Les actionnaires doivent avoir une majorité d'administrateurs en faveur de la révocation de l'actuel président pour redonnner de l'oxygène à Atos et lui donner un cap.
Dans le conseil actuel il y a 3 profils. Les pro-Meuniers, soit parce qu'ils leur doivent leur nomination lorsqu'il était prédident des nominations, soient parce qu'ils sont aveugles aussi et mettent la faute sur Girard ou Breton, soit parce qu'ils sont proche de meunier, amis, relations...
Ensuite les neutres. Ceux qui n'aprécient pas Meunier plus que ça, mais qui voient que ça remontent lentement mais que ça remonte et les frilleux de tout changement.
Enfin les anti-meuniers mais qui ne le font pas trop savoir car un administrateur peut être révoqué à tout moment pour faute grave et le complément de rémunération, environ 35 000€ par an en plus de leur revenu de base est un complément non négligeable qu'ils ne veulent pas perdre.
Je connais Atos depuis 1999, j'ai été actionnaire parfois, revendu, etc... mais je ne connaissait pas bien la société avant juillet 2022 quand j'ai commencé à étuider le plan de scission en profondeur et que le cours a touché 10€ seul que je trouvais vraiment attractif comme point d'entrée.
Certains d'entre vous ont peut-être suivi les précédentes AG (au moins en visio) lu des articles. Est-ce que vous pourriez nous aider à donner une opinion en message privé [email protected] et [email protected] si vous avez identifié les profils décrits.
CAR, on peut remplacer les sortants par nos candidats à nous plutôt que ceux de la direction, MAIS on peu aussi démettre des vieux de la vielle, qui ont leur empreinte sur le siège de la salle du conseil tellement ils font parti des murs, et si on fait des durées de mandat maxi en politique c'est que à un moment il faut renouveler les effectifs. Ca avait été reprochés par des frondeurs à l'automone dans plusieurs articles.
Vernon Sankey par exemple, je ne le connais pas et j'ai pas d'idée (pour l'instant sur lui) mais il fait presque partie des murs
Dans le conseil actuel il y a 3 profils. Les pro-Meuniers, soit parce qu'ils leur doivent leur nomination lorsqu'il était prédident des nominations, soient parce qu'ils sont aveugles aussi et mettent la faute sur Girard ou Breton, soit parce qu'ils sont proche de meunier, amis, relations...
Ensuite les neutres. Ceux qui n'aprécient pas Meunier plus que ça, mais qui voient que ça remontent lentement mais que ça remonte et les frilleux de tout changement.
Enfin les anti-meuniers mais qui ne le font pas trop savoir car un administrateur peut être révoqué à tout moment pour faute grave et le complément de rémunération, environ 35 000€ par an en plus de leur revenu de base est un complément non négligeable qu'ils ne veulent pas perdre.
Je connais Atos depuis 1999, j'ai été actionnaire parfois, revendu, etc... mais je ne connaissait pas bien la société avant juillet 2022 quand j'ai commencé à étuider le plan de scission en profondeur et que le cours a touché 10€ seul que je trouvais vraiment attractif comme point d'entrée.
Certains d'entre vous ont peut-être suivi les précédentes AG (au moins en visio) lu des articles. Est-ce que vous pourriez nous aider à donner une opinion en message privé [email protected] et [email protected] si vous avez identifié les profils décrits.
CAR, on peut remplacer les sortants par nos candidats à nous plutôt que ceux de la direction, MAIS on peu aussi démettre des vieux de la vielle, qui ont leur empreinte sur le siège de la salle du conseil tellement ils font parti des murs, et si on fait des durées de mandat maxi en politique c'est que à un moment il faut renouveler les effectifs. Ca avait été reprochés par des frondeurs à l'automone dans plusieurs articles.
Vernon Sankey par exemple, je ne le connais pas et j'ai pas d'idée (pour l'instant sur lui) mais il fait presque partie des murs