
Atos: le patron d'Econocom confirme ses intentions
Jean-Louis Bouchard, le président-fondateur d'Econocom, a expliqué vendredi pourquoi il avait choisi de soutenir le projet de reprise d'Atos porté par - 24/05/2024 12:10

Les agences de comm sont à la manœuvre pour supporter le show des prétendants mais au final ceux qui décident doivent joyeusement s'en taperC'est quoi cette boite? Quelqu'un connait leur domain de compétence?
Jamais entendu parler d'eux dans les services IT, et selon wikipedia et leur site web ils semblent plutot vendre/louer du matériel IT et de communication?
En tout cas je pige pas non plus le communiqué, ca ressemble à du charabia ou le monsieur explique qu'il aimerait bien avoir une part du morceau, mais ne va pas sortir un centime, et ne compte pas faire grand chose pour pousser quoi que ce soit... mais un peu d'autocongratulation et de publicité, c'est quand même une boite sérieuse avec top-expertise (en tout cas au moins j'aurais découvert le nom!)
Oui, et tant qu'à faire répondre "pas de bras, pas de chocolat", pour rester sur le même niveau.Les agences de comm sont à la manœuvre pour supporter le show des prétendants mais au final ceux qui décident doivent joyeusement s'en taper
Putain c'est grave, le mec à 7 jours du choix du repreneur, il est incapable de dire s'il met de l'argent dans le pot ou pas. Ca semble être un sacré baltringue lui.
Parce que si c'est l'expérience, ils vont se tirer la bourre à celui qui sera le premier à 1.5% de MOP
Atos est déjà maître en endettement"Sur ce dernier point, Jean-Louis Bouchard souligne que la réelle maitrise de l'endettement bancaire d'Econocom constitue un atout pouvant servir les intérêts du redressement d'Atos."
Il faut oser en effet !En fait, il apporte ça, c'est quand même bien, non ? Non, je rigole, quel clown !
Un peu un "dépanneur" comme disent les québécois. On y trouve un peu de tout (dans mes qques contacts avec eux).C'est quoi cette boite? Quelqu'un connait leur domain de compétence?
Entre autre, ils ont grossi autour de ça, en achetant des boites à droite et à gauche pour suivre l'évolution du marché.Jamais entendu parler d'eux dans les services IT, et selon wikipedia et leur site web ils semblent plutot vendre/louer du matériel IT et de communication?
Bonjour, j'ai travaillé pour Atos dans le cadre d'un contrat avec une collectivité publique au coté d'econcom, ces derniers mois. Je pourrais vous en raconter de belles sur le travail fictif.C'est quoi cette boite? Quelqu'un connait leur domain de compétence?
Jamais entendu parler d'eux dans les services IT, et selon wikipedia et leur site web ils semblent plutot vendre/louer du matériel IT et de communication?
En tout cas je pige pas non plus le communiqué, ca ressemble à du charabia ou le monsieur explique qu'il aimerait bien avoir une part du morceau, mais ne va pas sortir un centime, et ne compte pas faire grand chose pour pousser quoi que ce soit... mais un peu d'autocongratulation et de publicité, c'est quand même une boite sérieuse avec top-expertise (en tout cas au moins j'aurais découvert le nom!)
Je connais quelqu'un qui est détaché à la sécu par un ESN, en fait ils ne font pas du support au département informatique interne, ils font juste le boulot à leur placeBonjour, j'ai travaillé pour Atos dans le cadre d'un contrat avec une collectivité publique au coté d'econcom, ces derniers mois. Je pourrais vous en raconter de belles sur le travail fictif.
Map a trouvé une phrase très juste pour décrire econocom "c'est le LIDL des ESN" et le mot est faible.
Vous prenez un salarié sorti d'un bac +2 vous le payez 1200 balles, c'est mieux s'il est RQTH il ne s'en ira jamais et vous le mettez sous un cadre de la fonction publique chargé de lui faire faire à lui et son armée de collègues toutes les basses besognes qui ne nécessitent aucune intelligence. Je n'avais jamais vu ça et c'est loin d'être des ingénieurs même si Atos aussi a de plus en plus sont lot de chefs de projets fictifs (j'en ai fait parti). Il y a un monde entre les ingénieurs atos d'il y a quelques années et l'entrée de game econocom sous payé même si les deux entreprises Atos et Econocom on ça en commun qu'elles vampirisent admirablement bien les impôts du contribuable avec un panoplie de contrats fictifs qui pourrait être divisés par 10.
La différence c'est qu'econcom fais une marge incroyable sur ces salariés et ne flate pas leur ego avec un titre pompeux.
La faute aux informaticiens qui acceptent la maltraitance sans se défendre correctement et ce n'est pas près de changer malgré ce qu'on peut lire dans les médias a droit à gauche sur l'offre et la demande salariale.
