Ne sont des décisions que peuvent prendre le CA, il y a abus de droit et surtout abus de mandat, la scission ou la cession NE SONT PAS DE A COMPETENCE DU CA MAIS DES ACTIONNAIRES
Ces décisions, doivent être annulées par le TC de Pontoise, car seule l’assemblée est souveraine.
Une action dans ce sens sera mené, car sur ces abus de mandat, l’AMF sera consultée et sera présente au TC, la scission mise en œuvre est contraire à la doctrine AMF et est UNE DECISION qui appartient aux SEULS actionnaires.
Evidement, et en sus de ce point de droit, le président du TC de Pontoise, lors de l’assignation qui lui sera présentée, devra également se prononcer sur d’autres points, non moins plus importants, que sont ceux de conflits d’intérêt, informations trompeuses, dysfonctionnements, et autres.
Si le droit est appliqué le TC de Pontoise devra nommer un administrateur Ad hoc afin de provoquer une AGE devant statuer sur ces points.
Cela nous donne une bouffée d’oxygène, du temps, et surtout le pouvoir d’évoquer un plan B, qui sera notre immanence, et non d’un conseil d’administration s’arrogeant de facto, des points d’aliénation de droits sociaux touchant à la spoliation des actionnaires. Nous sommes propriétaires d’Atos, certains l’ont oublié ou surpassés leurs droits ou prérogatives.
Ces décisions, doivent être annulées par le TC de Pontoise, car seule l’assemblée est souveraine.
Une action dans ce sens sera mené, car sur ces abus de mandat, l’AMF sera consultée et sera présente au TC, la scission mise en œuvre est contraire à la doctrine AMF et est UNE DECISION qui appartient aux SEULS actionnaires.
Evidement, et en sus de ce point de droit, le président du TC de Pontoise, lors de l’assignation qui lui sera présentée, devra également se prononcer sur d’autres points, non moins plus importants, que sont ceux de conflits d’intérêt, informations trompeuses, dysfonctionnements, et autres.
Si le droit est appliqué le TC de Pontoise devra nommer un administrateur Ad hoc afin de provoquer une AGE devant statuer sur ces points.
Cela nous donne une bouffée d’oxygène, du temps, et surtout le pouvoir d’évoquer un plan B, qui sera notre immanence, et non d’un conseil d’administration s’arrogeant de facto, des points d’aliénation de droits sociaux touchant à la spoliation des actionnaires. Nous sommes propriétaires d’Atos, certains l’ont oublié ou surpassés leurs droits ou prérogatives.