ses ambitions avec ATOS.
Evidemment j'interroge chacun, sur ce plan B, ou autre, devant mettre un terme au deal K, à la future AK de 900 millions et enfin les possibilités de retour à meilleure fortune dès 2024 avec un changement majoritaire de gouvernance.