Sinon je tenais à te remercier Map pour ton blog largement plus qualitatif que celui de Boursorama. Étant salarié d'Atos quant ils sont tombés à 1,50 j'ai ouvert mon pea pour y investir, et a cause de certains délais je n'ai pas pu avant qu'il remonte a 2 euros. J'avais confiance en la réussite d'Atos a redresser il y a 3-4 mois car j'étais encore dedans et puis je me suis fait lourder a quelques semaines de la fin de période d'essai, j'ai compris pourquoi en m'informant ici et je pense avoir éviter de lourdes pertes en s'abstenant pour le moment d'investir.
Pour avoir vu le groupe de l'intérieur, l'avis des sagouins de Boursorama (on ne citera pas de noms) me fait bien rire. Leur crédibilité est anéantie et j'attend avec impatience le démantèlement de ce groupe qui m'a laissé bien amer.
Le monde change. La part des ESN dans la chaine de la valeur du numérique est érodée aux 2 bouts : les fournisseurs, grands ou petits, en font plus et les clients ré-internalisent tout ce qui a un enjeu pour eux. Au milieu : beaucoup d'ESN deviennent des fournisseurs de commodités et n'ont que le prix comme différenciant.Vous prenez un salarié sorti d'un bac +0 vous le payez 1200 balles, c'est mieux s'il est RQTH il ne s'en ira jamais et vous le mettez sous un cadre de la fonction publique chargé de lui faire faire à lui et son armée de collègues toutes les basses besognes qui ne nécessitent aucune intelligence. Je n'avais jamais vu ça et c'est loin d'être des ingénieurs même si Atos aussi a de plus en plus sont lot de chefs de projets fictifs (j'en ai fait parti). Il y a un monde entre les ingénieurs atos d'il y a quelques années et l'entrée de game econocom sous payé même si les deux entreprises Atos et Econocom on ça en commun qu'elles vampirisent admirablement bien les impôts du contribuable avec un panoplie de contrats fictifs qui pourrait être divisés par 10.
La France ne change pas comme le reste du monde. Ce pays est en récession dans 3 ans l'IA remplacera la plupart des postes mais les ESN françaises sont trop occupés à faire du management et prendre des commissions sur du vent pour mettre en place ce changement.Le monde change. La part des ESN dans la chaine de la valeur du numérique est érodée aux 2 bouts : les fournisseurs, grands ou petits, en font plus et les clients ré-internalisent tout ce qui a un enjeu pour eux. Au milieu : beaucoup d'ESN deviennent des fournisseurs de commodités et n'ont que le prix comme différenciant.
Je confirme. dans le public sauf quelques rares clients, ils sont en retard. Toujours à gérer des applications en machines virtuelles, pas de cloud privé ou public. Pas de devops, tout à la main pour la configuration et le déploiement d'applications.Je n'ai pas constaté ce dont tu parles, la ré-internalisation, les clients ont 20 ans de retard, donc ils ont loupé le cloud et l'externalisation. et louperont l'IA.
Ca dépend.Je n'ai pas constaté ce dont tu parles, la ré-internalisation, les clients ont 20 ans de retard, donc ils ont loupé le cloud et l'externalisation. et louperont l'IA.
Challenge : https://www.challenges.fr/automobil...ere-tenir-tete-a-tesla-sur-le-logiciel_853294[...] Plus besoin de solliciter les équipementiers pour modifier le logiciel: associé à Google, Renault peut faire tout, tout seul [...] Quant au code qui fait fonctionner ces fonctionnalités, Renault s’efforce dorénavant de l’écrire lui-même, “pour quelques logiciels clés”, confirme Thierry Cammal. Le système d’infodivertissement Open R-Link introduit en 2022 sur la Renault Megane E-Tech et sur le crossover Renault Austral contient déjà un code “écrit à 70% par Renault”, là où le précédent système s’en remettait entièrement aux équipementiers Continental, Bosch et Magneti Marelli. [...]
C'est autant de pris sur la part de marché et la valeur ajoutée des ESN, côté fournisseurs cette fois.Une entreprise récente peut très bien skip toutes les ESN sur marché avec les solutions de Microsoft ou AWS y compris les techniciens, c'est ça la réalité.
Mistral AI n'est pas venu chercher CAP ou Atos. Il y a plusieurs divisions dans le soft désormais.Peut être qu'un jour la France sera a la hauteur de réelles ambitions en informatique et en industrialisation mais pas demain. Pour l'instant il faut payer l'action incroyables des patrons qui gouvernent des boîtes avec 6 milliards de dettes 🤣 c'est grotesque.
Surtout un empilage incroyable d'applications qui viennent s'ajouter au fil des ans et ne sont jamais centralisées ni interfacées. Des idées qui naissent sur les chiottes des dirigeants un beau matin et qui sont directement appliquées. Chacun y va de son propre chef.Je confirme. dans le public sauf quelques rares clients, ils sont en retard. Toujours à gérer des applications en machines virtuelles, pas de cloud privé ou public. Pas de devops, tout à la main pour la configuration et le déploiement d'applications.